Installer a son bureau,  elle était concentrer sur sa tache. La maison était plutôt calme, Thomas était au sport, Carl aussi et Jenny chez une copine.  Jordan était installer a coté d’elle, plonger dans la lecture de sa bande dessiner, pendant que Roman était a l’étage en train de faire ses devoirs sans doute.  La maison était rarement aussi calme, alors elle en profitait toujours pour essayer de s’avancer un maximum dans son travail pendant ces moment. Comme cela, elle était plus tranquille après tout profité des instants en famille.  Michael rentrerait surement bientôt et irait chercher les enfants qui n’était pas là, ou alors il resterait ici pour surveiller Jordan pendant que Morgane aller chercher ses deux fils et sa fille. Oui, a tout les coups ce serait plutôt cela, et Jordan voudrait la suivre. Ca se passait souvent ainsi a bien y regarder. Enfin pour l’heure elle n’y pensait pas. Elle était en train d’écrire, quand son téléphone brisa le silence qui s’imposait en maitre sur la pièce.  Faisant au passage un peu sursauter Morgane et Jordan aussi. Ils se lancèrent un regard, elle sourit a son fils et haussa un sourcils en regardant le numéro qui s’inscrit sur l’écran de son smartphone. Elle décrocha un peu sceptique. « Madame Atkins ? » Elle haussa un nouveau sourcil. Voila bien longtemps qu’on ne l’avait plus appeler comme cela. Mais passons. « Oui ? »  « C’est l’hopital de Burlington, je me permet de vous appeler car  Eugen Horstmayer est arriver chez nous pour sa main. Nous l’avon traiter, il peut maintenant sortir, mais il ne peut pas conduire. Vous êtes son numéro d’urgence, est ce que vous pourriez venir le chercher ? » Elle resta silencieuse un instant. Le temps de bien annalysé toutes ces information. Eugen était blesser. Et surtout « vous êtes son numéro d’urgence »  cette phrase tournait et retournait dans la tête de Morgane.  « Madame ? » redemanda la voix a l’autre bout du fil, la ramenant sur terre. « Euh, oui. Oui, j’arrive. » Dit elle simplement après avoir un peu secouer la tête sous le regard interrogateur de son fils. Une fois raccrocher elle sourit a Jordan. « Tout va bien mon chéri. » Dit elle simplement après s’être lever. Elle se pencha pour lui embrasser le haut de la tête et monta a l’étage. Elle toqua a la porte de son aîné et entra en entendant la voix de l’autre coté qui l’y autorisait. « Tu peux garder ton frère un moment s’il te plait ? J’ai une course a faire. Ton père va pas tarder a rentrer. » Il hocha la tete. « Okai, mais tu vas où ? » Elle soupira doucement, elle aurait bien envie de lui répondre que ce n’était pas ses affaires. « Un… Ami… Est a l’hopital, je vais le ramener chez lui, il ne peut pas conduire. » Dit elle simplement.


Le trajet sembla durée une éternité, et pourtant il lui sembla aussi très court, trop court. Elle avait passer le trajet a réfléchir a ce qu’elle pourrait dire a Eugen, comment elle allait l’aborder. Comment elle devrait se comporter avec lui ? Et surtout, pourquoi es ce qu’elle était encore son numéro d’urgence ? Il n’avait jamais penser a changer ? Et…Es ce qu’il avait envie de la voir ? Elle fini par se garer et prit une grande inspiration avant de sortir de sa voiture.  Elle hésita un instant avant de se lancer sur le chemin, mais il fallait bien y aller. Elle redoutait ce moment. Elle l’avait repousser souvent, car elle aurait put aller lui parler, ils s’étaient croiser quelques fois, mais elle avait encore et encore repousser cet instant. Et voila que maintenant elle y était. Une infirmière la conduit jusqu’à lui.  Une fois face a lui, la boule qu’elle avait dans la gorge ne fit que grossir un peu plus. Elle l’observa un instant. Il n’avait pas vraiment changer. Ils s’étaient quitter adolescent, mais elle avait eu l’occasion de voir l’homme qu’il était devenue, le jour de son mariage, quand il s’était installer dans les invités, avec sa famille.  Et ils s’étaient déjà appercu plusieurs fois depuis son retour. Pourtant, elle avait l’impression là, de le voir pour la première fois depuis longtemps. Très longtemps. Trop longtemps. Elle fini par poser un sourire sur ses lèvres, très naturelle, décidant de rester elle-même. « Bonjour, Eugen. » Qu’elle dit simplement. Oh elle aurait put trouver bien mieux.  Mais par où commencer ? Elle lui en voulait encore mine de rien. Elle n’était même pas sur de savoir pourquoi elle avait accourut ici finalement.  Enfin, elle y penserait plus tard.  Elle fini par oser s’approcher du grand blond. « Je te ramène chez toi. Tu… Tu as besoin d’aider pour mettre ta veste ? » Elle chuchota presque la fin de sa phrase. Mince alors, elle ne savait pas trop ce qu’il lui arrivait ? Elle était troublée ? Voila un moment qu’elle n’avait plus était troublée face a quelqu’un.

L’instant de flottement qu’il y eu entre eux fut très bref, mais assez long pour la troubler. Elle ne savait pas trop ce qu’elle ressentait en ce moment. Elle lui en voulait encore, il lui avait briser le cœur, par deux fois même. Mais en même temps elle n’avait pas put s’empêcher de venir l’aider. Elle était comme une gamine face au garçon qui l’attire, elle était troubler, elle avait sans doute un peu rougi quand il avait dit son prénom.  Doucement elle secoua un peu la tête quand il s’excusa. Ca n’avait rien de grave, au contraire elle était contente de voir qu’il allait bien.  Il avait juste un gros pansement a la main. Elle avait tout de même eu le temps de s’imaginer des choses sur le trajet. Evidement une part d’elle s’était imaginer le pire, qu’il s’était fait quelque chose de grave. Donc le voir aller bien rassurait cette petite voix qui lui avait souffler le pire et la faisait taire. Maintenant elle était là, face a lui, cet homme qu’elle avait tellement aimer quand elle était jeune. Et qu’elle n’était pas certaine d’avoir oublier. Il avait toujours était là, quelque part dans ses pensées.  Un petit sourire se dessina sur ses lèvres. « Enfin, Eugen, je ne vais pas te faire prendre un taxi, alors que je suis là. Ne t’excuse pas. » Dit elle simplement.  Elle n’allait pas lui dire de prendre un taxi, et surtout pas maintenant qu’elle était là. Elle lui en voulait un peu, mais pas au point de lui refuser de l’aide.  Elle n’était pas comme cela Morgane, au contraire, elle était du genre a être toujours prête a aider son prochain. Surtout quand celui-ci s’appelait Eugen.  Elle l’aida donc a enfiler sa veste, en essayant de ne pas avoir trop de contact avec sa peau, un peu de peur d’être encore plus troublée qu’elle ne l’était déjà.  Et puis le beau blond avait signer les derniers papiers pour sa sortie, prit ses médicaments et surtout écouter les consigne pour faire ses soins. Et au cas où, Morgane s’était permise d’écouter aussi, elle s’était dit qu’elle allait envoyer un message a Luzia pour lui demander de veillé sur son frère. Elle ne pourrait pas le faire elle-même. Elle aurait bien voulut dans le fond, mais elle ne pouvait pas, ce ne serait pas correct vis-à-vis de son mari, de ses enfants et puis…Parce qu’elle n’était plus la personne qui devait faire cela pour Eugen. Elle l’avait était et elle avait aimer cela, mais elle ne l’était plus. Plus depuis longtemps.


Quand ils furent dans la voiture, elle démarra après s’être bien assurer qu’il soit attaché et bien installer dans la voiture familial. Ça n’avait rien d’une voiture de luxe, pas de voiture de sport ou de jolie berline pour Morgane, elle avait une quelconque voiture imposante avec assez de place pour toute sa grande famille. Une fois l’auto démarrer et en route, elle ne savait plus vraiment que dire, que faire. Comment es ce qu’elle était censée se  comporter avec lui ? Ce fut le blond qui brisa le silence, rapidement elle tourna les yeux sur lui. « Non, ne t’inquiète pas je pourrait finir plus tard. » Sauf son travail de mère, ca c’était du plein temps, mais ce n’était clairement pas le sujet.   Elle le regarda   a nouveau quand il lui avoua se sentir un peu stupide. Et moi donc… Qu’elle avait penser mais  sans le dire. Oui, elle aussi elle se sentait un peu stupide de ne pas comment réellement se comporter avec lui. « Tu n’as pas a te sentir stupide… C’est que moi après tout. » Qu’elle lui avait dit en souriant, pour se montrer rassurante surement.   Elle avait reposer ses grand yeux bleu sur la route. « Ta mère est au courant de ton accident ? Ou es ce que ca va faire comme la fois où j’ai dut te mener a l’hôpital pour ta cheville ? » Qu’elle avait demander alors qu’un petit sourire se dessina sur ses lèvres. Elle se  souvenait très bien de cet instant. Comme si c’était hier. Elle se souvenait combien elle avait eu peur quand il était monter sur ce mur et comme elle l’avait supplier d’en descendre. Elle s’était aussi beaucoup inquiéter quand il s’était fait mal.  Mais a cet époque elle avait put être la pendant qu’il guérisser. Là, elle ne pourrait pas. Parce qu’une vie entière les séparé maintenant. Alors qu’avant… Rien ne les séparaient.  Elle hésita un instant. Elle avait plein de question a lui poser, mais elle n’osait pas. Et surement qu’elle avait aussi un peu peur de certaines réponses. Et s’il avait refait sa vie ? Elle n’était pas en droit d’être jalouse ou d’avoir mal face a cela, après tout, elle ne l’avait pas attendue elle. Et pourtant, elle savait que s’il avait une femme dans sa vie, elle serait jalouse et surement blesser. Une belle hypocrite, voila ce qu’elle serait pour le coup. Et s’il…Repartait bientôt, encore un fois… Et si… Tellement de « et si » qui  faisait peur.  Alors, elle se dirigea vers des questions moins dur. « Ca va… Avec tes parents ? Ce n'est pas trop dur ton retour dans le Vermont ? » Et d’avoir quitter le travail de tes rêves ?