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what now ?

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Amelia Reed
-- IF NOT NOW THEN WHEN ? --
Amelia Reed

PERSONNAGE
what now ? XpiLpNyk_o

LITTLE TALKS : 3041
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jenna Coleman
CREDITS : jenesaispas (avatar) insomniac (gif)
ALTER-EGO : Tristan aka simplet, Scar, et Joe-le-pot-de-colle
ÂGE : 36
QUARTIER : #34 lilac road avec Freya et Georgie (le chat)
MÉTIER : tut-tut ! (chauffeur de taxi)
COEUR : (é)pris
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: what now ? what now ? EmptyJeu 20 Juil - 12:56

Manquait plus que ça. Ce n'est peut-être pas ce qu'il y a de pire en matière de mauvaises nouvelles, mais dès lors que ça concerne sa mère, elle a tendance à... surréagir ? À croire que toute sa patience a été usé la concernant. Pourquoi sent-elle déjà l'exaspération pointer le bout de son nez d'ailleurs ? Ce n'est pas comme si c'était Jolene la fautive. Elle serait même la victime, à en croire Paul. Un cambriolage ? Heureusement qu'elle peut compter sur lui pour la prévenir. Sa mère lui en aurait-elle seulement touché un mot ? Elle est persuadée que non. Sûrement qu'elle l'aurait appris bien plus tard, via le journal de la ville. Reste à savoir en quoi peut-elle présumer avoir le droit de le savoir... Elle ne se pose pas cette question, non, elle est trop occupée à se faire une montagne de ce qu'elle ne sait pas. Elle le savait ! Elle le savait, que tôt ou tard sa mère referait des siennes. Non, décidément, ses sentiments semblent incapables d'épargner cette dernière – une question d'habitude ? Amelia n'a pas encore bien intégré l'information qu'elle presse déjà le pas en direction de sa maison d'enfance. Et elle n'a pas à aller bien loin pour ça, puisqu'une dizaine de maisons les séparent seulement. Elles habitent la même rue ? Elle répondrait bien qu'elle loge chez une amie, qu'elle n'a pas choisi le lieu, mais tout ça semble bien arrangeant. Assez arrangeant pour qu'elle aperçoive déjà les silhouettes familières, là, sur le perron d'une maison tout autant familière.
- Maman ! Maman ? Elle aurait mieux fait d'interpeller Paul, celui avec qui elle parle encore, la raison de sa venue. Celui qui n'aurait probablement pas fait cette tête en l'entendant. Cette tête, oui, celle que tire sa mère : la surprise, puis le renfrognement.
- Qu'est-ce que tu fais là ? Ça ne peut pas être un hasard, pas vu l'état dans lequel elle se trouve – elle a couru jusqu'ici ? À moins que ça soit de l'apercevoir au loin en compagnie d'un policier qui a suffit à lui couper le souffle. Un policier passé inspecteur qui n'a plus à porter l'uniforme... Paul. Mais bien sûr.
- C'est toi qui... Évidemment, son regard passe de sa fille au jeune homme et fait le lien. L'air interrogateur devient vite accusateur. Bien sûr qu'il fallait qu'il la prévienne, elle aurait dû y penser. Il est donc l'amie de sa fille avant d'être inspecteur de police ? C'est finalement Amelia qu'elle condamne de son regard.
- Qu'est-ce que tu fais là ? Question qu'elle a déjà posé, mais qui n'obtient toujours pas de réponse. De toute façon, elle se répète surtout pour lui faire comprendre qu'elle ne veut pas d'elle ici, non ? Message passé – message attendu même – seulement ça ne change rien : l'intruse s'immobilise à leur hauteur et, tout de même, l'inquiétude finit par se manifester.
- Tu vas bien ? La fille balaie sa mère de la tête aux pieds d'un regard. Si elle tient toujours sur ses deux jambes, sans signes apparents de blessures, c'est que tout va bien ? Si seulement tout était aussi simple. Mais ce seul coup d'œil semble lui suffire comme réponse, puisqu'elle n'attend pas la confirmation de sa mère pour se tourner vers son ami. Avec tout ça, c'est vrai qu'elle n'a pas pris le temps de répondre à son message.
- Merci de m'avoir prévenu. Elle parle sans réfléchir, avec reconnaissance, sans penser qu'elle tend une perche à sa mère aux détriments de Paul.
- Oui, merci de l'avoir prévenu. Le ton est amer – c'est à son tour d'être condamné par son regard. Et ces lèvres pincées... non, elle n'est pas ravie. L'homme est au centre de toute l'attention des Reed.
- Qu'est-ce qu'ils lui ont pris ? Qu'est-ce que tu sais ?
- Tu vois pas qu'on était occupé Amelia ? Amelia, c'est bien elle, Amelia Reed, sa fille, qui persiste à l'ignorer. Son excuse : regarder Paul. Ce n'est pas qu'elle tient à faire comme si elle n'existait pas, mais c'est plus simple ainsi, plus simple d'éviter la discussion – la confrontation.

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Paul Gordon
-- membre qu'on adore --
Paul Gordon

PERSONNAGE
LITTLE TALKS : 108
PSEUDO : Polymnie
AVATAR : Colin Morgan
CREDITS : mrs.chaplin (ava)
ALTER-EGO : Faith, Caly, Julian
ÂGE : 37
QUARTIER : Willow Street (#067) appartement 1
MÉTIER : Sergent-détective
COEUR : Patient
INTERVENTIONS RL : Oui
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MessageSujet: Re: what now ? what now ? EmptyMar 15 Aoû - 15:16

Dilemme, nom masculin – Se dit d’une situation qui nécessite de faire un choix entre deux solutions contradictoires, chacune étant aussi insatisfaisante l’une que l’autre. Prévenir Amelia, au risque de subir les foudres de sa mère. Ou ne pas le faire, et manquer de mettre en péril une amitié déjà fragilisée par tant d’autres péripéties. Bientôt, le compromis lui apparaît soudain. Un texto – laconique – dont son amie ne prendrait peut-être pas connaissance avant une heure ; deux, s’il est vraiment chanceux. De quoi lui laisser l’opportunité de terminer son inspection avant que le vent ne se lève. Le policier le sait – les relations entre les deux femmes sont loin d’être au beau fixe. Et si Amy ne venait pas ? Si le sort de Jolene lui importait si peu ? La déception se mêle au soulagement dans le creux de son estomac, tandis qu’il se prend à guetter du coin de l’œil l’arrivée de la brune. Viendra, viendra pas. Aucune solution ne lui paraît vraiment satisfaisante, comme il s’attache à reprendre le fil du récit que lui livre la victime - celui d’un cambriolage tristement semblable à tous ceux qui ont frappé leur petite bourgade ces derniers mois. Le carreau d’une fenêtre – fracturé ! Une poignée de bijoux et quelques objets de valeur – envolés ! Plus de peur que de mal, mais un sentiment de malaise et d’insécurité que lui ne saurait dissiper. Pas quand l’enquête piétine depuis déjà si longtemps – ce qu’il est parmi les premiers à déplorer.

« Je vais avoir besoin de la liste précise de tout ce qui a disparu. » énonce-t-il encore, à l’heure où les propos de son hôte se font de plus en plus répétitifs et confus – et comment l’en blâmer ? L’émotion est encore vive et les accents d’une voix familière, de l’autre côté de la rue, ne saurait l’apaiser – au contraire. Cette voix, Paul l’aurait reconnue entre mille, si bien qu’il sent son estomac se tordre, en même temps qu’il se prend à courber le dos – feignant de redoubler de précision dans son relevé d’empreinte. A la vérité, il aimerait bien disparaître sous cette couche de poudre noire dont il vient de badigeonner le rebord de la fenêtre. Car il ne faudra pas longtemps à Jolene pour voir en lui une autre forme de coupable. « J-Je... » bafouille le jeune homme, sans même chercher à soutenir ce regard noir et accusateur. « J-J’ai pensé... » Voici déjà qu’Amy arrive à leur hauteur, l’air sincèrement préoccupée par le sort de sa mère – plus qu’elle n’aurait prétendue l’être dans d’autres circonstances. Mais la voix ne trahit jamais – pas plus que le regard, inquiet. La reconnaissance de l’une est définitivement à la hauteur de l’amertume de l’autre. Bientôt, le policier se trouve au cœur de toutes les attentions – lui qui s’épanouit mieux dans l’ombre et dans l’indifférence. « Eh bien… Justement... » reprend-il, en réaction à la question de son amie que Jolene a tôt fait d’interrompre. Pris entre les tirs croisés des deux femmes, le brun sent qu’une balle perdue pourrait bientôt l’atteindre. « J-Justement. » poursuit-il, au terme d’une profonde inspiration. « Je vais avoir besoin de la liste précise de tout ce qui a disparu. » Sa demandée renouvelée, il sent bien que son hôte attend de lui qu’il l’aide à congédier sa fille – laquelle n’est pas directement concernée par cette affaire. « J-je vais aussi avoir besoin de relever vos empreintes. » bafouille-t-il encore, avant de désigner Amelia. « … les siennes, aussi. » L’instant d’après, il se tourne vers son amie pour répéter : « Les tiennes. » Car il n’entend pas ignorer sa présence, comme Jolene s’efforce de le faire. « C’est j-juste pour… les écarter, vous comprenez. » De celles, potentiellement incriminantes, qu’il pourrait relever sur le rebord de la fenêtre ou ailleurs.
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MessageSujet: Re: what now ? what now ? EmptyVen 8 Sep - 17:32

Paul. Se concentrer sur lui, pour ne pas regarder sa mère. Pourquoi ? Pour éviter d'engager les hostilités ? Comme si ça n'a pas tout d'agaçant d'être ignoré ainsi. Maman Reed ronge son frein. Peut-être qu'elle est en tort, peut-être qu'Amelia n'a pas à s'imposer ainsi, mais pour sa défense – si c'en est une – elle a hérité de l'entêtement des Reed : elle ne veut rien entendre. Enfin si, sauf si ça vient de son ami, qui pourrait tout lui apprendre, n'en déplaise à sa mère. A-t-elle conscience de la position inconfortable dans laquelle elle le précipite ? Seulement après coup. Trop tard pour ravaler les questions dont elle l'assaille, et si elle a cru qu'elle pourrait y échapper, c'est bien à la propriétaire des lieux qu'elle va devoir s'adresser pour obtenir des réponses. Serait-elle disposée à leur apprendre ce qui a disparu maintenant que c'est le policier qui en fait la requête ? Ou attend-elle que sa fille reparte d'où elle vienne ? Elle tient là une façon efficace de se débarrasser d'elle, si sa coopération dépend de son départ. Prudemment, l'intruse se tourne vers sa mère, se demandant si elle va saisir cette occasion. Cette dernière tarde à répondre. Elles se jaugent du regard. Finalement, c'est Paul qui brise le silence, et sa requête ne tombe pas dans l'oreille d'une sourde : la réaction est spontanée, la contrariété aussi.
- Quoi ? Mais ça fait des mois que j'habite plus ici ! Même plus que ça. Comme si ça changeait quelque chose. Elle sait que c'est pas Paul l'ennemi au moins ? Paul qui fait aussi partie des forces de l'ordre, certes, seulement ce n'est pas comme si elle avait quelque chose à se reprocher. Non ? Oui, mais... il y a quelque chose qui ne lui plaît pas, à ce que ses empreintes ne soient plus siennes et seulement siennes. Et Jolene dans tout ça ? Si cette perspective la contrarie, elle le cache bien.
- Bien sûr, pas de problème.
- T'es sûr ? L'émotion la rend décidément trop spontanée. Irréfléchie. L'idiote s'en mord la lèvre, et ça lui vaut un long regard de sa mère. Un long silence aussi. Entre mère et fille, tout se passe dans les yeux à cet instant : la première a parfaitement saisi le sous-entendu, et la seconde a conscience de son erreur. Finalement, si Jolene se fait entendre, c'est à Paul qu'elle s'adresse.
- Prends les siennes en premier. Qu'on ne la retienne pas plus longtemps. Moi, je vais aller faire cette liste. Et si le sergent n'avait pas dans l'idée une liste écrite, c'est bel et bien pour mettre la main sur du papier et un stylo qu'elle disparaît à l'intérieur de la maison. Il ne reste plus que les deux amis d'enfance. Un regard ennuyé vient se poser sur lui.
- C'est vraiment nécessaire ? Pas seulement pour elle. C'est pour sa mère qu'elle s'inquiète réellement. De toute évidence, la fille a des raisons de craindre que ces empreintes ne la trahissent pour elle ne sait quelle exaction. C'est bien là tout l'objet de leur confrontation silencieuse, mais évidemment que c'est nécessaire, elle le sait. Ce n'est pas la faute de Paul, ça aussi elle le sait. Soupir – elle bat en retraite. Elle n'avait pas pensé à ça, tiens.
- Désolé. J'aurais pas dû venir. C'est juste que... Qu'elle n'a pas réfléchi, qu'elle s'est laissé porter par un coup de tête. Par un coup de tête seulement ? Par son inquiétude également. Essentiellement. Parce que si les tensions crèvent les yeux, elle ne se soucie pas moins de sa mère.
- Purée, elle était dans la maison quand ils ont piqué tout ça ? Elle n'a rien entendu ? Inquiète, oui, elle est inquiète – même si c'est trop tard pour ça. Ses bras viennent se réfugier autour d'elle. Ça ne sert à rien de se soucier de ce qui aurait pu mal tourner, elle doit se concentrer sur le présent. Après s'être détourné momentanément, elle retrouve Paul. Paul, le sergent. Paul, son ami. Les deux se confondent à cet instant.
- Il n'y a que toi ici ? Comment ça se fait que la patrouille soit pas venue ? Elle ne veut pas présumer. L'idée ne lui vient même pas encore à l'esprit – c'est pas parce que c'est sa mère, si ?

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MessageSujet: Re: what now ? what now ? EmptyDim 14 Jan - 11:25

Toutes les familles heureuses se ressemblent, mais les familles malheureuses le sont chacune à leur façon. A bien des égards, le clan Reed appartient désormais à la deuxième catégorie. Avait-ce toujours été le cas ? Il lui semble que non, tandis qu’il s’en remet à ses propres souvenirs. Bien sûr, une ombre avait toujours pesé sur ce tableau – celle d’un père absent que Jack et Amelia n’avaient pas même connu. Quelle importance, quand cette mère courage s’était toujours montrée déterminée à les aimer pour deux ? Lui-même n’aurait pas pu en dire autant de ses propres parents. N’est-ce pas de là qu’Amy tient sa bravoure, sa débrouillardise et cette propension à voir le bon côté de choses dans chaque situation ? Ne pas pleurer – jamais. Pas même pour la mort d’un frère – d’un fils. Ce soir-là, Jack n’avait pas seulement retourné l’arme contre lui. Il l’avait braqué sur sa sœur, sur sa mère, et sur leur vie d’avant dont le sergent arpente désormais les ruines. Et voici que ces deux forts caractères s’affrontent, dans une joute verbale dont les détails lui échappent encore – pour partie. Il croit savoir à quoi raccrocher l’inquiétude qu’il lit dans les yeux d’Amelia, et cela le met mal à l’aise. A la faveur de leur amitié retrouvée, elle lui a confié ses soupçons. Elle s’est confiée à son ami, pas au Sergent Gordon. Voici pourtant que les deux se confondent, dans un parfait imbroglio qui lui fait regretter d’être venu. Presque.

Jolene a déjà disparu dans la pièce voisine. Voici qu’il se racle la gorge, profondément gêné, en même temps que de chercher dans le fond d’une sacoche de quoi relever leurs empreintes. « C’est… la procédure. » murmure-t-il alors, en réaction à la question de son amie qu’il voudrait ne pas avoir à interpréter. Mais n’est-ce pas son boulot ? Écouter ce que les gens disent, pour mieux déceler ce qu’ils cachent ? « C’est seulement pour dissocier vos empreintes de celles d’une tierce personne. » Si tant est que le voleur – et ses éventuels complices – se soit montré assez imprudent pour ne pas porter de gants. Le détective nourrit bien peu d’espoirs à ce sujet. « De quoi as-tu peur… ? » se risque-t-il à chuchoter, en même temps que d’esquisser un geste dans sa direction – pour finalement se raviser, en même temps qu’il sent son estomac se contracter douloureusement. Et de secouer doucement la tête, en signe de dénégation – car à la vérité, c’est plutôt lui qui n’aurait pas dû venir. « … tu t’inquiétais pour elle. » énonce-t-il tout de même, à mi-voix, comme pour finir la phrase qu’elle avait fait le choix de laisser en suspens. Et d’ajouter, comme pour se prémunir de la répartie de celle dont les attaques sont toujours si… imprévisibles. « C’est ta mère. » Pour quelle autre personne au monde aurait-elle pu s’inquiéter de la sorte ? « Vous vous ressemblez trop pour parvenir à vous entendre. » se risque-t-il encore à ajouter, dans un sourire mi-taquin mi-tendre, à la pensée des souvenirs qui hantent cette maison – et que les malfrats n’auraient jamais pu leur soustraire. « Tout se passe très vite. La plupart du temps. » énonce-t-il encore, en réaction à la remarque d’Amelia qu’il cherche encore à interpréter, à la lumière des soupçons qu’elle lui a confié il y a de cela quelques temps et qu’elle se garde bien de mentionner à nouveau – pour une raison qu’il croit deviner et que la question qui suit ne fait que confirmer. « J’ai pensé... » bafouille-t-il alors, comme il s’efforce de ne pas avoir l’air de se justifier. « J’ai pensé que ce serait plus facile d’avoir affaire à quelqu’un qu’elle connaît. » A un ami – oserait-il le formuler ainsi ? « Amy... » murmure-t-il encore, d’une voix plus basse. « Je suis de ton côté, tu sais. » Car il la sent tout-à-coup sur la défensive. Et de rectifier ses propos : « Je suis de votre côté. » Il n’est pas permis d’en douter.
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