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Losing sleep, who gives a fuck?

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Eli Amdahl
-- membre qu'on adore --
Eli Amdahl

PERSONNAGE
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LITTLE TALKS : 225
PSEUDO : Al'
AVATAR : Madison Iseman
CREDITS : Tumblr
ÂGE : 27
QUARTIER : Recherche une maison, en attendant elle vit à l'hôtel sur Burlington
MÉTIER : Journaliste toujours en étude
COEUR : Juste un mariage sur un bout de papier
INTERVENTIONS RL : Oui
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MessageSujet: Losing sleep, who gives a fuck? Losing sleep, who gives a fuck? EmptyLun 16 Sep - 15:13

Losing sleep, who gives a fuck?
Søren & Eli

Septembre, Cuba.

Une décision prise dans un jacuzzi, un voyage avec un inconnu. Il l’était de moins en moins, inconnu. Eli ne pensait jamais pouvoir vivre ce genre de voyage imprévu dans un pays qu’elle ne connait pas mais dont la danse la fait vivre et vibrer encore et encore. L’avocat aussi la fait vivre. Toujours partant pour aller dans un bar dansant, toujours partant pour partager un bon repas et de bons vins avec elle, toujours partant pour la suivre dans les ruelles sombres mais qui mènent à d’autres bars, là où se cache la source même de la salsa cubaine. Eli a chaud, malgré sa tenue qui offre tout de même la possibilité à sa peau de respirer, cela ne suffit pas. La température du pays est haute, l’atmosphère dans les bars est étouffante, surtout quand le corps lui-même est en nage après des heures de danse. Sans parler aussi de l’alcool qui monte rapidement à la tête. C’est le deuxième soir de ce voyage, et Eli se lâche complètement. Il n’y a plus vraiment de filtre avec l’avocat. Elle est bien et vit l’instant présent sans se soucier du reste, ou bien des répercussions d’un tel voyage. Elle en oublie même cette quête sur la secte, ses petits tracas à Redwood Hills ou même, sa peur de vivre des nuits agitées, remplies de cauchemars. Heureusement pour elle, elle a sa propre chambre à l’hôtel, juste à côté de celle de l’avocat. La nuit dernière, elle était seule dans son lit et cela sera sûrement la même chose les autres nuits, elle a trop peur de lui montrer cette grande fragilité chez elle. Ne pas s’endormir près de lui est le meilleur remède. Bref, en attendant, Cuba lui offre tout de même une pause. Pire encore, elle la pousse à mettre des œillères et oublier qu’elle avait de véritables soupçons sur Søren et son appartenance à ce groupe. Elle se fait certainement avoir, berner, endormir par ce voyage et par ce qu’elle est en train de vivre avec lui. Sea, sex and sun. Juste profiter de l’instant, de lui et de tout ce qu’il peut lui offrir. Le reste n’a plus d’importance.

Il est 1h du matin, il serait peut-être temps de rentrer. Son corps lui dit de rentrer, il ne tiendra pas un verre de plus, mais sa tête lui demande de profiter encore un peu. Quoi qu’il en soit, Eli attrape la main de son compagnon de voyage et l’entraîne à l’extérieur pour reprendre un peu d’air. « Promis, demain, on fait une soirée dans un restaurant très très très cheeeer ! » Aucun doute sur son état, Eli a clairement abusé du mojito, du cuba libre, du daïquiri et du… Elle ne sait plus. Søren lui offre tout ce qu’elle boit, tout ce qu’elle mange, il est donc impossible de s’arrêter. Ce qu’elle essaie de lui dire c’est qu’ils pourront peut-être aller dans un endroit un peu plus chic cette fois, disons que ce soir, elle voulait simplement lui montrer l’essence même de la danse à Cuba. Eli titube mais s’accroche à son bras, comme une bouée de sauvetage. « T’as pas menti, t’es un très bon danseur ! Beaucoup trop de jalouses dans ce bar, j’ai failli crever !! » Annonce Eli avec un sourire amusé. Elle finit par se redresser, s’arrête et passe sa main sur sa joue dans l’unique but de l’attirer à elle pour poser ses lèvres contre les siennes. Sa bouche est si chaude, électrisante qu’elle en oublie son état. Elle ne sait pas comment ils vont rentrer à l’hôtel. Un taxi serait la meilleure des solutions, mais Eli n’est pas en état de réfléchir à cette organisation, elle ne vit que sur l’instant présent et dans cette ruelle avec Søren. Est-ce qu’il tient mieux à l’alcool ? Certainement. « Un autre verre ? » Non. Mauvaise idée. Pourtant, ses yeux pétillent à l’idée d’en déguster un nouveau, encore.


@Søren Vestergaard :hert:

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I tried to hide it through the silence while I played along I'm welling up behind my eyelids when I'm holding on to the rage, so badly, I hate it
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Søren Vestergaard
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QUARTIER : Midtown
MÉTIER : Avocat fiscaliste au cabinet Shelby et co-propriétaire du Valhalla
COEUR : Qui bat pour une nouvelle femme chaque soir
INTERVENTIONS RL : oui
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MessageSujet: Re: Losing sleep, who gives a fuck? Losing sleep, who gives a fuck? EmptyAujourd'hui à 20:54

TW : maladie, mort
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Søren & Eli

Septembre, Cuba.
Sourire et serrer les dents. Une tâche habituelle qui devient cependant de plus en plus complexe pour l’avocat, bien conscient depuis le départ qu’il n’aurait raisonnablement pas dû partir à Cuba avec Eli ; Pas dans cet état. Le voyage, la chaleur, les gens, le bruit : des choses qu’il adore par-dessus tout, son élément le plus brut, fêtard de tous les instants sauf visiblement ceux pendant lesquels il se sent littéralement mourir. La valise pleine de médicaments ne suffit pas à adoucir ses nuits, heureusement passées seul et lui permettant donc de faire les cents pas sans devoir affronter le regard de la jeune femme. Elle fuit à chaque fois qu’il relâche son étreinte autour d’elle et si d’habitude il aurait cherché à la retenir, à la serrer contre lui jusqu’au réveil, à la couvrir encore de baisers sous le clair de lune, cette fois Søren n’insiste pas. Au contraire. Faire semblant de ne pas avoir une migraine assourdissante et l’estomac en feu à chaque instant lui demande un effort surhumain qu’il apprécie de pouvoir relâcher la nuit venue. Un bain glacé, des comprimés, encore des comprimés et du silence ; Ça ira. Il peut tenir quelques jours – le doit de toute façon. Trouve des manières discrètes d’arrondir certains angles : pas de café, pas d’alcool -même s’il prétend le contraire pour ne pas alerter Eli- pas même une clope alors que l’ambiance lui en donnerait clairement envie. Sage. C’est forcément louche, lorsqu’on connait bien le personnage.

A défaut de brûler la chandelle par les deux bouts, l’avocat mourant s’efforce de maintenir le masque tout en profitant de ce qui sera très certainement son dernier voyage à l’étranger. Sensation diffuse, une forme de certitude qui se tisse au fil des jours : plus la force pour ça. Tragique, l’homme qui auparavant profitait de chaque instant pour découvrir le monde devra se contenter de manger des sushis devant sa télé jusqu’au moment où même ça, ce sera devenu trop. N’y pensons pas. Søren se concentre sur Eli, son rire, la façon qu’elle a de le regarder lorsqu’ils dansent ensemble. Un début de complicité sincère, plus vraiment dans la lutte pour récolter des informations – pas la force. S’il s’agit de son dernier voyage hors US, alors Eli est sa dernière acolyte d’aventures. Forcément, ça crée un lien différent, même si elle ne le sait pas. Traitée comme une princesse, certes comme toujours avec l’homme aux milles conquêtes, mais dans une forme de tendresse toute particulière. Il la trouve belle, lorsqu’elle éclate de rire. Belle, lorsqu’elle descend la fermeture de sa robe en rentrant le soir. Belle, lorsqu’elle prend sa main pour explorer une nouvelle ruelle. Des discussions futiles, un peu bêtes parfois, simplement pour le plaisir de continuer encore un peu à plaisanter et à raconter des anecdotes rocambolesques. Søren est l’homme le plus facile à vivre au monde. Sera-t-il également le plus facile à mourir ?

Il est tard, il n’en peut plus ; Fait semblant, encore, toujours, jusqu’au bout, coûte que coûte. Bon danseur, du genre à réellement adorer ça, même si chaque mouvement le tiraille il y a également du bon à se sentir profondément vivant une dernière fois. Eli attrape cependant sa main, l’entraîne à l’extérieur sans rencontrer la moindre résistance. L’air frais, c’est bien aussi. « Tout ce que tu voudras » qu’il répond dans un sourire, l’air de rien : restaurants, bars, soirées dansantes, musées, peu importe ce que la jolie blonde réclamera, il prendra sur lui pour le lui offrir. L’argent n’est plus un problème depuis de nombreuses années désormais, c’est le reste qui pourrait le pousser à hésiter et pourtant il continue à tirer sur la corde sans rien laisser paraître. Tout va bien. Cuba, c’est magnifique. Cette ambiance, tout ce qu’il adore. Tout va bien. Ses mains viennent chercher la taille d’Eli, tant pour la retenir de tomber que parce qu’il a envie de la sentir contre lui. De se sentir moins seul, dans sa carcasse. L’avantage de ne pas boire demeurant qu’il veille sur elle en pleine et entière possession de ses moyens, même s’il prétend trinquer avec elle quand même. Facile de mentir, lorsqu’on est celui qui passe commande dans une langue étrangère et sort le portefeuille à la fin. Un léger rire qui, de l’intérieur, se ressent comme des sécateurs dans ses intestins. « C’est vrai ? Aucune idée, je ne regardais personne d'autre que toi. » Beau parleur, et en même temps pas tellement. Søren est certes un homme insaisissable mais il n’a jamais couru plusieurs jupons à la fois ; Vexant, évidemment et pas son genre, de vexer une femme. Il lui offre donc ses lèvres comme si elles n’appartenaient qu’à elle, car c’est le cas au moins pour le temps de ce séjour, ses doigts se resserrant autour de la taille gracile pour exprimer un désir qui ne se tarit pas. Rester vivant. Le temps qui est compté, contre lequel on court inlassablement. « Hmm… » Une hésitation alors qu’il se recule, vient caresser sa joue avec douceur tout en observant toujours ses lèvres avec envie. Un autre verre, d’autres danses, pas forcément un programme en adéquation avec ce que lui crie sa migraine. « Est-ce que tu voudrais le prendre dans la suite ? Juste toi, moi… De la musique si tu en veux encore, je n’ai pas besoin d’un public pour aimer te faire danser. » Un autre verre, d’autres danses, pas forcément un programme en adéquation avec que ce lui crie son mal de cœur. Qu’importe ? Pour le moment, rester vivant.


_________________
Enjoy it while it lasts
•• amaaranth



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