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A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo)

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Calypso Marquez
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Calypso Marquez

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MessageSujet: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 10 Sep - 10:41

Le propre du téléphone, c’est de sonner à l’improviste – de préférence, au moment le moins opportun. Comme ce soir-là, celui du traditionnel cocktail de rentrée réunissant l’ensemble du personnel de Shelby & associés. Au programme ? Costumes trois pièces, talons aiguilles et sourires Colgate:registered:… Sans oublier le meilleur champagne – Ruinart Blanc des Blancs de 2009, s’il vous plait. Alors, au moment de prendre l’appel, la jolie brune ne cherchait pas à maquiller son agacement. « Marquez. » Quelle qu’ait pu être la raison de son appel, cet opportun serait reçu avec autant d’égards qu’un vin pétillant de Bourgogne dans cette soirée standing. « Vous étiez censé garder un œil sur lui. » Passé l’effet de surprise – et la contrariété que lui inspirait les propos qui lui étaient tenus, à l’autre bout du fil, la mexicaine jugea finalement préférable de s’éloigner de quelques pas – en même temps que de baisser d’un ton, la main posée contre ses lèvres qui continuaient de s’agiter furieusement. « Peu importe. » grinça-t-elle, tandis qu’elle étirait le bras pour se saisir de son manteau, suspendu dans l’entrée du cabinet. « Donnez-moi l’adresse. Je vais m’en charger moi-même. » Et de franchir la porte du bureau, sans l’ombre d’un regard par-dessus son épaule.

Jorge Marquez avait ses habitudes dans les bars alentours, de Redwood Hills à Burlington en passant par la brasserie des Cartwright à Saint-Albans. Cette fois, c’est au Garnet qu’il avait élu domicile, à une bonne vingtaine de kilomètres du centre de convalescence que sa fille lui avait dégoté – le troisième en l’espace de deux ans. Sans doute avait-il mis toutes ses économies dans le taxi qui l’avait conduit jusqu’ici – de quoi expliquer l’humeur maussade du barman. « Il va falloir régler ses consommations. » De quoi lui attirer le regard noir de notre mexicaine dont le vieil ivrogne venait tout juste de remarquer la présence. « ¡Calypso! » bafouillait-il, en même temps qu’il s’efforçait de se laisser glisser au pied du tabouret où il était perché – depuis déjà trop longtemps, à en juger par son haleine avinée. « Calypso! Mi luna... ¿Eres tú ? » En l’espace de quelques minutes à peine, les paires d’yeux de la petite dizaine de clients que comptaient le bar à cette heure avancée s’étaient braquées sur eux. « Il ne peut pas rester ici. » renchérit le serveur qui semblait sur le point d’alerter les autorités. « Oui, ça va, Moe. » rétorqua l’avocate, dans une allusion aux Simpsons qui ne sembla pas flatter son interlocuteur. « Je crois qu’on a compris. » Et de se saisir de son portefeuille pour jeter une poignée de billets à la tête de ce malotru. L’instant d’après, elle se tournait vers le vieil homme qu’elle saisit par la taille, dans l’espoir – vain – de le soutenir jusqu’à la voiture. Jamais ce bar miteux ne lui avait semblé si grand.

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Leo Jensen
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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 17 Sep - 21:45


A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad

Ce soir sonnait presque comme une rentrée des classes pour l’avocat. Comme tous les membres du personnel, il a été convié à un cocktail organisé par Shelby & Associés. Ce n’est pas pour lui déplaire, c’était l’occasion d’échanger avec d’autres collaborateurs, ceux que l’on n’a pas forcément l’habitude de travailler avec. Il est vrai que c’est un job solitaire, mais l’avocat à l'occasion d’échanger de de former des binômes avec certains, lorsque l’occasion se présente. En dehors de ses clients habituels, il suit toujours l’avancée très lente du recours collectif entamé il y a déjà une année de cela en collaboration avec Calypso, dont il semblerait que la reconversion professionnelle, ou plutôt l’évolution logique de celle-ci ait été un succès. S’il appréciait travailler en sa compagnie, Leo n’avait pas oublié la promesse faite à Rafael, à savoir de garder un œil sur la mexicaine concernant l’affaire de son ami / futur employeur Manny Singh. En terme d’enquête, il n’avait pas pu faire grand chose, - sans avoir à fouiller dans ses affaires -, et avait trouvé une ouverture numérisée d’un dossier, avec la procuration signée par le propriétaire de la boutique de jeu-vidéo, désignant Calypso comme son avocate, avec élection de domicile à l’Etude.  Rien de louche, mais Raf n’était pas de ceux qui criaient au loup pour rien. Du moins, c’est ce que l’avocat avait constaté au fil des années. Il se disait donc qu’il devait persévérer pour découvrir quelles étaient les réelles intentions de la jeune femme vis à vis de ce fameux jeu-vidéo, presque destiné à être avorté avant sa naissance.

Son regard scrutait les lieux et l’attention de l’avocat s’arrête d’ailleurs sur Calypso. Il hésite à s’approcher mais se ravive en la voyant répondre à son téléphone, et s’il n’arrivait pas à lire sur ses lèvres, il remarque surtout que tout en parlant, cette dernière attrape sa veste, signe logique qui indiquait son départ.   Curiosity killed the cat. Piqué par son sens du devoir rendu, par la curiosité mais également poussé par le fait que la soirée subissait un moment de creux, l’impulsif décide de suivre la jeune femme, en quittant à son tour les bureaux sans demander son reste. Suivant l’avocate jusqu’à Redwood Hills, Leo est surpris de devoir se garer non loin de l’entrée du Garnet. Ce n’est pas un lieu qu’il fréquente, c’est certain, sans doute par non-envie de se mélanger avec la faune Redwoodienne, et ses nombreux alcooliques. Avant de sortir, il délaisse sa veste et sa cravate dans sa voiture et s'avance vers le bar pour y observer l'intérieur de celui-ci. S’attendant à reconnaître un visage familier, ou quelque chose de plus shady, Leo fronce les sourcils, en observant la scène qui se déroulait à l’intérieur du bar.  Ce n'est absolument pas ce à quoi il s'imaginait, et un brin de culpabilité l'envahit, en plus de se sentir con. dumbass, think, quick. Pour tenter de sauver les meubles, tandis que le duo qui flanchait s'approchait de la porte, l'avocat sort son téléphone prétendant d'être au téléphone, en jetant un œil à l'entrée, il ouvre la porte : what do you mean you can't come ? seriously. la porte ouverte, Leo continue de réciter à son interlocuteur imaginaire : fine, next time, i'll call you later. Son regard se pose sur Calypso et la personne qu'elle tenait par la taille. Surprise. Presque dans un film, et avant qu'il n'ait le temps d'ouvrir la bouche, le dieu de l'alcool décide d'agir en sa faveur, en faisant trébucher l'homme sur la sorte de mini marche entre la chaussée et la porte du bar. Leo l'attrape par le bras, pour lui éviter de tomber la tête la première sur le bitume. Oh bah Monsieur, restez avec nous! Rien de cassé ? Un sourire éternel colgate, et une de ses remarques dont il a le secret plus tard : J'ai toujours dit qu'ils allaient se prendre un procès un jour, sans afficher un attention à la marche. Pas ce soir qu'on allait devenir riche, donc. Où est-ce qu'on va ? Enchaîne l'Orienté solution, aussitôt à l'adresse de l'avocate, sans laisser un moment de flottement s'installer.

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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 26 Nov - 16:36

« Vamos, papá. » sifflait la jolie brune, les dents serrés par la contrariété au moins autant que par l’effort que représentait le fait de soutenir à bout de bras un homme de quatre-vingt kilos, abruti par l’alcool. « Sólo un poco más de esfuerzo... » La porte de ce purgatoire n’était plus, désormais, qu’à quelques pas. Déjà, il lui semblait sentir l’air frais qui s’engouffrait depuis la rue tandis qu’un homme – visiblement en grande conversation téléphonique – s’introduisait à l’intérieur du bar. Les yeux résolument fixés sur le bout de ses escarpins, la mexicaine entendait ne pas s’attarder – tout, plutôt que de prolonger cette humiliation. Mais c’était sans compter sur la roue du destin – et le concours du Dieu Bacchus – qui vit son père trébucher sur le seuil et s’agripper au bras de l’homme pressé. Un inconnu… qui ne l’était pas tant. Leo Jensen, fraîchement délesté de la veste et de la cravate qu’elle était pourtant tout-à-fait certaine de l’avoir vu porter quelques instants plus tôt. Les traits toujours flanqués de ce sourire charmeur – et par là même, insupportable. « Qu’est-ce que tu fais là ? » s’exclama-t-elle, à brûle-pourpoint, sans pour autant attendre de réponse – rien qui soit de nature à la persuader du caractère fortuit de cette rencontre, à tout le moins. « C’est elle, pas vrai ? » poursuivait-elle déjà, persuadée d’avoir mis le doigt sur ce qui avait pu convaincre son collègue de déserter la fête pour venir la trouver ici. Comment ? En la suivant à son insu, il ne pouvait pas en être autrement. Une demande qui ne pouvait émaner que d’une seule personne. « Elle claque des doigts... » Et de mimer le geste. « Et toi tu t’exécutes – comme une gentil petit toutou. » Nul autre que Selene exerçait ce pouvoir – dont l’efficacité se révélait particulièrement redoutable auprès de ces mâles en rut que le pouvoir au féminin privait de toute forme de raison. « Noche de mierda. » conclut-elle finalement, en même temps que de saisir son père par le col de sa veste pour tenter de le soulever et de contourner son collègue. Sans grand succès.

« Oh, et puis merde. » cracha-t-elle finalement, à bout de forces. « Puisque t’es là... » Au terme d’un instant d’hésitation, la jolie brune finit par abandonner le vieil homme au bras de l’avocat, le temps de se glisser jusqu’à sa voiture, garée quelques mètres plus loin. Le temps d’ouvrir la portière, la mexicaine fit signe à son collègue d’approcher pour l’aider à étendre l’ivrogne sur la banquette arrière. Où allaient-ils ? « On ? » feint-elle de s’étonner, non sans un rire sans joie – teinté de sarcasme. Et de claquer la portière avec force avant de contourner le véhicule. « Toi, tu n’vas nul part. » reprit-elle alors, en même temps que de pointer un index accusateur sur celui dont l’aide s’était pourtant révélée salutaire – bien qu’elle ne l’avouerait jamais, pas même sous la torture. « Crois-le ou non, je ne suis vraiment pas d’humeur à jouer le remake de Driving Miss Daisy. » Voilà qui était dit. « Sur ce, salue ton ami imaginaire pour moi. » Celui qu’il avait feint d’avoir au téléphone – probablement pour maquiller la véritable raison de sa présence ici, qu’elle n’avait de toute façon pas le loisir d’élucider. Là-dessus, la jolie brune s’engouffra au volant de sa voiture, prête à démarrer en trombe. Mais c’était sans compter sur les crachotements du moteur, visiblement peu coopératif. « C’est pas vrai… C’est une blague. » se lamentait déjà notre furie, à grands renforts de coups de poing sur le volet. « Joder de mierda. » Ne dit-on pas que les emmerdes volent toujours en escadrille ?

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Leo Jensen
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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyMer 29 Nov - 22:52


A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad

Bien décidé à forcer le destin, à défaut d’avoir les réponses qu’il souhaitait ce soir, Leo sort de l’ombre. Après tout, c’était de la faute de Rafael, s’il n’avait pas été un ami aussi fidèle, il ne se serait pas retrouvé dans une pareille situation, à quitter une soirée de boîte qui était pourtant si divertissante. Devant l’entrée du bar, Leo feint un appel téléphonique - ce n’était probablement pas sa meilleure performance, mais il avait fait avec ce qu’il avait sur le moment. Était-ce à ce stade de la curiosité malsaine ou un réel envie d’aider cette collègue, qui en dehors des soupçons qu’un pouvait avoir à son égard, une certaine affection était également de la partie. Ayant rattrapé l’homme ivre, il entend la jeune femme lui aboyer dessus pour s’enquérir de la raison de sa présence. Il ne dit rien. La mexicaine ne s’arrête pas dans sa lancée, bien décidée à le démarrer pour cette intrusion. Elle accuse la célèbre rousse et peut-être que pour une fois, ce genre d’accusations l’arrange bien. Il préfère qu’elle se pense surveillée par la hiérarchie que par quelqu’un d’autre. Leo sait qu’elle ne lui accorde pas une grande confiance, et ses mots ne changeront pas grand chose. Aoutch. Qu’il se contente de répondre, face à sa virulence justifiée. On dirait que t’as toutes les réponses.

Comme quoi, il savait se la fermer par moment, l’avocat. C’est qu’elle semble bien énervée et il la voit tenter de gérer la situation, à savoir d’aider à porter l’homme seule. En vain. ça coûte à l’égo mais je peux t’aider. Qu’il siffle, alors qu’il marche, s’interrogeant sur leur destination, à savoir la voiture de Calypso. Alors qu’il aide Calypso à étendre l’homme ivre sur la banquette arrière, l’avocate ne manque pas de l’envoyer paître. Okay, fuck you then. Qu’il pense fortement, bien qu’il ne lui en faisait pas part. Comme tu veux. Rentre bien. Se contente-il de dire, pour donner le change, sans doute pas dans l’idée d’insister après cette drôle d’interaction. C’est qu’il sait faire le dos rond et encaisser, malgré l’égo. Tandis qu’il observe sa collègue s’engouffrer dans son véhicule pour disparaître sans doute au plus vite. Pourtant, ce n’est pas ce qu’il se passe, la voiture de Calypso n’avait pas l’air de vouloir coopérer ce soir. Karma ? Au lieu de courir à son secours, l’avocat s’éloigne de plusieurs pas. Pauvre elle, à une pareille heure, il allait être difficile de trouver une dépanneuse. Il pourrait bien évidemment se renseigner, mais étant une réelle brêle en mécanique, il prend son téléphone pour feindre d’appeler à nouveau son ami imaginaire. Hi Karma, again, what’s up ? Il se rapproche finalement, en pointant son téléphone et en mimant : Comment tu vas faire ?? Tu veux que j’appelle S. ? Le mâle vexé.


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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptySam 23 Déc - 9:30

Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Caly avait toujours entretenu un rapport particulier avec l’argent. A tous ceux qui prétendent qu’il ne saurait faire leur bonheur, elle avait pris pour habitude de répondre qu’elle ne manquerait pas de leur faire signe lorsqu’elle serait enfin au volant de son Audi TT Roadster rouge flambant neuve. Quinze ans de dur labeur avaient finalement vu ce rêve se changer en réalité. Dommage pour elle, les performances de son joli petit bolide avaient finalement rattrapé son ego – comme si les paroles qu’avaient prononcé son collègue, quelques instants plus tôt, avaient une valeur prophétique. « Putain... » crachait déjà la jolie brune, les traits déformés par la rage. « … de soirée... » Et de frapper du poing sur le volant. « … de merde ! » Un ronflement sonore, en provenance du siège passager, finit de l’en convaincre. Que faire, alors ? N’importe quoi – tout plutôt que de se prendre à jeter un regard désespéré dans le rétroviseur, au cas où l’autre se retournerait ? Pourvu que l’avocat n’en ait rien vu, sans quoi il ne lui restait plus qu’à s’enterrer six pieds sous terre. Folle de rage, la mexicaine finit par s’extirper de la voiture – et pour quoi faire ? De toute évidence, elle n’allait pas soulever le capot et opérer le patient, là, devant ce bar miteux, et alors même que son paternel comatait à l’avant. Appeler une dépanneuse était sans doute une option plus sûre – mais qui prendrait des heures. A moins que…

« Hm, hm – très drôle. » pestait déjà la jolie brune, en réaction aux railleries de son collègue – tout en s’efforçant, cela dit, de diminuer d’un cran son niveau d’agressivité. Car après tout, on n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Et force était de constater qu’elle ne pouvait espérer se tirer de ce mauvais pas sans une main secourable – fut-elle indigne de confiance. « Leo... » soupira-t-elle enfin, les dents serrées, comme si l’on était sur le point de lui arracher un ongle. « Pourrais-tu… s’il te plaît... » Pourquoi était-ce si compliqué ? De réclamer son aide. « … nous déposer chez moi ? » Et, de préférence… « J’aimerais autant… Que ça reste entre nous. » Là-dessus, la jolie brune vint jeter un regard inquiet par-dessus son épaule. Craignait-elle le regard des passants, ou celui de S. ? Laquelle verrait sûrement d’un très mauvais œil le fait qu’un ancien fidèle se balade ivre mort d’un bout à l’autre du village, prêt à déballer ses plus noirs secrets pour soulager sa conscience de vieillard. De quoi inciter notre mexicaine à ne pas s’attarder. Quoiqu’il en coûte. « Ton prix sera le mien. » Signer des chèques en blanc était pourtant bien loin de ses habitudes. « Je sais bien que rien n’est gratuit. Surtout venant de toi. » Pas très délicat, sans aucun doute, de mordre ainsi la main qui lui était tendue. C’est qu’elle ne pouvait pas s’en empêcher, Caly. Elle était le scorpion ; lui était la grenouille. Ne restait plus qu’à espérer qu’elle ne cède pas à la tentation de le piquer avant qu’ils aient atteint l’autre côté de la rivière.

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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 24 Déc - 14:17


A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad

Si après cet échange foireux Leo s’éloigne, il préfère attendre de voir la voiture de Calypso disparaître de son champ de vision. Ce n’est malheureusement, pour elle, pas ce qu’il se passe. Le moteur fait un bruit dérangeant, de ceux qui indiquent un problème sous-jacent qui mériterait l’intervention d’une dépanneuse. Vraiment pas le bon timing pour qu’une malchance pareille ne s’abatte sur l’avocate ingrate.  Le rancunier ne se la joue pas aux chevaliers en armure blanche pour la sauver. Faut dire que son géo a été froissé, si en effet, l’intelligente avait vu juste dans ses mauvaises intentions, le fait est qu’il lui avait quand même proposé son aide et qu’il s’était pris un aller-retour.  Ce n’était pas ce soir qu’il aurait les réponses aux questions de Rafael, et soucieux de vouloir bien faire, pour son allié à qui il lui devait une fière chandelle, le brun devait revoir sa stratégie. Faut dire qu’il n’a aucune envie de repasser pour un con.


De mauvaise foi, il se moque alors de la juriste, en mimant d’appeler quelqu’un, une fois de plus, allant même jusqu’à lui suggérer d’appeler miss S, qui sait, elle pourra peut-être l’aider ? Elle peut se montrer généreuse à ses heures perdues. Pas réceptive à son humour, Caly reprend la parole, pour lui demander - avec beaucoup de peine - son aide. Comme il aime se faire désirer, l’avocat savoure cet instant avec beaucoup de satisfaction. C’est qu’il aime rendre service ce garçon, et ne pas être celui qui serait redevable. Sa demande de taire cet incident est raisonnable. Peut-être que lui-même est suffisamment honteux de l’avoir suivie jusqu’ici pour ne pas avoir envie de s’étaler sur le sujet non plus. Faut dire que ça ne lui apportait pas grand chose qui plus est. Il s’avance à nouveau davantage, au niveau du siège conducteur où était encore assise Calypso, pour lui donner son prix, qui finalement était un des piliers de son existence. Ton amour et ta reconnaissance éternelle feront l’affaire. Il le dit avec un sourire, de ceux qui sont mi amusé, mi espiègle.


Comme il n’a pas envie de négocier au milieu de la rue, il ne s’attarde pas, après tout, son prix était le sien. Autant passer aux choses sérieuses. Il recule pour atteindre la porte du siège arrière. Alright mister, siesta is finita. Quand on est pas bilingue, autant avoir de l’assurance, right ? Il attrape l’homme, non sans une certaine difficulté, mais il remercie ces dernières séances à la salle, dans lesquelles il avait augmenté les charges. Une fois qu’il a sorti l’homme ivre, il se met à marcher en direction de sa caisse. Let’s go sunshine. Qu’il lâche, avec sa nonchalance naturelle. Comme il pouvait comprendre son envie de ne pas s’attarder, il se presse d’attendre son bolide, qui à lui aussi, lui avait coûté une fortune. Il espère qu’il ne sera pas malade, mais à voir le personnage, Leo se dit qu’il était certainement habitué, et pas de ceux qui régurgitent tout ce qu’ils avaient bu. Une fois dans la voiture, soit également une Audi d’une autre gamme, une Q3, Leo se tourne vers Calypso, et se voit obligé de l’interroger : T’habites où ? Forcément, puisqu’ils avaient beau s’être lancés quelques flatteries de temps à autre, les deux avocats ne s’étaient jamais rendus chez l’un ou chez l’autre. S’il savait qu’elle habitait à Redwood Hills, il ne savait pas dans quel quartier exactement. Il démarre tout de même le véhicule et s’engage en direction des quartiers résidentiels.


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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 21 Jan - 16:45

Son amour ? « Je le monnaie plus cher que ça. » Et notre effrontée d’ajouter – au mépris de tout risque de le voir tourner les talons et l’abandonner à son sort : « Quand à ma reconnaissance éternelle… Je ne te la donne pas. Je te la prête. » Ce qui était déjà beaucoup, n’est-ce pas ? En dépit du pétrin dans lequel elle se trouvait, la jolie brune entendait bien avoir le dernier mot – et s’en tirer la tête haute. Force était pourtant de constater qu’elle aurait bien besoin de l’aide de Leo pour hisser son poivrot de père d’une voiture à l’autre – lequel se réveilla tout juste, le temps de bafouiller quelques mots d’espagnol, d’une voix pâteuse. Sans y prêter trop d’attention, la mexicaine s’élançait au-devant des deux hommes pour ouvrir la portière, priant le ciel pour que le siège de la Q3 ne pâtisse pas d’une soirée assurément trop arrosée. Si son collègue s’en inquiétait peut-être, il cachait bien son jeu, derrière cet air assurément décontracté – celui-là même qu’on lui connaissait d’ordinaire. Bien qu’elle ne l’avouerait jamais – pas même sous la torture – Caly lui était reconnaissante. « Willow Street, 80. » répondit-elle, en même temps qu’elle se hissait à son tour dans la voiture. Une petite maison sans prétention, à quelques rues de là – si bien qu’ils ne mirent pas plus de quelques minutes à s’y rendre.

Sitôt l’Audi garée dans l’allée, le vieil ivrogne parut se réveiller et retrouver l’usage de sa langue – au grand désespoir de sa progéniture. « Est-ce qu’il est mort ? » rugit-il brusquement, en même temps que de se pendre au col de l’avocat qui lui prêtait de nouveau un bras secourable. Ses yeux étaient comme fous, prêts à sortir de leur orbite, tandis qu’il répétait, avec davantage de force encore : « Est-ce qu’il est mort ? » S’en suivit une longue plainte, semblable au cri d’un animal blessé. « J’avais confiance en lui… Vous comprenez ? Cet argent… C’était pour la ferme. Il a promis de m’aider. Je n’savais plus quoi faire, Inspecteur, vous devez me croire. » L’homme vociférait si fort que des voisins commençaient à se montrer à leurs fenêtres, ameutés – et contrariés – par ce tapage. « Tais-toi. » s’exclamait sèchement Caly qui se précipitait déjà vers la porte d’entrée, à la recherche de ses clés dans le fond de son sac. Mais rien ne semblait pouvoir arrêter cette confession nocturne. « Ils sont tous morts, pas vrai ? » Le vieillard éclata en sanglots, comme un petit garçon. « Je n’ai pas pu, vous comprenez ? » Dans son délire, il continuait de s’adresser à Leo comme s’il s’était agi de l’un des officiers de police à qui il avait dû rendre des comptes, des années plus tôt, au lendemain de la tragédie qui avait frappé Redwood Hills. « Nous allons avoir un bébé, vous savez ? Un petit bébé. Je ne veux pas mourir. » Cette fois, c’en était trop pour Caly. «¡Cállate! » La porte à la volée et la mexicaine s’empressa de venir en aide à l’avocat pour tirer son père à l’intérieur, jusqu’à la chambre d’ami sur le lit de laquelle le vieil homme se laissa bientôt tomber, aussitôt rattrapé par le sommeil.

Le temps de reprendre son souffle, la jeune femme invita son collègue à rebrousser chemin jusqu’à la pièce à vivre, encore plongée dans la pénombre. Le temps d’actionner l’interrupteur, elle se délesta de sac et manteau avant de se tourner vers lui pour le sonder de ses deux grands yeux sombres. « C’est parfait pour ton rapport. » Le ton de sa voix était plus sec qu’elle ne l’aurait voulu. « Un ancien adepte, plein de remords et prompt à partager sa culpabilité après quelques verres. » Elle était sur la défensive, Caly. Et pour cause ! Nul doute que cela ne serait pas du goût d’une certaine personne. « J’imagine que je serai officiellement persona non gratta quand elle aura entendu tout ça de ta bouche. » Là-dessus, elle s’approcha du bar pour en tirer deux verres et une bouteille de whisky. « Trinquons à ma déchéance ? » Puisqu’il était venu jusqu’ici.

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Leo Jensen
-- membre qu'on adore --
Leo Jensen

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LITTLE TALKS : 631
PSEUDO : sasa
AVATAR : Aaron Taylor Johnson
CREDITS : (c) sidesnack
ALTER-EGO : Sam, Chase.
ÂGE : 33
QUARTIER : Willow street — dans une maison.
MÉTIER : avocat en droit civil — Family and Succession Law
COEUR : i'd like very much to be excluded from this narrative
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: Re: A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad (Leo) EmptyDim 21 Jan - 20:43


A quien le cuentas tus secretos, le vendes tu libertad

Damn woman ! Qu’il s’exclame, plus avec amusement - bien qu’au fond, elle était tout de même gonflée d’oser négocier dans ce genre de moments, bien qu’à dire vrai, cette répartie à toute épreuve était sans doute un trait qu’il appréciait plus qu’autre chose chez elle, et de ce fait, à un certain point, il serait hypocrite de le lui en faire le reproche. Dure en affaires. En conclut-t-il simplement, d’un ton rhétorique, puisque ça aussi, c’était un fait avéré. Il verrait bien à quel point sa reconnaissance éternelle prêtée avait de la valeur dans le concret mais pour le moment, il se contenter d’exécuter la promesse d’une aide presque bienveillante en évacuant l’homme de la voiture de sa collègue. Une fois l’opération d’échange de voiture faite, le brun s’installe au volant de son Audi, tandis qu’il ne peut que l’interroger quant à la destination. Le trajet n’était pas long, et lui-même réalisait qu’ils vivaient dans la même rue, bien qu’à l’opposé. Il n’en dit rien, ne jugeant pas l’information très pertinente alors qu’il venait de se garer dans l’allée de la maison où vivait Calypso. S’il avait été plus aisé de le transporter d’une voiture à l’autre, la tâche se complique soudainement, lorsque l’homme plus réveillé qu’auparavant vient s’accrocher au col de sa chemise, le surprenant dans la volée. Il s’arrête dans sa lancée, interpellé par les propos qui - pour l’instant - n’avaient aucun sens pour Leo. Il fronce légèrement les sourcils, comprenant que l’homme le prend pour un inspecteur de police. Ça va aller monsieur, calmez-vous. Lâche-il, sans grande conviction en voyant l’état émotionnel dans lequel se trouvait l’homme qui se confessait bruyamment. Malgré l’injonction de Calypso, le silence ne revenait pas dans l’allée, ce qui poussait évidemment Leo à se presser d’aider l’homme qui pleurait à présent. Je vous crois, maintenant on va aller à l’intérieur, okay ? Personne ne va mourir.   Mieux vaut éviter d’alerter le voisinage, manquerait plus qu’une vieille dame se mette à appeler la police. Le faux inspecteur d’un soir, aidé par sa collègue, transporte l’homme ivre et émotionné dans la maison, jusqu’à la chambre que Caly lui désignait. Si tout s’était passé vite, ses pensées tournaient en rond en repensant aux dires de celui qui était effondré sur le lit, essayant de les remettre dans un contexte précis. Avec un long temps de réflexion, il s’imaginait qu’il était un proche.  Sur le lit, sans doute parce qu’il est un brin psychorigide, il lui retire ses chaussures, avant de rebrousser chemin et de suivre sa collègue dans la pièce principale. Pour une fois, la pipelette ne brise pas le silence, sans doute parce qu’il ne sait pas par quoi commencer, et s’imagine qu’il n’allait pas s’attarder.

La mention de rapport lui rappelle sa fausse narrative selon laquelle il la suivait sur demande de Selene. Il se pince la lèvre, il aimerait lui dire qu’elle faisait fausse route, mais d’un autre côté; il n’avait aucune envie de se griller, c’était la seule chose que Rafael lui avait demandé de faire, et il craignait quelque part les conséquences d’une éventuelle déception. Dans tous les cas, Leo savait qu’elle ne lui faisait pas confiance, à juste titre. Calypso répond à ses interrogations internes, au sujet du sens de ses propos à l’extérieur. Il réalise à quel point il ne connaissait pas sa collègue, ni d’où venait son lien avec la Rose. Puisque tu m'invites ! C'est une première. Il sourit, puis voulant finalement écarter le doute sur ses intentions, il commence par dire :   Y a rien à raconter, t'as rien fait, je vais rien dire.   Souffle Leo, qui retire son manteau, si déchéance au sein de la Rose il y aura, il n’en sera pas la cause. Il enchaîne aussitôt : I know, tu ne me crois pas, mais tu verras. Ou plutôt elle ne verra rien, puisqu’il ne comptait pas relater cette histoire. Mais ça, seul le temps lui confirmera cette affirmation.  Qui plus est, s’il ne se lance pas dans une plaidoirie, depuis un an, elle-même pouvait constater qu’aucun de leur échange n’avait fuité. Il arque un sourcil, puis dans une moue amusée ajoute : J’imagine que tu vas aussi devoir me prêter ta confiance. Et ça, c’était sans doute d’une plus grande valeur que de la reconnaissance, bien que ça se débattait selon le personnage en question. Ce soir, il ne s’en sort finalement pas si mal. Je suis pas une si bonne fouine que ça, je ne savais pas que ton père avait été un adepte. Avoue-t-il sans qu’elle n’ait réellement confirmé l’identité de l’homme dans la chambre d’amis, mais on n’allait pas lui en vouloir pour prêcher le faux pour savoir le vrai, right?  Il ne peut s'empêcher, l'instant d'une seconde de songer au fait que si l'homme n'est pas connu de Leo, c'est qu'il est parvenu à sortir de tout ça, et entre deux pensées, à savoir de comment avait-il fait et la peur de finir bouffé par les remords, le brun en frissonne presque, et balaye cette intrusion, de peur qu'on puisse la lire en lui.  




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