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baby steps, i'm doing fine \ joe

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Henrik Stanhope
-- membre qu'on adore --
Henrik Stanhope

PERSONNAGE
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PRÉSALIENSTOPICS
baby steps, i'm doing fine \ joe LsApcGa
LITTLE TALKS : 1163
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : joe alwyn
CREDITS : ava by kidd / gifs by joe alwyn daily tumblr / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → freya (ft. j.comer) la portugaise romantique → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 36
MÉTIER : architecte en urbanisme durable à son compte et agent de développement local. Pas le temps de s'ennuyer.
COEUR : blasé
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: baby steps, i'm doing fine joe baby steps, i'm doing fine \ joe EmptyJeu 18 Juil - 19:02



baby steps, i'm doing fine

feat joe & henrik
Repousser un meeting une fois, ça va. Henrik peut comprendre. Mais rendu à la quatrième fois, ça commence à l’irriter. Le stress s'accumule, et il sent sa patience s'effilocher à chaque report. Ce n'est pas seulement une question d'agenda ; il a besoin de cette rencontre, de cette discussion essentielle avec la personne concernée pour pouvoir poursuivre avec le projet de l’écoquartier. Henrik a tout préparé : les plans, les projections budgétaires, les propositions d'optimisation des coûts. Et puis, faut dire que venant de la directrice des infrastructures, ce n’est pas très professionnel. Certes, chaque excuse semble valable – un problème urgent à régler, en lien avec son enfant. Mais Henrik commence à douter de l’importance que la directrice accorde réellement à leur projet. Du coup, alors que cette fois-ci l’excuse de son jeune enfant qui semble avoir attrapé un rhume à la garderie, Henrik compose un email ferme mais courtois, expliquant la situation et proposant une réunion à domicile. À sa grande surprise et satisfaction, elle accepte la proposition. Un soulagement palpable envahit Henrik. Il sent une lourde pression se dissiper légèrement. Rapidement, il appelle Joe, son assistante, pour lui faire part des changements de plan du jour. « Joe, madame Pearson a un imprévu à la maison, mais elle a accepté de nous recevoir chez elle. Je vais passer te chercher dans une heure. » Henrik pose le téléphone, ses pensées tournant autour de cette nouvelle dynamique de travail. Bien que cela fait déjà quelques semaines que Joe l’assiste, ça lui fait encore bizarre de se référer à elle. Habituellement solitaire dans ses projets, il n'est pas encore complètement à l'aise avec l'idée de déléguer. Habitué à travailler en solo, il se demande parfois si c’était vraiment nécessaire de l’avoir. Il se souvient de ces premiers jours, où chaque interaction avec Joe semblait maladroite et superflue. Mais, au fil du temps, il a dû admettre que sa présence avait ses avantages. Voir Joe répondre à des courriels futiles à sa place, filtrant les informations importantes des banalités, lui enlève une petite charge de travail des épaules.

Le duo se présente donc chez la directrice à Burlington. Ils sont accueillis par celle-ci, son enfant d’à peine un an et demi dans les bras. « Je suis vraiment désolée pour les inconvénients, » répète-t-elle à plusieurs reprises en les dirigeant vers le salon. « La réalité d’être mère monoparentale est plus difficile que je croyais », confie-t-elle en déposant doucement son petit dans le parc qui lui est destiné. Le garçonnet babille joyeusement, ignorant totalement les tensions professionnelles de l'instant. Henrik hoche la tête, bien calme et posé, comme à son habitude, la gratifiant d’un sourire sincère. « Il n’y a vraiment pas de souci. On comprend. » Il observe la scène, son esprit tiraillé entre l'empathie et ses propres aspirations. Ferait-il mieux à sa place ? Difficile à dire. Bien que ces dernières années, il ait quelque peu idéalisé, en silence, l’idée d’avoir un enfant, il a du mal à concevoir comment il pourrait concilier ses projets ambitieux avec les responsabilités de la parentalité. L’idée d’introduire un nouvel élément aussi exigeant que la paternité semble à la fois attrayante et terrifiante. Pendant que Joe installe son ordinateur portable et sort les documents nécessaires, Henrik s’efforce de recentrer son attention sur la réunion. La directrice, visiblement fatiguée mais résolue, s'assoit en face d'eux, prête à écouter et à discuter des points cruciaux du projet. Les premières minutes de la réunion se déroulent sans encombre, mais soudain, une interruption survient : le téléphone de la directrice sonne. Elle s’excuse rapidement, l’éteint avec un sourire gêné, et ils poursuivent la conversation. Mais à peine quelques minutes plus tard, le téléphone sonne de nouveau. La directrice, visiblement stressée, refuse de répondre, se concentrant sur la présentation d’Henrik. Il essaie de rester focalisé, mais la troisième sonnerie brise définitivement sa concentration. « Ça semble urgent, vous devriez peut-être la prendre », souffle Henrik, sentant une certaine irritation montée. Elle refuse, en disant privilégier cette rencontre, mais l’architecte insiste pour qu’elle prenne l’appel. Ce qu’elle fait, en se levant et sortant à l’extérieur pour répondre, les laissant seuls avec le bébé. « Je n’ai jamais vu ça », admet-il enfin, laissant percevoir ce brin d’irritation, ce qui n’est pas à son habitude. Mais Henrik sait retenir son besoin de s’exprimer. Avant qu’il puisse ajouter quoi que ce soit, le bébé se met à pleurer plus fort. Le regard d’Henrik se pose sur le petit, dans son parc, avant de se tourner vers Joe. Devraient-ils tenter de le calmer ou attendre que madame Pearson revienne ? Sauf qu’à la voir à travers la fenêtre, elle ne semble pas se rendre compte que son bébé pleure à l’intérieur.

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maybe I'm hiding behind metaphor. maybe my heart needs to break to be sure. one day, i'll wear it all on my sleeve. the insignificant with the sacred unique. ─ sleeping at last
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Joe O'Hara
-- Don't grow up, it's a trap ! --
Joe O'Hara

PERSONNAGE
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LITTLE TALKS : 311
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Raffey Cassidy
CREDITS : ultraviolences (avatar)
ALTER-EGO : Tristan, Oscar & Amelia
ÂGE : 22
QUARTIER : #9 farming area, chez Wanda (pnj)
MÉTIER : assistante d'Henrik (mais ne lui demandez pas ce qu'elle doit faire exactement)
COEUR : idk
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: Re: baby steps, i'm doing fine \ joe baby steps, i'm doing fine \ joe EmptyDim 11 Aoû - 12:01

Une heure. Non, plus que vingt minutes. Vingt-et-une exactement. Pourquoi l'idiote n'a pas pensé à vérifier son portable plus tôt ? Elle le sait pourtant, qu'elle a des responsabilités maintenant ! Et dans vingt-et-une minutes, l'assistante d'Henrik Stanhope doit être prête à monter dans sa voiture. Ce n'est pas comme si elle avait tout un tas de choses à préparer avant ça, mais quand même, il faut qu'elle s'y prépare. Psychologiquement. Elle ne peut pas dire qu'elle est à son aise dans ses fonctions, mais c'est bien normal, après seulement quelques semaines d'expérience ? L'appréhension est là, celle de ne pas savoir ce qu'elle fait – mais de le faire quand même. Il ne faudrait pas lui demander ce qu'implique d'assister un architecte en urbanisme, lorsqu'elle improvise jour après jour. Déjà qu'il lui en a fallu plusieurs pour retenir les mots exacts de son métier à lui. Alors Joe aimerait bien penser qu'elle ne s'en sort pas si mal, à défaut de très bien, mais elle en est toujours à craindre de ne pas réussir à faire l'affaire, de finir par être remercié. Elle a bien conscience de ses maladresses, de son ignorance, du temps perdu à corriger ses erreurs. Mais elle essaye, elle s'accroche, ça compte quand même ?
Merde, non, pas ce chemisier là, il est tâché. À croire que son seul devoir est d'être présentable. Accessoirement, elle met aussi la main sur son ordinateur portable (celui généreusement fourni par son patron) et les documents qui peuvent concernés la cliente du jour. Merde bis, dans la précipitation, les papiers lui échappent et tout est mélangé. Elle n'a rien oublié au moins ? Elle se tord le cou pour vérifier que la voiture n'est pas déjà là – ça serait quoi le pire, se faire attendre ou risquer d'avoir oublié le plus important ? Elle prend le temps de s'attacher les cheveux et se force à ne pas vérifier une énième fois qu'elle a tout ce qu'il faut.
Juste à temps : elle s'éjecte de la maison et monte dans la voiture. Comme à chaque fois, elle s'efforce de ne rien laisser paraître, mais la proximité du grand patron lui fait le même effet : qu'est-ce qu'il est bougrement intimidant. Si seulement il jurait contre Madame Pearson et ses imprévus, ou faisait une sortie de route, mais non, tout est toujours parfait le concernant. Même pas un faux pli ou un cheveu de travers quoi. Ce n'est pourtant pas faute de guetter le moindre faux pas, une quelconque preuve qu'il est bel et bien humain – tout ça quand il ne regarde pas évidemment – mais non, elle en est encore à l'impression de faire tâche à côté de lui. Une enfant qui prétend être une adulte.
Faire semblant, oui, c'est ce qu'elle fait, faire semblant de savoir ce qu'elle fait, lorsqu'ils arrivent à destination et qu'ils prennent place dans le salon de Madame Pearson. La seule bonne surprise se trouve dans les bras de sa mère, puis dans le parc à proximité – elle a un enfant ? À croire qu'elle n'écoute rien de ce que lui raconte son patron. Elle se sentirait certainement plus dans son élément auprès du nouveau-né, mais elle est incapable de lui prêter attention : en présence des deux professionnels, elle se sent obligée de s'affairer, de fouiller dans ses papiers même quand il n'y a rien à chercher, de prendre des notes même lorsqu'il n'y a rien à noter. S'il doit y avoir un faux pas, ça ne doit pas venir d'elle, et ouf, c'est la directrice qui s'y colle. Je n’ai jamais vu ça. Et elle, n'a jamais entendu ça. Serait-ce une pointe d'exaspération qu'elle peut deviner à son ton, à présent que leur hôte s'est éclipsée ? Joe redresse les yeux de son clavier, mais elle ne sait pas quoi répondre. Que sait-elle de ce qui doit être vu ou non, de ce qui est acceptable ? Elle regarde la fautive pendue à son téléphone, à faire des allers-et-retours dans le jardin, puis elle tourne la tête tout à l'opposé : bébé pleure dans son parc. Un instant de battement, à voir Henrik se tourner vers elle, et elle réagit.
- Je m'en occupe, qu'elle manque d'exclamer. I call it first. Comme s'ils allaient se battre pour s'occuper du bambin. Comme si ce n'était pas à l'assistante qu'incombaient les tâches ingrates. Joe est déjà sur ses deux jambes, et après trois enjambées, elle n'hésite pas : elle se penche et vient prendre l'éploré dans ses bras. Pas le temps de se demander si elle a le droit, si ça se fait – ou pas l'envie surtout. Elle n'a pas vraiment d'expérience avec les enfants, mais elle n'en a pas besoin, quand elle est convaincue que c'est une évidence. Dans ses bras, elle aime à penser que la pose se fait naturellement, elle le berce doucement et lui parle encore plus doucement. Tch-tch-tchut. C'est quoi ce gros chagrin ? D'un pied sur l'autre, elle se retourne, elle se promène dans la pièce. Non vraiment, elle fait tout comme il faut. Alors pourquoi bébé pleure toujours ? Ses oreilles commencent à souffrir et son cœur en stresse. Elle n'a pas oublié qu'elle n'est pas seule, elle hasarde un coup d'œil du côté du patron. Elle se sent obligée de se justifier.
- Je crois qu'il a faim. Forcément, c'est quelque chose pour lequel elle ne peut rien. Elle continue pourtant de le bercer, avec moins d'aisance peut-être, plus de surplace. Elle doute. Que doit-elle faire maintenant ? Elle ne sait pas, elle ne sait pas, alors elle continue ce qu'elle fait déjà. Et bébé pleure toujours. Et maman ne revient pas. Désemparée, la jeune femme se résigne à trouver plus longuement le regard du Stanhope. Un appel à l'aide, pas moins.

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