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Save the bird

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Van Scars
-- membre qu'on adore --
Van Scars

PERSONNAGE
Save the bird F9fc3979b6bc5deb0a59e61d094fceb1220c3042
LITTLE TALKS : 785
PSEUDO : Timon
AVATAR : Sophie Thatcher
CREDITS : Zep d'amour ! (avatar & signature)
ALTER-EGO : Sarah la diva, Nicki la peste & Phoebe l'hyperactive
ÂGE : 25
QUARTIER : The wood. La cabane glauque aux allures de films d'horreur au milieux des bois. Elle la partage avec Harvey son écureuil lui aussi digne d'un film d'horreur et ses deux racoons farceurs bientôt parents.
MÉTIER : Lowlife, on l'aurais longtemps crue. Et puis Peter l'a prise comme apprentie dans son salon de tatouage. Son rêve de gosse qui va peut être se réaliser.
COEUR : (Vous pouvez répétez la question ?) Perdue quelque part dans les bois...Sauvage
INTERVENTIONS RL : Oui
INFOS RP

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MessageSujet: Save the bird Save the bird EmptySam 29 Juil - 15:15

Save the bird

@Zeppelin Hemmings & Van Scars

Elle se réveilla en sursaut, comme d’habitude, mais cette fois pas a cause d’un cauchemars mais d’un bruit étrange. Elle eu comme toujours besoin de quelques seconde pour reprendre ses esprits. Un fois fait, elle posa les yeux sur ses mains, qui comme d’habitude lui semblait poisseuse, dégoutante, dégoulinante, dérangeante, térrifiante. Elle avait comme tout le temps l’impression d’avoir du sang sur les mains. Le sang d’Axel sur les mains.  Quand elle posa les yeux dessus, effectivement elle les vit rouge, pleine de sang. Comme tout les matins, elle avait cette impression. Il n’en était rien, mais l’image était tellement ancré dans son esprit qu’elle semblait la voir tous les matins au réveil.  Elle bondit hors de son lit de camps et fila jusqu’à la petite bassine d’eau, rempli la veille au préalable pour se rincer les mains sans risquer de salir les autres sceau d’eau qu’elle avait. Le tout sous le regard encore ensommeiller d’un de ses raton laveur de compagnie qui avait ouvert les yeux un peu paresseusement en entendant le bruit de l’humaine qui lui servait de colocataire.  Van plongea les mains dans l’eau et soupira de soulagement. Elle sortie ses mains de l’eau et les regarda a nouveau. Voila, maintenant elles étaient propres et elle se sentait beaucoup mieux. Elle resta un instant a fixer ses mains qui dégoulinait d’eau, propre et clair, car elles n’étaient pas couverte de sang a son réveille, puis releva ses yeux vers le miroir couvert d’une petite couverture noir. Elle tira sur un coin de la couverture et la laissa tomber sur le sol.  Elle posa les yeux sur son reflet et soupira un peu avant de passer ses mains encore mouillées sur son visage.  Le bruit qui l’avait réveiller se fit a nouveau entendre la faisant sursauter.  Elle leva les yeux vers le plafond en fronçant les sourcils. Elle ne savait pas ce que c’était, mais elle savait que c’était sur le toit de la cabane.  Elle tourna la tête et posa maintenant les yeux sur les ratons qui s’étaient réveiller. « J’espère qu’c’est pas vous qu’avez invité des potes pour votre babyshowers. » Qu’elle leurs lâcha alors que le bruit se fit a nouveau entendre.  Elle ramassa la couverture qui lui servait a couvrir le miroir, se sécha rapidement les mains et alla rapidement attraper son pantalon a rayure noir et blanc qu’elle enfila a la va vite sur son short, enfila ensuite rapidement ses fidèles rangers usées et sortie de la cabane.  Elle devait voir ce qu’il se passait sur le toit.  

Elle se recula un peu en mettant sa mains au-dessus de ses yeux pour faire une visière et se protéger du soleil en regardant sur le toit. Ou du moins essayant.  Elle soupira en ne voyant rien.  Pourtant elle était sur et certaine d’avoir entendu un bruit.  Elle n’était pas folle. Et puis Bebert et Jackie semblait l’avoir entendue eux aussi comme ils regardaient aussi le plafond. Ils n’avaient pas bouger, mais ils avaient eux aussi regardés.  Elle réfléchi un instant et rentra a nouveau dans la cabane pour se changer, s’habiller vraiment, elle irait ensuite faire des recherches plus approfondit sur l’origine du bruit.  Quand ce fut fait, qu’elle avait passer un rapide coup de brosse a cheveux dans ses cheveux, prenant au passage le temps de constater que bientôt elle devrait refaire sa couleur, elle sortie a nouveau et retourna essayer de voir au-dessus du toit.  Mais après avoir fait le tour plusieurs fois en essayant désespérément de voir, elle s’agaça. « Putain de merde ! » Qu’elle grinça pour elle seule.    Elle se mit a réfléchir. Elle aurait put escalader un arbre pour voir. Mais le plus solide était le Grand Arbre. Et on ne monte pas dans le Grand Arbre. Sauf Harvey, mais lui c’était un écureuil, il avait le droit.  Il lui fallait une échelle. Enfin, c’était pas le genre de chose qu’elle avait en stock, elle n’en avait jamais eu besoin jusqu’à présent.  De nouveau le bruit se fit entendre, suivit d’un chant. Un chant d’oiseau, ca c’était certain.  Il semblait en souffrance. « Fait chier ! » Qu’elle soupira en entrant a nouveau dans sa cabane. S’il y avait un oiseau blesser sur le toit de sa cabane, elle devait aller le chercher.  C’était sans doute plus fort qu’elle, cette envie de sauver toutes les bêtes blesser du coin. Elle ferma la porte en la bloquant, comme d’habitude, puis elle attrapa son sac qu’elle mit sur son dos et pointa les ratons laveurs du doigt. « Pas de bêtises vous deux. Bebert tu retourne pas pisser dans mes fringues, j’te connais hein. Je saurais que c’est toi ! » Qu’elle leurs dit alors que les animaux ne prêter aucune attention a elle.  Il était beaucoup trop tôt pour eux sans doute. Le soleil se lever a peine. Elle sortie par la fenêtre et remis les planches pour les barricader et donner l’impression que l’endroit était abandonner.  De nouveau l’oiseau se fit entendre. «Ouais je sais, t’inquiète p’tit piaf, j’vais chercher une échelle ! » Qu’elle dit en regardant le toit. Elle remercia l'arbre de sa protection de tout les jours et se mit ensuite en marche. Elle allait rejoindre Oz, il aurait surement une échelle. Elle espérait du moins.

Elle rejoint après un moment de marche le van aménager de son meilleur ami. Il dormait peut être encore, enfin ça, elle n’y avait  pas pensée, trop préoccuper par l’oiseau.  Elle monta sur l’echelle accrocher au van pour aller sur le toit et passa par la fenêtre du haut, comme d’habitude. Oui, elle aurait put passer par la porte, mais pourquoi faire ? Les gens « normaux » passait par la porte, Van passait par la fenêtre. Il savait, il avait l’habitude.  Elle fit comme d’habitude, elle se laissa tomber dedans, elle atterrissait sur le lit et voila. Sauf que cette fois…Visiblement il y avait quelqu’un sous la fenêtre. Elle sursauta quand elle senti qu’elle atterrit sur quelqu’un et regarda Oz. « Putain Oz ! Mais qu’es ce que tu fous sous l’entrée ?Tu m'a fais peur ! » Qu’elle lui demanda, sans pour autant se bouger, elle rester assise sur son ventre.  Puis se fut le tour de Goldie de s’en mêler. Le chien, s’était réveiller lui aussi, et content de voir Van vient lui faire la fête en s’invitant sur ses genoux et essayant de lui lecher le visage. Elle rit en lui faisant des gratouille. « Salut le plus beau ! » Qu’elle dit en riant entre deux léchouille.  « Attend tu m’écrase » Qu’elle dit en riant et repoussant le chien. Elle se leva et posa a nouveau les yeux sur son meilleur ami, qui était sans doute soulager d’un sacré poids maintenant qu’il n’avait plus le chien et Van sur lui. « Comment ca va ? » Qu’elle lui demanda avec un grand sourire. « Dit, t’as pas une échelle ? J’dois monter sur le toit j’crois que y’a un piaf blesser dessus ! » Qu’elle lança toujours en souriant. Oui, de but en blanc, comme toujours avec Van. Elle n’était pas du genre a tourner cent cinq ans autour du pot.  Si t’as pas d’échelle j’sais pas comment on va faire. Qu’elle pensa en attendant la réponse de ce pauvre Oz qui n’avait rien demander et se faisait tiré de son sommeil par Van la tornade.



Dezbaa pour Redwood Hills

_________________


[ ] // All I did was try my best This the kind of thanks I get? Unrelentlessly upset They say these are the golden years But I wish I could disappear Ego crush is so severe
God, it's brutal out here
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Zeppelin Hemmings
-- membre qu'on adore --
Zeppelin Hemmings

PERSONNAGE
— se fait passer pour osborn hastings

rock'n'roll, baby
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[ m o o d b o a r d // p l a y l i s t ]

[ en cours. ]
www. dana ; www. nicki ; www. van #1 ; www. jamie&van ; www. van #2
LITTLE TALKS : 913
PSEUDO : manon (atlantis)
AVATAR : joe quinn
CREDITS : av. nairobi, [ profil ] gif. feodor-dostoevsky [ sign ] sign. self, gif. reysorigins, lyrics. foo fighters (all my life)
ALTER-EGO : jackie (boynton)
ÂGE : 31
QUARTIER : farming area;; dans son van aménagé, squatte une parcelle de terrain appartenant aux black.
MÉTIER : assistant de rédaction;; au redwood echo, poste obtenu par un vague piston, ça lui permet de se rapprocher de la rose — c'est ce qu'il se répète, en tout cas.
COEUR : célibataire;; trop occupé par ses recherches et la vérité sur sa mère pour faire semblant de s'intéresser aux gens et relations.
INTERVENTIONS RL : oui
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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptyJeu 10 Aoû - 16:22


Exténué, il ne lui aura pas fallu longtemps avant de sombrer d’un sommeil de plomb, à Zep. La conscience dans d’autres contrés, il n’en est tiré que par les quelques mouvements de Goldie qui passe du lit au sol, puis du sol au lit, et encore sur le sol, puis encore sur le lit, à la recherche d’un coin frais pour dormir profondément — et ronfler. A moins que ce ne soit du maître qu’émane ce petit bruit nasal. Ni l’un, ni l’autre, ne pourrait en jurer et seul l’humain aura l’indécence d’accuser l’autre si la question lui est un jour posée (il ne peut pas ronfler, lui, bien sûr que non). Le sommeil est sans rêve, ou pas dont il pourra se souvenir au réveil, juste un écran obscur et lui, les pensées incohérentes et peu marquantes. Il n’est question que de ça depuis toujours, jamais capable de se remémorer ce qui aurait pu faire office d’aventure durant la nuit, alors il a arrêté de vouloir s’en souvenir, accepté qu’il ne sera jamais de ceux qui auront quelque chose d’extraordinaire à raconter dès le matin. Il bougeotte un peu, change de position dans un demi-sommeil avant de se rendormir aussitôt la tête reposée sur l’oreiller et le voilà qui perd conscience de tout ce qui l’entoure une nouvelle fois, du petit matin qui se lève à l’extérieur de son van, du bruit ambiant de la vie qui s’éveille. Il a encore le temps, Zep, jour de congé, alors il s’autorisera une bonne grasse matinée avant de commencer l’enquête, avant d’enfoncer des portes closes et de se dévoiler enfin un peu plus actif que jusqu’à présent. Et il n’est arraché de ses plans que par un poids soudain qui s’effondre directement sur lui, un genou venant s’enfoncer dans ses côtes douloureusement, l’obligeant à ouvrir les yeux. C’est tout flou alors il tend une main, touche du tissu avant de remonter et c’est la voix de Van qui lui permet de l’identifier bien davantage que ses doigts maintenant sur son visage. Lui redressé retombe lourdement contre le matelas avec un soupir. « C’est mon lit sous ton entrée, j’y suis quand je veux dormir. » Ou quand il pleut trop pour qu’il puisse profiter de l’immense terrain des Black. Elle ne bouge pas, Van et Zep, il est coincé sous elle, sans chercher à s’en échapper (il a l’habitude) mais un poids supplémentaire s’ajoute à l’équation et si le tout commence à peser sérieusement et menace de l’étouffer, c’est davantage la queue épaisse de Goldie qui vient lui battre le visage qui le fait râler. Il essaie de parler, Zep, mais les poils de l’animal ne cessent de venir se glisser sur sa langue, sensation désagréable autant que dégoûtante et il capitule. Car quitte à avoir de la compagnie, autant terminer sa nuit. Il entend bien Van rire, roule des yeux sous ses paupières closes avant de sentir tout le poids s’alléger soudainement et d’être enfin capable d’inspirer, bouche grande ouverte. « Wah, le monde est quand même vachement plus léger maintenant. » Le coin des lèvres relevé en un sourire moqueur avant qu’il ne tourne sur lui-même pour se placer sur le côté, glisser en arrière afin de faire une place au cas où la jeune femme voudrait s’allonger. Mais elle est déjà dans ses questions, Van, à peine le temps pour lui de saisir la première qu’elle évoque une échelle et d’oiseau sur le toit et de blessure et il enfonce la tête dans l’oreiller, Zep. « Tu peux pas escalader, toi qui est pourtant si bonne en virevolte ? » Le bâillement est étouffé par la taie d’oreiller avant qu’il ne prenne appui sur ses avants-bras. « Le réveil a été brutal, mais ça va. Et toi ? Je te demandera bien quel bon vent t’amène mais j’ai l’impression que c’est une nouvelle mission secours pour Vétérinaire Van. » Il s’étire lentement, les articulations craquant sous l’effort avant de balancer les jambes par-dessus le lit pour se lever, une main plongée dans la chevelure nouée et qu’il ne tente même pas d’arranger. « Une échelle, hm ? Si j’en ai une, elle est pas dans le van mais plutôt au garage que je loue. Tu veux qu’on aille voir ? C’est quoi comme oiseau, d’ailleurs ? » Parce qu’il veut bien jouer les héros des animaux, Zep, mais si c’est pour tirer d’affaire un pigeon quand il y en a déjà beaucoup, peut-être qu’ils peuvent laisser cette mission-là pour quelqu’un d’autre. « T’es sûre que c’est pas un écureuil qui voulait juste te tirer du lit ? » Et parce que c’est Van, parce que malgré l’urgence (à n’en pas douter) de la situation, il tient à d’abord avaler un café, il met de l’eau à chauffer et prépare deux tasses. « Café ? Eau ? Chocolat chaud ? » Et un petit bâillement peu discret en prime.

_________________

(( all my life i've been searching for something, something never comes, never leads to nothing. nothing satisfies but i'm getting close closer to the prize at the end of the rope. all night long i dream of the day when it comes around and it's taken away leaves me with the feeling that i feel the most. feel it come to life when
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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptyMer 20 Sep - 17:06

Save the bird

@Zeppelin Hemmings & Van Scars

Es ce qu’elle aurait put s’excuser de lui être tomber dessus ? Oui, elle aurait put. Es ce qu’elle l’avait fait ? Non absolument pas. Mais il savait, il avait sans doute l’habitude d’ailleurs.   Elle aurait put dire quelque chose, mais non, parce que Goldie était venue rapidement accaparer son attention. Parce que Van elle était nettement plus douée avec les animaux qu’avec les humains.  Mais heureusement pour ce pauvre Oz qui devait être en train d’étouffer sous le poids de Van et Goldie, elle fini par descendre du lit après avoir fait descendre le chien.  A la phrase de l’homme qu’elle et le chien avait sans doute un peu écraser auparavant, elle rit un peu. « C’est pas gentil de dire que Goldie est gros ! » Dit elle en riant, faisant encore une caresse sur la tête du chien au pelage doré car il en réclamé encore et encore. Un vrai accroc aux caresses ! Elle posa les yeux a nouveau sur l’homme qu’elle avait réveiller a sa question et elle secoua la tête. « Non. J’y est penser mais non, les arbres sont pas assez gros ca va pas tenir sous mon poids. » Dit elle simplement. Bien sur, il y avait le grand arbre, mais Oz savait plus ou moins qu’il était presque une divinité aux yeux de Van. Il devait finir par avoir l’habitude des croyances un peu… Spéciales de la petite Scars.  Elle aurait peut être put escalader autre part, en s’aidant des fenêtre ou quelques choses dans le genre, mais en réalité, elle n’y avait pas vraiment réfléchi. « Sinon, tu pourra me jeter sur le toit de la cabane ? » Dit elle avec sérieux. Oui, pour elle, se serait presque envisageable.  Elle lui avait tout de même demander comment il allait.  Le pauvre avait était réveiller brusquement, ca c’était sur qu’il ne s’attendait pas a un tel réveil, surtout pas pour les raisons qu’elle lui avait exposer. Pas tout les jours qu’on se fait réveiller pour une échelle, mais au moins ca avait le dont d’animé les journées non ? Elle  sourit un peu quand il la qualifia de « Vétérinaire Van ». Peut être que ca aurait put lui plaire d’exercer le métier de vétérinaire, après tout elle aimait les animaux et avait toujours le chic pour les trouver blesser et essayer de les soignés. Comme si tout les animaux blesser du coin venait d’eux même toquer a sa porte.  Mais en y réfléchissant bien, non, ca aurait de toute manière était impossible qu’elle finisse par être vétérinaire, cela aurait impliquée qu’elle fasse des études, longue qui plus est, donc il en aurait était absolument hors de question pour ses parents. Ils n’auraient jamais voulut payer pour que leurs fille fasse des études. Axel, il aurait sans doute put demander et ils lui aurait trouver l’université la moins cher du coin mais Van ? Non jamais, elle n’aurait eu le droit qu’a un non ferme et définitif. Elle le savait parfaitement. Et puis de toute façon, ca n’était clairement plus possible maintenant. Pas a son âge. Et pas sans avoir fini le lycée. Et puis, elle, elle voulait devenir tatoueuse depuis qu’elle savait dessiner. « Moi aussi j’me suis fait réveiller en sursaut par le piaf ! » Dit elle en haussant les épaules un petit peu. Enfin, elle se réveiller toujours en sursaut d’habitude, bien que pas pour les mêmes raison, alors une fois de plus ou de moins, elle n’était plus a ça prêt.   Elle fronca un peu les sourcils. Un garage qu’il loué ? Elle n’en savait rien. Enfin, en y pensant bien, ca pourrait semblait logique qu’il n’allait pas sortir une échelle de sous son lit dans le van. Enfin, ce n’était pas comme si elle y avait penser avant. Elle, elle avait eu besoin de quelques chose, et donc automatiquement elle avait pensé a demander a Oz. C’était naturel pour elle.  « Euh…T’as un garage toi ? » Qu’elle demanda sans répondre a la question si elle voulait ou non aller voir. Oui elle voudrait aller voir, mais là, c’était surtout le garage qui attirer son attention. Elle haussa ensuite les épaules. « J’sais pas c’est quoi comme oiseau, j’l’ai pas vue. Mais il fait un bruit de rapace ! » Qu’elle dit simplement. Elle n’était pas capable d’en dire plus. Peut être qu’elle irait sauver un pigeon, mais elle s’en fichait, elle avait quand même envie de le sauver. Parce qu’elle avait presque l’impression qu’il l’avait appeler a l’aide ce matin en la réveillant. Elle rit un peu a sa nouvelle question. « Les écureuils ca fait pas des bruits d’oiseaux ! » Qu’elle dit en riant toujours. Ce qu’il était drôle des fois.   Elle réfléchi un peu  « Un café s’il te plait » Dit elle simplement. Elle en buvait très peu, et ca avait tendance a la rendre plus électrique qu’elle ne l’était déjà du coup, mais elle en avait bien envie. Elle aimait beaucoup cela et n’en faisait que très rarement. « Je dérange pas les plan de ta journée j’espère ? Enfin… D’abord t’es pas au travail ou un truc comme ca ? » Oui, parce que bon c’était très tot mais selon elle, le travail ca commence tot.


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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptyJeu 2 Nov - 14:51


Van, il adore la taquiner — beaucoup trop, sans doute. Van, il est toujours en train de lui répondre sur le même ton qu’elle emploie avec lui, agissant comme un grand frère quand il n’a jamais pu l’être pour qui que ce soit. Mais s’il aime l’emmerder verbalement et s’amuse régulièrement à la faire réagir par quelques piques bien trouvées, il ne va jamais jusqu’à titiller des sujets qui pourraient être insultants. Mais ce matin, il est trop tôt, il a été réveillé trop brusquement et puis, il se doit de défendre Goldie (même s’il n’en pense pas moins, en réalité, c’est que le Golden est bien loin du petit chiot qu’il a récupérer, initialement). Alors le sourire étire ses lèvres, sarcastique et un peu mesquin aussi. « Qui a dit que je parlais de Goldie ? » La moquerie pour étirer ses traits, un bout de langue qui voudrait se dévoiler entre ses lèvres mais qu’il retient. Le sujet change déjà et il n’en capte que des bribes, Zep. Suffisamment, toutefois, pour comprendre de quoi il s’agit, pour comprendre le but de la venue de Van. Et comme il est encore trop tôt à ses yeux à lui et qu’il a une flemme monumentale, il propose une autre solution — de celles qui lui permettraient de retourner au lit en un temps record. Il plisse des yeux, le métalleux, essaie de se souvenir des arbres qui entourent la cabane de la jeune femme pour essayer de déterminer s’il y en aurait pas un ou deux qui pourraient supporter un poids d’adulte mais préfère finalement le croire sur parole. « T’as cru que j’étais Captain America ? » La balance sur le toit — et avec quoi, exactement ? « T’es au courant que je suis pas un trampoline, hein ? » Il se désigne et l’observe avec sérieux. C’est qu’il sait, Zep, qu’il est préférable de se méfier un peu avec Van, qu’elle pourrait bien essayer de lui sauter dessus avec l’espoir de rebondir haut dans les airs, persuadée qu’il allait lui permettre d’atterrir sur son toit. Il n’arrive même pas à imaginer comment, dans quel sens, la logistique, derrière sa demande. Non, il se motivera pour aller récupérer l’échelle, ça ira tout aussi bien. « Ou alors, je te fais la courte échelle. Ou tu montes sur mes épaules. » Et là il réfléchit à voix haute, peu conscient des conséquences que de telles propositions pourraient engendrer ; il ne le réalise qu’avec un temps de retard, les lèvres qui se tordent et il ne peut que se mordre la langue, Zeppelin, en espérant que Van ne le prenne pas au mot.
« Ah donc c’est une chaîne, en fait ? Faut que je trouve quelqu’un à réveiller en sursaut… » Et il n’a pas besoin de réfléchir bien longtemps, Zep, avant de trouver la personne qui irait parfaitement pour l’emploi. Car s’il aime embêter Van comme il le ferait avec une petite soeur, il n’y a qu’une seule personne au monde qu’il adore encore plus venir déranger à la manière d’un frangin — et il ne s’agit même pas de son véritable lien du sang. « Ouuh, rappelle-moi de passer par chez Jamie quand on aura sauvé ton oiseau. » Il en est déjà tout excité, rien qu’à l’idée. Petit réveil brutal pour l’ancien flic. « Bien sûr que j’ai un garage, » qu’il s’offusque à moitié, sans même se demander s’il l’a déjà mentionné à quiconque. « Je veux bien être minimaliste, mais y a des trucs qui ont besoin d’être stockées. » Et puis, ça lui permet aussi, en cas de tempête, de pouvoir s’y abriter sans (trop) craindre pour sa vie. Il a déjà, Zep, de dormir dans le van par une nuit de déluge. Outre la peur de voir le véhicule être bougé par la force des pluies, il n’avait aussi pas fermé l’oeil de la nuit à cause du bruit de la pluie sur le toit. Donc oui, un petit local où pouvoir se garer en cas de besoin, c’est toujours plus sympa. Et si ça peut lui permettre de laver du linge et de le sécher, c’est toujours un bonus sur lequel il ne crache pas. « Hm. Rapace, uh ? J’espère que c’est pas un vautour ou un aigle, ton truc. J’ai pas envie de perdre un doigt. » Nul doute que Van se proposerait pour le lui recoudre — et c’est précisément ce qu’il voudrait éviter comme scénario. Il ne revient plus sur l’histoire de l’écureuil pour ne pas entrer dans un débat (qu’il ne lancerait que pour qu’elle puisse étaler ses connaissances sur la faune locale). Préfère plutôt se tourner vers la machine à café afin d’en lancer deux, tend la première tasse à la jeune femme. Elle sait où se trouve où si elle a besoin de parfumer son café au sucre ou au lait. Il bâille une nouvelle fois avant de se rassoir sur le lit, les jambes tendues devant lui et le dos calé contre son oreiller. « Si j’étais au travail, je ne serai pas ici, j’ai pas encore trouvé comment me dédoubler. » Team premier degré. « Nope, t’inquiète, j’ai décidé de faire du télétravail un jour par semaine. » L’avantage d’être le correcteur — il peut emmener le travail chez lui. Même s’il est généralement mieux posé pour ce faire au bureau du journal que allongé dans son lit où l’envie de dormir l’empêche de réellement avancer et respecter les deadlines. « Donc, on prend le café, ensuite on va récupérer l’échelle ? Tu sais comment tu vas faire pour descendre avec ton oiseau ? Imagine il se laisse pas approcher ? Ou t’as de quoi le soigner s’il est blessé ? » Une gorgée et le voilà déjà bien plus réveillé et près à mettre en place un véritable plan d’attaque.

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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptyVen 8 Déc - 19:00

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Un instant elle l’observe. Il est évident que s’il ne parle pas de Goldie, il parle d’elle. Elle sait qu’elle n’est pas grosse, loin de là, elle n’a jamais était vraiment épaisse de toute façon, mais ce qu’elle sait surtout, c’est qu’il aime la taquiner. Ils sont toujours comme cela. Comme frère et sœur.  Elle prit un air faussement choquée. « Alors c’est de moi que tu parlais ?! » Dit-elle en exagérant son ton outrée.  Elle savait qu’il ne le pensait pas. Comment pourrait il ? Elle n’en fit cependant pas réellement grand cas, préférant passer directement au sujet de sa visite.  Elle avait besoin d’une échelle. Mais elle avait bien soulever le fait, qu’il pourrait toujours la soulever et la jeter sur le toit de la cabane. Après tout, elle n’était pas très lourde et il devait quand même avoir un peu de muscle non ? Visiblement, pour lui ce n’était pas une option envisageable. Elle haussa un sourcils quand il lui demanda si elle le prenait pour captain América. Elle rit ensuite. « Captain América ? Oh non, il est pas drôle ! Tu peux pas être lui ! Moi j’pensais plutôt que tu était Batman ! » Dit elle en souriant. Ce grand sourire qui rend son visage encore un peu enfantin, qui creuse ses fossettes et laisse voir toutes ses dents, bien entretenue malgré son mode de vie.  Oz connaissait l’amour de la blonde décoloré pour le justicier sombre, peut être qu’il ne savait pas qu’il repressentait une part de ses rares bon souvenir d’enfance, mais il savait qu’elle l’aimait, lui et son univers. Ses supervilains coloré, excentrique et parfois pas super vilain que cela, et ses super héro sombre et grincheux a la moral souvent douteuse.  Finalement c’était un peu un reflet de la vie non ? Enfin, là n’était pas le sujet. Elle rit un peu « Je sais que t’es pas un trempoline ! Mais ce serait trop cool d’en avoir un ! » Des étoiles dans les yeux de la petite sauvage naquirent a la fin de sa phrase. Oh ouais, elle adorerait ca avoir un trempoline a côté de sa cabane. Mais bon, ca ne serait qu’un rêve, elle se disait qu’un trempoline ca a un cout et ce ne se vole pas aussi facilement qu’un poivron.  Elle sortie de ses pensées et tendit le doigt vers lui. « C’était exactement a ca que j’pensais ! » S’écria t elle presque. Il pourrait bien lui faire la courte échelle ou la porter, ca ne devrait pas être si dur que cela.  C’était bel et bien une idée sérieuse dans la tête de la petite Scars.

Elle haussa un peu un sourcil et pencha la tête en l’observant. Elle eu besoin d’un petit peu de temps pour comprendre le coup de la chaine. Besoin  de re penser un peu au contexte.  Et puis elle sourit un peu. Et rit même après avoir compris et qu’il lui dise qu’ils allaient passer par chez Jamie après avoir fait leurs sauvetage d’oiseau. S’ils y arrivaient. Enfin, pour se point là, Van était si têtue qu’elle ne laisserait même pas le choix a l’oiseau, il viendrait avec eux et puis c’est tout. Il n’aurait pas son mot a dire.  «  Ouiiiii ! Et on peu amener Harvey ? Il adore réveiller les gens ! » Dit elle en sautillant presque sur place et en tapotant dans ses mains. Une vrai enfant qu’elle s’y mettait.  Mais quand il s’agissait de faire des blagues ou peur a quelqu’un, vous pouviez être sur que Van n’était pas la dernière.  Elle lui demanda ensuite s’il avait un garage, parce que ca l’étonnait et en même temps cela pouvait être logique dans un sens, comme il le lui expliqua. « Et il est loin ? » Qu’elle s’interrogea. Elle était très curieuse maintenant de voir ce qu’il y avait de stocker dans ce fameux garage. A part une échelle évidement.  Elle irait y fouiller évidement, elle regarderait les affaires qu’il avait besoin de stocker, parce qu’elle était trop curieuse. Elle lui expliqua qu’elle pensait que c’était probablement un rapace qui était sur son toit. Elle rit en entendant sa réaction. « Oh mais t’en fais pas, si c’est un vautour il s’attaquera d’abord a tes parties molles. Donc t’es yeux. » Dit elle en souriant.  Evidement ca n’avait rien de rassurant. Mais elle, elle n’y voyait pas le soucis.  « Et je te soignerait s’il te blesse » Qu’elle dit sans rien perdre de son grand sourire.  Rafistoler ca la connaissait. Que ce soit des objets, des animaux et même des gens, ca lui plaisait. « J’ai pas de gants de fauconnerie tien… » Dit elle en réfléchissant. Ca lui plairait bien d’en avoir, elle s’imaginait bien avec un épais gant en cuir. Enfin, elle imaginait que ca ne se trouvait pas partout cela, et comme le trempoline ca ne devait pas se voler facilement non plus et avoir un certain coup. « Mais ma veste est épaisse, ca fera l’affaire je pense ! » Non, elle se ferait surement un peu mal, mais ca n’était pas ce qui lui posait le plus de soucis. Elle, elle s’inquiétait surtout de cet animal sur le toit qui était probablement blessé.


Et ce fut pour son ami qu’elle s’inquiéta. Elle ne voulait pas le dérangeait ou bousculer ses plans pour la journée. Même si elle se demandait ce qui était plus intéressant qu’aider un oiseau en détresse, mais bon sans doute qu’Oz lui avait plein d’autre chose a faire de sa vie.  La tasse dans les mains, elle va tranquillement et comme si elle était chez elle, sortir un petit morceau de sucre et une cuillère a café. Elle posa délicatement le sucre dans le café et se mit doucement a touiller en réfléchissant.  L’idée de se dédoublé était sympa, mais bon elle la savait parfaitement impossible. Pour le télétravail, elle n’en savait rien. Es ce que cela donnait le droit de crapahuté dans les bois plutôt que travailler ? Sans doute s’il le faisait.  Elle s’installa sur le matelas ensuite en touillant tranquillement son café avec la petite cuillère. Elle posa ses yeux vert sur le brun et sourit. « Oui on fait ca ! Merci d’me prêter main forte ! » Dit elle en souriant. « J’ai de quoi le soigner ouais j’ai encore des bandage et du désinfectant dans la cabane.  Si c’est trop grave peut être qu’on pourra le montrer a un docteur. » Dit elle en restant pensive un instant a la fin de sa phrase. Es ce qu’elle en aurait besoin ? Elle avait sauver un écureuil sans l’aide de personne.  Le visuel était surement pas très beau, mais le résultat était là, l’animal était en vie, en pleine forme même.  Il avait juste besoin d’un petit pull en hiver, là où les autres bêtes de son espèces pouvait compter sur leurs pelage.  Et Van prenait grand soin de lui trouver des vêtements tout le temps.  Elle s’était même depuis peu a s’essayer a les faire d’elle-même.  « On pourra l’attraper j’pense, il peu surement plus voler, sinon il serait pas bloquer sur mon toit, non ? »  Qu’elle demanda réellement au brun.  Il ne pouvait pas vraiment le savoir lui non plus en réalité. Il le découvrirait en même temps qu’elle sans doute. « Et après on va réveiller Jaja ! » Dit elle en souriant.  Elle avala son café assez rapidement, en quelque grande gorgée. Parce qu’elle aimait beaucooup cela, et n’avait pas souvent le luxe d’en boire quand elle était seule. Et aussi parce qu’elle avait hâte d’aller a la rencontre d’abord du garage d’Oz et ensuite de l’oiseau blesser. Trop de chose qui la mettait en joie en cette début de journée. Elle n’aurait peut être pas du boire ce café, elle était sans doute déjà bien assez excitée comme cela, mais tant pis. Et trop tard surtout. Elle bondit ensuite sur ses jambes. « J’suis prête ! J’te suis moi ! » Dit elle déjà toute heureuse, prête a le suivre jusqu’au garage ; car elle n’avait aucune idée de où il pouvait se trouver.





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ÂGE : 31
QUARTIER : farming area;; dans son van aménagé, squatte une parcelle de terrain appartenant aux black.
MÉTIER : assistant de rédaction;; au redwood echo, poste obtenu par un vague piston, ça lui permet de se rapprocher de la rose — c'est ce qu'il se répète, en tout cas.
COEUR : célibataire;; trop occupé par ses recherches et la vérité sur sa mère pour faire semblant de s'intéresser aux gens et relations.
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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptyVen 12 Jan - 17:21


Le rire éclate franchement dans l’habitacle, répercuté sur les parois du véhicule. Van, elle a un don pour ça. Pour ranimer le véritable Zeppelin et faire disparaître, au moins momentanément, cet Osborn Hastings qu’il s’efforce de demeurer pour ne pas se trahir. Avec Van, il regrette les mensonges et son attitude égoïste, préfère ne pas envisager sa réaction si la vérité venait à éclater. Ça lui vient sans effort, à la blonde et c’est ce qu’il apprécie dans sa dynamique avec elle ; elle est naturelle et il se sent autorisé à l’être aussi, à pouvoir confier plus qu’il ne l’ose encore. Et puis elle joue toujours le jeu, Van, même dans les taquineries — surtout lors de celles-ci. Il tend le bras, la main qui se dépose sur le crâne de la jeune femme pour lui secouer les cheveux. « Quelle sens incroyable de la déduction, Sherlock ! » Le rire qui s’éternise encore un peu, le sujet finalement clôt pour laisser place à la raison de cette visite si matinale. Le sourcil se soulève. « T’es vraiment bizarre si tu trouves Batman drôle. Mais, » qu’il continue, un doigt levé, « je veux bien t’accorder qu’il a davantage de classe que Captain America. Puis il s’habille en noir et clairement on a ça en commun lui et moi. Par contre, Batman, il te jetterai pas sur le toit, il utiliserai un sujet gadget et tout ce que j’ai en stock en ce moment, ce sont les croquettes de Goldie et une échelle. » Et comme il doute que les premières leur seront de la moindre utilité, autant décider de rejoindre le garage. A moins que Van ne prenne exemple sur le golden et ne soit motivée à faire du sport contre une récompense gustative — Zep, il s’imagine déjà lancer des croquettes sur le toit et Van qui se mettrait à escalader sa cabane avec l’agilité d’un singe. L’image provoque un fou rire au jeune homme, plié en deux. Nul doute que si ça devait se produire, il filmerait pour en garder une trace (et sans doute le montrer à Jamie parce qu’il ne s’agirait pas de garder cette pépite pour lui seule). La crise de rire finalement passée non sans une douleur à la mâchoire et de nouveaux muscles abdominaux dont il ne soupçonnait pas l’existence, il essuie le coin de ses yeux. « Hm, oui, mais un trampoline serait pas le plus pratique à transporter. » Pas que l’échelle le soit bien davantage ce qui l’interroge d’ailleurs sur la concrétisation du plan — s’ils pourraient porter l’échelle et traverser Redwood et les bois, il doute que ce soit une bonne idée (et, s’il est tout à fait honnête, il en a surtout la flemme, d’autant plus que son garage n’est pas réellement du côté de Farming Area). Il opte donc mentalement pour le van afin de faciliter cette aventure. Et comme il parle plus vite qu’il ne réfléchit, le voilà qui se mord l’intérieur de la joue, la mimique ne dissimulant pas l’insulte qu’il dirige contre lui-même quand Van saute sur les propositions. Evidemment qu’elle envisageait ces solutions. « Alors, je ne sais pas si tu m’as bien regardé mais si je suis grand, je suis loin d’être un géant. » Et ça aussi, ce serait cool d’être (un peu moins que Batman, mais tout de même, il cracherait pas sur l’opportunité, Zep). Le sarcasme est rapidement mis de côté. « Je veux bien essayer quand même. Mais on ira d’abord chercher l’échelle. Ca nous économisera un aller-retour. » Puisqu’il lui paraît impossible de réussir à faire la courte échelle à celle qui hante les bois de la ville. Mais comme, avec la même facilité qu’elle arrive à faire ressortir le véritable lui, Van, elle a aussi cette capacité à lui faire accepter les idées les plus saugrenues.
Un talent, sans doute.

Elle partage son enthousiasme à l’idée de tirer l’ancien flic du flic et il ricane, Zeppelin, se frotte presque littéralement les mains à la simple idée. Pour un peu et il imaginerait la tête de ce dernier en les voyant, penchés sur lui, de si bon matin, sans savoir par où ils auraient pu passer — et sans doute que se trouvera là leur défi. Enfin, semi-défi. Il compte sur Van pour avoir l’idée de fracasser une vitre ou en trouver une légèrement ouverte (ou savoir crocheter les serrures, aussi et peut-être qu’il la considère légèrement comme une Ninja, finalement de la même façon qu’elle le voit comme un super héros). « Plus on est de fous, plus on rit. » Et nul doute que la présence d’Harvey ne ferait qu’ajouter du piment au réveil brutal et à la surprise de Jamie. De quoi, donc, s’amuser en perspective. « Il est en direction de Saint Albans, je dirai un peu moins de cinq minutes en voiture, à peu près. » A défaut d’avoir su trouver plus proche de la ville. Petit haussement d’épaule quant au trajet. Quoiqu’il aurait sûrement pu demander aux Black s’il était possible de stocker son peu d’affaire dans une grange de la ferme, maintenant qu’il y réfléchi — mais il n’a pas envie d’abuser de leur hospitalité et rejette cette idée rapidement. Il s’intéresse davantage à l’oiseau coincé et les propos de Van sont loin d’avoir l’effet voulu. Il se mord les lèvres, Zep, avant d’écarquiller les yeux et de lentement hocher la tête. « Hm-hm, oui en effet, je m’en fais pas. Je me sers pas beaucoup de mes yeux de toute façon. » Vraiment, parfois, il se demande comment fonctionne le cerveau de la blonde. « Tu sais guérir des yeux ? » Il ne sait pas s’il doit s’en inquiéter, Zeppelin, ou s’en trouver soulagé — dans le doute, il navigue entre les deux émotions. « Je te proposerai bien d’aller nous en procurer un mais je doute que les magasins soient ouverts à cette heure-ci. » Il est même certain du contraire — l’ironie a encore de belles années devant elle tant que le metal-head est en vie. Il observe la jeune femme, les yeux qui s’attardent sur la-dite veste, à essayer de déterminer si oui ou non elle sera suffisamment épaisse pour permettre aux griffes d’un rapace de s’y accrocher et décide finalement que la plus calée sur le sujet, c’est bien Van et qu’il se doit donc de lui faire confiance.

Les boissons servies, il reprend place dans le lit, cette fois-ci en position assise, calant l’oreiller dans son dos. Le sourire lui revient devant l’air qu’elle arbore. « Hey, t’es mon assistante détective, je suis ton assistant vétérinaire. C’est le deal. » Sidekick dans tous les domaines et surtout dans les deux sens. Il opine, sort son téléphone pour regarder une clinique vétérinaire qui ouvrirait le plus tôt possible et qui accepterait de s’occuper d’un tel animal — est-ce que les cliniques vétérinaires ont des spécialisations ? Ils s’en occuperaient en temps voulu. « Bien vu, donc il doit avoir une aile blessée. » En toute logique, d’après ses (très) maigres connaissances en matière d’anatomie des volatiles. A moins que ce ne soit un poulet qui ait été jeté sur le toit par Captain America — mais si l’idée le faire glousser, il préfère ne pas l’énoncer à voix haute de crainte que Van n’envisage sérieusement l’idée. Les doigts claquent dans l’air. « Yes, et après, c’est opération réveil. » Parce qu’il faut bien perpétuer la chaîne, il ne veut pas des années de malheurs s’il osait aller à l’encontre de la règle. Il caresse paresseusement Goldie d’une main, le café à peine entamé d’une gorgée qu’elle est déjà debout et pimpante et pleine de vitalité et, visiblement, plus qu’excitée. « Monte devant dans ce cas, on va y aller avec le van. L’échelle pèse son petit poids et ce sera pas pratique de la trimballer à pied. » La main tendue en direction de l’avant et il s’empresse de terminer son café avant de la rejoindre, glissé sous le volant. Le moteur vrombit et il prend la direction du garage à bonne allure, profitant du manque de circulation en vue de l’heure matinale. Il ne leur faut pas longtemps pour rejoindre le lotissement de garages mis à la location (qu’il a assumé, en tout cas) et pour manoeuvrer devant le sien. « Nous voici arrivés. » Il saute de son siège pour aller ouvrir la porte du garage et trouve un interrupteur. L’ampoule grésille, vacille et n’éclaire pas davantage que la lumière extérieure. « Alors, si je me trompe pas, l’échelle devrait se trouver au fond. Fais gaffe, y a pas mal de trucs qui sont en équilibre. » La faute à un rangement à la va-vite et une paresse extraordinaire quand il s’agit de ré-organiser. Il se fraye un passage, les mains à moitié tendues devant lui, le téléphone portable en mode lampe pour essayer d’y voir un peu davantage jusqu’à trouver l’échelle et faire volte-face. « J’ai l’échelle. Si tu es satisfaite de tes fouilles archéologiques, tu peux me rejoindre dans la voiture, » qu’il sourit avant de rejoindre le van. Il glisse l’échelle à l’arrière tant bien que mal avant de retourner s’installer sur son siège.

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QUARTIER : The wood. La cabane glauque aux allures de films d'horreur au milieux des bois. Elle la partage avec Harvey son écureuil lui aussi digne d'un film d'horreur et ses deux racoons farceurs bientôt parents.
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MessageSujet: Re: Save the bird Save the bird EmptySam 16 Mar - 10:06

Save the bird

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Elle rit un peu. Ce n’était rien de plus qu’une énième taquinerie, elle savait qu’il ne la trouvait pas grosse. Ou alors il ne lui avait jamais dit. Et il faudrait lui faire lire la définition de ce terme dans un dictionnaire, car ce n’était pas ce qu’on pouvait dire de Van. Sans pour autant être un squelette non plus, Van était plutôt svelte, élancer. Et puis elle ne mangeait pas tout les jours, donc cela jouait un peu sur sa silhouette. Mais bon se sujet fut très vite écarter car absolument pas un sujet important.  Elle haussa un sourcils. Elle était étrange de trouver Batman drole ? Oh évidement ce n’était pas un bout en train comme le Jocker, il n’avait rien de comique. Mais parfois il faisait de l’humour…De l’humour façon Batman. « Il lui arrive de faire des blague ! J’te jure ! » Qu’elle dit en souriant. Elle concéder que ce n’était pas le plus drole de tous, mais il avait parfois des réplique amusante.  Elle refélchi un instant a ce qu’il venait de dire. L’echelle, c’était sur que c’était intéressant et cela serait utile a la mission du jour. Mais les croquettes pour chien ? Es ce que les rapaces mange de la nourriture pour chien ? Une excellente question tien. Ils ne perdrait rien a essayer au pire. « Euh… Peut être que l’oiseau voudra bien manger des croquettes ? » Qu’elle demanda toujours en se posant a elle-même la question. Oui, elle avait surement prit de l’humour pour quelque chose de sérieux. Ca lui arrivait. Mais c’était Van après tout, elle était dans son monde et tout le monde qui la connaissait un peu le savait.  Elle écarta vite cette question, parce qu’il parla de trempoline, et maintenant, elle ne pouvait pas s’empêcher de se dire que ce serait super d’en avoir un, a coté de sa cabane. Elle pourrait y rebondir avec Harvey, et puis avec les racoons aussi. Oui, elle s’y voyait bien. Enfin, elle savait aussi que c’était très certainement irréalisable. Elle avait conscience que ca ne se procuré pas comme cela un trempoline et qu’il serait compliqué a placer dans la foret. Elle soupira doucement. « Ouais je sais… » Qu’elle dit simplement en prenant une petite moue déçu. Ouais, ca lui aurait bien plus un trempoline. Mais a la place, elle s’installerait un hamac vers la cabane cette été pour dormir plus confortablement a la belle étoile. Elle qui aimait tant cela.  Elle lui fit un grand sourire. Elle savait bien qu’il n’était pas un géant, mais il pourrait quand même essayer non ? Ca ne mangeait pas de pain et ca lui plaisait bien comme idée a elle, de faire un numéro d’acrobate ! « Pfff… T’es pas Batman, t’es pas un géant… Décidement… » Dit elle en prenant un faux air déçu. Puis elle rit un peu et hocha la tête. « Oui, d’accord, on va chercher l’échelle d’abord ! Mais on essayera quand  même, pour voir si t’as des muscles ! » Dit elle en riant toujours.


L’idée d’aller ensuite réveiller Jamie, et en plus avec Harvey lui plaisait bien a la fausse blonde. Mais a qui cette idée ne plairait pas ?  Et puis c’était bien connue que Van n’était pas la dernière pour ce genre de plan saugrenue et qui ne ferait surement rire qu’eux. Pas sur que cela fasse vraiment rire le garde forestier, ni même sa femme. « Et comme ca, on pourra manger des céréales chez lui ! » Dit elle en souriant de plus belle. L’idée venait de lui traverser l’esprit. Ils l’auraient réveiller, il allait leurs offrir un petit déjeuner quand même non ? Le cas contraire serait drôlement impolie !  Elle écouta le métalleux lui dire que le garage n’était pas loin, et elle hocha la tête en simple réponse. Heureusement que ce n’était pas loin ! Elle avait bien hâte d’aller fouiller un peu dedans. Et ce serait une des rares fois qu’elle sortait de la ville… Si on pouvait considéré qu’elle était en ville vue qu’elle vivait dans la foret qui border la ville. Elle ne put s’empêcher de rire a la remarque d’Oz sur ses yeux. Evidement qu’elle comprenait l’ironie dans ses propos,  mais elle apprécier quand il en faisait. Elle trouvait que c’était une arme qu’il manié bien.  Elle haussa les épaules quand il lui demanda si elle savait guérir les yeux. Elle s’était beaucoup entrainer a énucléé les cadavre d’animaux que les Scars ramener de la chasse, et sur la fin elle y arrivait plutôt pas  trop mal, alors il n’y avait pas de raison qu’elle n’arrive pas a soigner un œil. « Bha… J’ai énuclée pas mal des tête que laisser mon père alors… » Elle haussa les épaules. « J’imagine que oui. J’y arrivait bien a la fin ! » Dit elle en souriant. Oui, elle en était fière. Peu de gens pouvait se vanté d’avoir sut enlever les yeux d’une tête de biche ou de sanglier sans le percer.  Elle, elle pouvait. Evidement au début, elle en avait éclater beaucoup, mais elle n’avait jamais renoncer a l’idée d’y arriver. Et elle avait bien fait. « Le plus compliquer c’est le coin vers l’arrête du nez. C’est là que c’est le plus fragile. Mais j’y arrive bien maintenant ! »  Oui, peut être que ca pourrait être terrifiant  ce qu’elle venait de dire. Mais bon, Oz connaissait Van et donc savait quand il fallait avoir peur ou non de ce qu’elle disait.  Elle fit une moue déçu. Elle aurait tellement aimer aller acheter un gant de fauconnerie. C’était un art qui l’avait toujours faciner. Elle adorait les rapaces, les oiseaux…Les animaux en général en réalité. Oui, Van c’était vraiment une fille de la nature. Elle aimait aussi les arbres, les plantes, elle aimait tout ce qui constituait la nature et plus encore quand cela constituait sa foret.  « Oui…Ils sont tous fainéants dans ces magasin ! » Qu’elle dit en boudant un peu.  Mais elle se ressaisi très vite en annonçant que sa veste ferait l’affaire pour l’instant. Elle l’espérait du moins. Sinon tant pis, elle aurait mal, mais elle préférait avoir mal elle, plutôt que savoir cet animal blesser et en souffrance.  Elle, elle était un monstre, une tueuse, alors ca n’avait pas d’importance si elle avait mal. L’oiseau lui, était innocent et ne méritait pas de souffrir.

Elle le remercia tout de même de l’aider. Ce ne serait pas tout le monde qui accepterait de s’embarquer dans une aventure de sauvetage un peu a l’aveugle comme cela. Oui, elle était super bien tomber avec Oz, il était prêt a la suivre dans ses aventures toutes plus saugrenue les unes que les autres. Mais il avait raison, c’était le deal entre eux. Si lui était prêt a l’aider a sauver tout les animaux de la planètes, elle, elle était prête a l’aider a remuer le passer vraiment lugubre de cette secte qui trônait en ville. L’un comme l’autre s’entrainer dans des aventures et avec joie en plus.  « C’est vraiment un bon deal en plus ! » Dit elle en souriant. Qu’es ce qu’elle pourrait bien faire sans lui. A qui elle aurait put demander de l’aide sinon ?  Elle avala donc son café très rapidement, pleine d’impatience. Elle trépignait a l’idée de… Elle ne savait pas vraiment quelle idée l’emballait le plus. Fouiller dans le garage d’Oz, sauver l’oiseau blesser ou réveiller Jaja ? Les trois sans doute ! Elle avait hâte de voir les trésors enfermer dans le garde meuble de son meilleur ami. Tout comme elle avait hâte de rencontrer l’oiseau qui l’avait réveiller et l’aider. Lui montrer qu’elle était là pour lui et qu’elle allait le soigner. Et puis, l’idée de voir la tête de Jaja quand ils le reveilleraient en sursaut, ca n’avait pas de prix ! Oui, elle allait passer une super matinée c’était certain. Elle sauta rapidement sur le siège passager a l’avant du van d’Oz et observa comme une enfant les paysages sur la route qui mener a la caverne d’alibabOz.  Elle sauta très vite hors du van quand le garage fut ouvert et se précipita a l’intérieur presque en courant. Trop d’impatience dans son petit corps. Elle attendit évidement qu’il allume la lumière et une fois fait, elle se lança avec des étoiles dans les yeux dans la fouille de l’endroit. Elle laissait au bouclé le soin de trouver l’échelle, qui était la raison de leurs présence ici. Elle trouva plein de merveille. Et elle fut presque déçu qu’il lui dise avoir trouver ce qu’ils venait chercher. Mais elle haussa les épaules. « Ont peut y aller. On reviendra de toute façon ! » Dit elle comme si c’était vrai, comme si c’était elle qui decidait. Elle s’inviter a revenir en fait. Il ne pourrait pas lui refuser. Elle remonta en voiture après l’avoir aider a charger l’échelle et fermer le garage. Une fois a l’entrée de la foret, elle descendit et regarda Oz.  « Ca va aller pour la porter jusqu’à la cabane ? » Elle allait l’aider, évidement, mais ce n’était pas a coté, la cabane était bien enfoncer dans la forêt quand même.
Le chemin sembla plus long qu’il ne l’avait jamais était. Elle l’avait aider évidement, mais ca n’avait pas raccourcie le chemin. Une fois a la cabane, elle entra par la fenêtre et ouvrit la porte de la cabane de l’intérieur pour libérée ses colocataires a poils. Les trois bêtes allèrent vite faire la fête a Oz qu’ils connaissaient. Jackie se dandinait, bien grosse, montrant bien qu’elle attendait des futur petite boules de poils.  Bebert lui, alla directement dans les pattes du jeune homme pour lui tourner autour, comme il le faisait toujours. Et puis Harvey était aller rapidement le voir avant de monter sur l’épaule de Van. L’écureuil était bien moins sociable que les ratons laveurs et il avait un autre passif, une autre attache avec les humains et surtout Van. Elle sourit en voyant ca et alla vers l’échelle. L’oiseau se fit entendre. Elle posa ses yeux vert sur l’homme. « Tu as entendue ? » Dit elle en souriant. Au moins ca lui prouvait qu’elle n’était pas folle. « On y va ? ou tu veux boire quelque chose ? J’ai de l’eau, sinon il me reste un peu de jus de pomme. » Elle partageait volontiers ses provision avec son meilleur ami, ca ne la dérangeait pas le moins du monde. En fait, Van était plutôt partageuse, elle n’avait pas grand-chose, pour ne pas dire quasiment rien, mais elle était plutôt généreuse et toujours prête a partager.


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Pas qu’il n’ait pas envie de lancer un débat sur l’humour pince-sans-rire de Batman — l’influence britannique d’Alfred, sans nul doute, car s’il y a bien une chose que Zeppelin est en mesure de reconnaître, c’est bien l’humour à l’anglaise (sûrement parce que c’est celui dans lequel il a été baigné et a du s’habituer et fini par maîtriser altogether). Et s’il doit reconnaître qu’il n’a pas lu autant de comics du chevalier noir qu’il le souhaiterait, ni qu’il le prétend quand il cherche à se dévoiler plus intéressant et geeky qu’il ne l’est, et qu’il n’a, au final, que peu de souvenirs de traces d’humour dans les versions animées ou même les live versions pour pouvoir affirmer quoique ce soit mais tout de même. Il ne parlerait pas des vagues traits d’humour de l’héritier Wayne comme de blagues — mais again, c’est avec Van qu’il discute et la vision du monde de la jeune femme diffère de celui du commun des mortels sur bien des plans. Qu’elle considère le sarcasme de haut niveau comme de véritables blagues ne lui est guère étonnant et c’est probablement ce qui la rend attachante, dans le fond. Le sourire flotte sur ses lèvres encore un instant avant qu’il ne lève les mains. Reddition totale. She wins. Zep, il détourne le sujet pour en revenir à leur rescue mission, s’intéressant à la logistique de celle-ci. L’échelle est adoptée, survient maintenant le soucis de la nourriture. C’est le domaine de Van, les animaux, bien davantage que le sien. « Euh, oui, si on lui demande poliment, c’est sûr. » Bien qu’il en doute, en réalité, se demandant même si les oiseaux ne sont pas davantage amateurs de graines ou insectes ou baies — mais un rapace ? Peut-être pas le cas. Il essaie de se souvenir de documentaires qu’il aurait pu regardé sur le sujet mais ça date de l’enfance et les données ont été, depuis longtemps, effacées pour d’autres nettement plus intéressantes selon lui — comme connaître avec exactitude les titres, dates de sorties et compositeurs de plusieurs groupes indépendants inconnus. Chacun ses priorités, il suppose. Il ne tente même pas de la remettre sur un chemin plus réaliste ; elle y reviendra d’elle-même, Van, et sans doute avec une bien meilleure idée que toutes les suggestions qu’il pourrait faire (à moins de trouver une souris éventuellement à offrir à l’oiseau mais la question persiste sur le régime alimentaire de ce dernier et Zep, il ne pourrait que s’aventurer à des suppositions). « Oui je sais, je suis une déception ambulante. » Réponse laconique avec le haussement d’épaule qui va avec et le pincement au coeur qui s’ajoute en bonus. « Oui, on sait jamais, que mes muscles soient juste invisibles. » Et il n’a pas besoin de jeter un oeil en direction de ces biceps pour savoir qu’invisibles ou non, il n’y aura aucun résultat. A moins qu’ils lui découvrent une capacité à pouvoir se transformer en Hulk ou tout autre alter-ego musclé qui permettrait de réaliser ce miracle. Mais quitte à choisir, il préférait une peau jaune façon Simpson.

L’indexe tendu en direction de la jeune femme, le clin d’oeil et le sourire en plus. « Allez, deal, non seulement on le réveille mais on lui vole des céréales. Et qui sait, peut-être que Marlon nous prêtera son t-rex mécanique. » Si tant est que l’enfant en est un — si tant qu’un tel jouet existe seulement. Et bien davantage que les jeux, c’est l’idée d’un petit déjeuner offert qui lui plaît — pas qu’il ait oublié de faire les courses mais entre les venues de Van un matin sur deux et l’ogre qui lui sert de chien, il doit admettre que les brioches ont tendance à très vite disparaître de ses placards.
La question n’est qu’à moitié sérieuse, l’appréhension de la réponse l’empêchant de se sentir totalement détendu. C’est de Van dont il s’agit. Il peut s’attendre à tout — et l’univers lui prouve qu’il a raison puisqu’elle répond avec un sérieux qu’il lui connaît. Et c’est lui que les habitants pensent sataniste. Il penche la tête sur le côté, Zeppelin, se demandant s’il doit s’inquiéter que Van soit dotée d’un tel talent, s’il devrait creuser le sujet, lui demander si elle a déjà disséquer un être humain ou si elle prévoit de le faire dans les jours (ou mois ou années) à venir. « Oh oui, je ne doute pas qu’à force de persévérance la guérison d’yeux n’ait plus aucun secret pour toi. » L’image le perturbe, la voix s’est fait plus hésitante. Etait-ce quelque chose dans laquelle il devait l’encourager ? Bah ! Il ne fait aucun doute qu’elle serait capable de s’y mettre avec ou sans son appui — autant qu’il soit pour superviser qu’elle ne blesse personne, elle la première. Mais, dans le doute, il se promet d’en glisser un mot à Jamie, à l’occasion. Ne serait-ce qu’au cas où il y ait eu une vague de corps (humains ou non) d’où manquaient les yeux il y a quelques années. Et elle reprend, la blonde, avec son sérieux dérangeant et son enthousiasme déconcertant. Zep, il pince les mots, fronce le nez et hoche la tête lentement. « Hm, oui, j’en doute pas que c’est le plus difficile de l’opération. » Et il fait de son mieux pour ne surtout, surtout, pas avoir l’image mentale à présent. Serait-ce le moment de lui avouer qu’il n’a jamais trop été fan de films d’horreur ? Il repousse l’idée à plus tard, si jamais le sujet venait à revenir sur le tapis. « Nous leur glisserons une note à cette intention. Mais tu sais quoi ? Si on arrive à sauver ton oiseau et qu’il n’est pas en état pour s’enfuir tout de suite, après avoir tiré Jaja du lit, on ira en acheter un, ça te va ? » Et s’il a l’air de le proposer pour faire plaisir à Van c’est tout autant un plaisir de gamin qu’il se ferait — le rêve de pouvoir tendre le bras et avoir un rapace qui viendrait s’y déposer comme une cache à cocher de sa liste à faire avant de mourir.

Le sourire reste sur ses lèvres le long du trajet. C’est qu’il apprécie sincèrement la dynamique qu’il a avec la jeune femme. Que ce soit leur accord étrange de services qu’ils se rendent l’un l’autre ou ces taquineries qui lui rappellent parfois celles qu’il a pu avoir, il y a longtemps, avec son frère. Et c’est peut-être bien ce qui se produit, finalement, une relation fraternelle, Zep adoptant un rôle de grand frère qu’il n’a jamais pu avoir jusqu’ici car étant le cadet de sa famille. Pas qu’il veille réellement sur Van — du moins, pas au sens strict du terme.
Comme promis, le trajet jusqu’au garage ne dure pas. Et s’il sait exactement où trouver l’échelle, il lui laisse le temps de fouiner ici et là dans les cartons et les affaires vaguement entreposées. L’épaule qui repose contre l’échelle, il la suit des yeux, s’amuse de ses petits sauts de puce excitée avant d’y mettre un terme. « Oui, il va falloir ramener l’échelle après la mission. » Et puis, il pourra toujours la ramener, elle, quand elle le souhaitera — même s’il se demande bien ce qu’elle espère trouver de si précieux dans son débarras. Tout ce qui est réellement important est, well, conservé dans son crâne. Et puis il y a cette photo, qu’il cache dans son portefeuille, plié en deux. Celle de sa mère, la seule qu’il ait su trouver et qui ne l’a plus quittée, celle qui est à l’origine de son arrivée à Redwood Hills. Le reste, en comparaison, ne lui a toujours semblé n’être que du matériel superflus — il préférerait avoir des souvenirs et les affaires d’enfance, il les a laissé en Angleterre, pour ne pas s’encombrer. « Eh bien, j’espère que t’es pas trop pressée d’arriver jusqu’à la cabane. Je compte garder mes muscles pour te balancer sur le toit. » Et peut-être qu’il aurait du annoncer l’inverse — pouvoir trimballer l’échelle sans soucis jusqu’à la cabane et ne plus avoir de force pour tenter l’expérience de la propulsion humaine.
Too late for that.
Il s’est surestimé, Zep. Peut-être qu’ils auraient dû tirer Jamie du lit avant de venir sauver l’oiseau, finalement, car une paire de bras supplémentaire n’aurait pas été de trop. Il a les bras endoloris quand ils arrivent finalement à la cabane et il ne se fait pas prier pour déposer l’échelle comme il le peut. Il essaie de reculer pour essayer d’estimer où se trouve l’oiseau et mettre l’échelle proche sans qu’elle ne soit trop proche non plus afin de ne pas l’effrayer plus que nécessaire — il vaut sûrement mieux que Van l’approche petit à petit elle-même une fois sur le toit plutôt que sa tête ne surgisse brutalement devant les yeux effrayés de l’animal. Et tout à ses calculs et estimations, il ne remarque qu’après coup que la blonde s’est éclipsée à l’intérieur pour laisser les ratons prendre leurs aises à l’extérieur. Il salue l’un, puis l’autre, d’une grattouille derrière l’oreille avant de relever la tête au cri de l’oiseau. « Yup, je pense que j’ai pas trop mal estimé la distance de l’échelle, du coup. » Il tord les lèvres, pose un regard brun sur elle. « Non, je me servirai un verre après, t’inquiète, allons l’aider d’abord. Puis je pense qu’il aura sûrement besoin de boire lui aussi. » Il se place au pied de l’échelle, l’agrippe fermement. « Je te tiens l’échelle pour pas qu’elle glisse vu que le terrain est pas le plus adapté. Tu voudras que je monte après toi ou tu te débrouilles toute seule une fois sur le toit ? Oh, attends, on devrait préparer le matériel tout de suite. » Et il entre dans la cabane à son tour pour fouiller — aussi à l’aise chez elle qu’elle l’est chez lui, jusqu’à récupérer ce qui lui semble être approprié pour de premiers soins ainsi que des serviettes ou un torchon pour pouvoir porter l’animal sans prendre trop de risque au cas où il y ait une plaie ouverte. Il revient les mains pleines et il dépose le tout sur une marche de l’échelle. « Ok, comme ça je pourrai te faire parvenir ce dont tu as besoin sans retourner à l’intérieur. » Ce qui lui semble le plus pratique. Et il reprend sa position. « Prêt quand tu l’es. Je te fais confiance pour le reste. » Il la suit alors qu’elle s’élève en direction du toit, pas totalement rassuré — et si l’oiseau devenait violent par peur ? Ou douleur ? S’il sait que Van a un talent inné avec le monde animal, il n’empêche qu’il y a des réflexes contre lesquels il n’est pas certain qu’elle puisse quoique ce soit.

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