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need you for the oxytocin

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Leo Jensen
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Leo Jensen

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MessageSujet: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptyDim 5 Mai - 23:58


need you for the oxytocin
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feat @Elizabeth Brennan

Leo avait tenu sa promesse, dans leurs échanges, à savoir qu’il serait là. Pas d’annulation de dernière minute, pas de clients chiants. Il avait besoin de s’envoler quelque part, il passe des semaines minables au travail, et l’idée de s’échapper, lui avait redonné un coup de boost pour le reste de la semaine. Entre le job, et la dernière fois où ils s’étaient vus, Leo ne respirait pas forcément la joie de vivre, faut dire que l’épisode du bureau l’avait miné, et que le malaise était resté un bon moment. S’il lui avait dit qu’il allait lui écrire, il s’était retrouvé plusieurs fois con, devant son écran de téléphone portable à trouver quoi dire pour briser la glace. Il voulait juste passer outre cet incident, cette conversation, globalement l'entièreté de cette journée. Autant dire qu’il avait flippé, en recevant son message, lui parlant du QG qu’elle n’avait pas retrouvé - signe qu’il avait eu peut-être raison de bloquer sur cette histoire en premier lieu, - la peur qui l’avait animé, autant dans le bureau que plusieurs jours plus tard s’était ravivée. Pourtant, cette fois-ci, plus armé de recul, il avait su rebondir rapidement. Malgré la pression de la menace d’un certain blocage, il s’était défendu d’un malentendu et avait fait en sorte que cette histoire - avec un peu de chance - ne soit qu’un mauvais souvenir. Il avait bien relevé sa réticence à le croire, à remettre en question ses paroles aussi rapidement finalement. Pourtant, la rouquine avait accepté de passer un week-end en sa compagnie. Il ne savait pas si c’était uniquement parce qu’il l’offrait, ou si à ce stade, il y avait peut-être une part d’elle qui l’appréciait un peu quand même. Well, si ce n’était qu’une histoire d’abdominaux, l’avocat s’en contente très bien également, pas sûr d’avoir le fin mot de cette histoire, en réalité.

Ils s’étaient donnés rendez-vous à l’aéroport. Bien que le voyage était court, une petite escapade, il avait tout de même pris une petite valise avec lui. Cette princesse voulait des habits de rechange, comme s’il partait à la guerre et voulait être prêt (et surtout bg) en toutes circonstances. Il avait pris deux vols en business, bien que la durée de ceux-ci n’étaient que d’une heure et demie, le brun était visiblement d’humeur à claquer sa thune, n’ayant jamais été bien radin, quand il s’agissait de se faire plaisir. Sa mauvaise passe économique semblait être justement, passée. Au fond, peut-être qu’il en faisait trop, mais Leo s’en foutait, il préfère ne pas réfléchir parce qu’il n’a jamais fait ça : emmener une nana qu’il fréquente à peine, (et surtout avec laquelle il n’a jamais couché), qu’il ne connaît pas tant que ça, pour passer un week-end ailleurs. C’est un peu inédit, et s’il pense beaucoup, il préfère se dire que le pire était passé, et qu’ailleurs, loin de toutes choses qui pouvaient lui poser problème, les choses ne pouvaient qu’être bonnes, right ? Si on omet bien sûr que la ville où il se dirigeait regorgeait de souvenirs qui pouvaient être sympas à revisiter (non).

S’il lui avait laissé le choix du programme, il s’était chargé de l’organisation logistique, notamment de l’endroit où ils allaient dormir. Encore une fois, il n’a absolument pas été modeste, quitte à être là, autant séjourner au Mandarin Oriental, flamber sa thune pour oublier la procédure stupide qui lui a permis de financer cette petite folie lui allait bien. Arrivés audit hôtel, les deux amants pas encore aimantés, voient les 54 étages filer jusqu’à atterrir devant la porte de la suite qu’il avait réservée pour l’occasion. L'endroit à la vue panoramique, autant sur la Hudson River que sur Central Parc, vendait du rêve en soi - la princesse avait quand même, mine de rien, eu envie d’épater l’autre princesse qui se trouvait à ses côtés. Une fois à l’intérieur, il lui explique la configuration de la suite, j’ai pris une suite avec deux chambres, je savais pas trop ce que tu préférais, alors dans le doute… Qu’il lui explique son processus de pensée, dans tous les cas, l’important à retenir est que : t’as toutes les options ! Il n’a rien envie de lui imposer, sans doute qu’il marchait un peu sur des œufs, mais c’était plus lié au fait que c’était l’inconnu, avec elle, plus qu’autre chose. Il s’approche d’ailleurs de la couturière, cherchant une proximité avec elle, - loin d’être l’homme gêné et hésitant de la fois passée, il l’entoure de ses bras en étant derrière et, laisse glisser un : Dis, t’es toujours fâchée ? Qu’il l’interroge, en déposant quelques baisers dans son cou. Est-ce qu'il arrivera à la faire fondre ? Clairement, c'est l'objectif. Il relève légèrement la tête, un petit sourire malicieux, l'observe un instant avant de regarder droit devant lui : Champagne ? Qu'il demande, en pointant le kit de bienvenue qui contenait une bouteille dans une petite glacière.


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Elizabeth Brennan
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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptyMar 7 Mai - 15:37

Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Week-end à New-York, vol en classe business, hôtel de luxe qui dès l’ascenseur avait flanqué le vertige à Betty : on pourra dire ce qu’on voudra, Leo n’a pas lésiné sur les moyens investis pour rattraper une situation qui semblait pourtant de plus en plus compromise. Qu’est-ce qu’elle fait là, Beth ? Observant l’homme à la dérobée alors qu’il ouvre la porte de leur suite, elle se le demande sincèrement. Ce n’est pourtant pas son genre de tomber si facilement, simplement parce qu’on secoue une jolie liasse de billets sous son nez. Il faudra donc admettre que ce n’est pas ça, qui l’a convaincue. Elle était à deux doigts de le bloquer, pourtant. Vraiment très proche de tirer un trait complet sur cette histoire foireuse, inutilement compliquée et éveillant de plus en plus ses soupçons. Mais si elle avait eu tort pour ce foutu QG (interdiction d’en reparler, taisez-vous), peut-être qu’elle a tort aussi de soupçonner Leo de lui mentir sur tout un tas de choses ? D’abord l’emploi du temps impossible, ensuite cette panne survenue pour des raisons obscures et la discussion hyper bizarre qui s’en était suivie… Et pourtant, elle est là. Avec Leo. Allez savoir. Quelque chose chez lui la fascine bien davantage qu’elle n’accepterait de l’avouer, même sous la contrainte.

Le cœur au bord des lèvres alors qu’elle s’approche silencieusement d’une fenêtre. Nouveau vertige. Jamais elle n’a dormi dans ce genre d’endroit, la rouquine qui se prend pour une princesse sans toutefois en avoir les moyens. Dans son dos, la voix de Leo lui arrache finalement un petit sourire. Elle mentirait si elle affirmait que tous les efforts qu’il investit pour se racheter restent sans effet. « Est-ce que ça n’aurait pas coûté moins cher de prendre deux chambres totalement séparées, sans la suite ? » Comme si la proximité la gênait. Il est néanmoins plus simple de jouer à la pimbêche que de reconnaître qu’elle a accepté de partir avec Leo parce qu’elle en avait sincèrement envie, tout comme elle avait envie de sentir ses bras se refermer autour d’elle depuis qu’ils se sont retrouvés à l’aéroport quelques heures plus tôt. « Très fâchée » confirme-t-elle en fermant les yeux, se sentant un peu frissonner sous ses baisers. L’attitude ne suit pas tout à fait les mots, et au fond même Beth ne sait plus vraiment pour quelle raison elle devrait être fâchée. Qu’a-t-elle à lui reprocher, concrètement ? Il ne lui a pas menti, ou du moins n’en a-t-elle aucune preuve. Quant au petit incident et à la gêne qui a suivi… Elle ne sait pas vraiment quoi en penser. Quoi qu’ait pu en dire l’avocat, force est de constater que Betty ne s’est pas vraiment retiré de la tête l’idée que ce devait être lié à elle, à son corps ou à ce qu’elle a pu faire. Et elle n’a pas mangé grand-chose, depuis.

Mais pourquoi Leo lui aurait-il proposé de partir avec lui en week-end si elle ne lui plaisait pas ? Pourquoi aurait-il réservé cette suite, pourquoi serait-il en train de la serrer contre lui et de l’embrasser ? Et de l'autre côté, pourquoi n'a-t-il pas réussi à coucher avec elle lorsqu'il le pouvait si elle lui plait vraiment ? Tout ceci n’a guère de sens et laisse la rouquine confuse, dans l’appréhension de la suite. A la proposition de l’homme, elle rouvre les yeux et tourne un peu la tête pour considérer la bouteille attendant sagement sur la table. « Un verre, pourquoi pas. » Traduire : je ne sais pas si je rejouerais la scène du prosecco ce soir, même si j’en ai toujours autant envie et que la porte n’est pas totalement fermée. A l’envie se mêle néanmoins une certaine peur désormais, celle de s’enflammer de nouveau sous les mains de Leo pour constater une seconde fois que son corps à lui ne réagit absolument pas à ses caresses à elle. Gros coup dur mon sa confiance en elle, bien obligée de le reconnaître. Puis il ne l’avait même pas embrassée, avant de la laisser quitter le cabinet... Prise dans trop de contradictions, elle réprime un léger soupir en sentant les mains de Leo se défaire et se retourne pour l’observer alors qu’il ouvre la bouteille. S’il n’était pas aussi sexy… Mentons avec elle, et essayons de nous convaincre que tout ne se résume réellement qu’à ça. « Pourquoi ce caprice, au fait ? » Se mordant la lèvre, elle hésite un instant. « Par message, tu m’as dit de te suivre dans ton caprice et que tu avais absolument envie de partir. Pourquoi ? Tu… Ca a été, ton audience ? » Erk. Des fucking questions sur son job, réellement ? Elle avait dit qu’elle s’en foutait, pourtant, dès le premier café partagé avec lui. Elle entend déjà suffisamment d'histoires de lois et de procès dans sa famille pour en plus s'infliger ça auprès des mecs avec lesquels elle couche, ou même pas d'ailleurs. Force est pourtant de constater qu’après trois disputes, cinquante baisers et deux tentatives pour coucher ensemble, le quotidien de l’homme en est tout de même venu à l’intéresser. « Est-ce que c’est pour ça que tu n’es jamais dispo en ce moment : trop de boulot ? » Heureusement, Beth restant Beth, y compris les questions les plus sincèrement empathiques peuvent toujours cacher l’ombre d’un petit reproche bien senti.

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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptyMar 7 Mai - 21:06


need youf or the oxytocin feat @Elizabeth Brennan

Au fond, ils ne se connaissent pas vraiment, Leo ne savait pas quoi attendre de ce week-end mais est certain qu’il en apprendra probablement plus sur celle qui l’accompagnait. S’il pouvait anticiper certaines choses, par exemple, il ignorait qu’elle pouvait être impressionnée par la hauteur, et s’il avait su, il aurait probablement évité de prendre l’une des suites les plus étagées de l’hôtel. C’est principalement la vue qui l’a fait choisir dans ce sens. Dans la suite, il lui présente les lieux, ou plutôt la configuration de ces derniers, en précisant qu’il y avait deux chambres. La chieuse pense aux économies qu’il aurait pu faire s’il s’était contenté de prendre deux chambres séparées, sans la suite. Il se pince la lèvre inférieure. Probablement, il hausse les épaules, l’air de dire who cares? certainement pas elle, right ? Ce n’est pas comme s’il allait lui faire payer. Promis, si t’as envie que je te laisse tranquille, t’auras qu’à mettre un do not disturb devant la porte, souffle-il, sans perdre sa bonne humeur pour autant, bien qu’il ne sache pas toujours comment interpréter certaines de ces paroles. Contrairement à ce qu’il venait de dire, à savoir de la laisser tranquille, sur le moment, il en profite plutôt pour se rapprocher. Parce qu’entre ne pas vouloir être un needy pot-de-colle, et être distant, il y a un juste milieu. Il entoure sa taille et embrasse son cou ; une question soufflée sous le ton de la malice. Sa réponse, en contradiction avec sa réaction, lui arrache un petit sourire. D'autres baisers. Son parfum vient chatouiller ses narines, loin de lui déplaire. ça se voit. Qu’il constate, avant de laisser son regard se poser sur cette bouteille de champagne qui n’attendait qu’à être ouverte. Puisqu’elle était là, autant la boire, right ? Et puis c’est l’occasion de commencer ce week-end d’une manière festive.

Lorsque Betty accepte, Leo défait son étreinte, laisse ses lèvres insatiables remonter jusqu'à sa mâchoire, puis sa bouche. Un baiser volé, avant de s’éloigner de quelques pas pour s’exécuter. C’est un peu à contrecœur, mais l’avocat d’humeur affectueuse trouvera sans doute d’autres occasions allant dans ce sens. Il lui avait fait part de son souhait, sous entendu de se rapprocher d’elle durant le week end, à travers l’évocation du souvenir d’eux deux sur son canapé, espérant que ce serait enfin pour eux la chance d’enfin parvenir à s’envoyer en l’air. S’il sait ce qui l’avait tant déstabilisé la dernière fois, Leo était certain que cela ne se reproduirait plus. En tous cas, il en serait le premier outré, mais si cet événement avait mis un petit coup à son assurance, Leo avait décidé de gérer ses émotions en niant que cet événement était arrivé tout court. Il n’a aucun doute sur l’étendue de son désir pour la jolie rouquine, pour s’être refait plusieurs fois le film de leurs rapprochements. Alors dans le souvenir de l’épisode du prosecco, il ne pouvait qu’y voir un clin d’oeil à la situation actuelle. Après avoir fait “popé” le bouchon du champagne, le serveur improvisé s’occupe du service, en entendant Betty le citer, et l’interroger sur les raisons de son envie de partir. C’est une question légitime, pourtant il est étonné qu’elle la lui pose. Flatté par l’intérêt qu’elle porte à ses états-d’âme, il esquisse un sourire. Leo lui tend son verre, et s’installe sur le canapé.

Lorsqu’elle mentionne son audience, il se pince la lèvre. Leo hoche la tête. Le pou vexé, de la dernière fois, se remémore le désintérêt qu’elle avait eu au sujet de son travail. Il se demande forcément si elle jouait sur la politesse ou si finalement, elle s’interrogeait réellement. Sa question suivante, bien que sous-entendue, le fait légèrement rire. Alors déjà je tiens à souligner que je suis à ton entière disposition ce week-end, qu’il lui fait remarquer pour commencer, je t’assure, je suis le premier à en être saoulé, je suis pas particulièrement un workaholic, et j'ai hâte que ça se calme un peu, qu’il lui confie en étayant légèrement : J'veux pas t'ennuyer avec ça, mais ouais, en gros j’ai eu plein de choses qui me sont tombées dessus au taf, c’était un peu le rush… et, j’avais besoin de me changer les idées, je me sens un peu… aigri. Qu’il conclut dans un sourire, bien décidé à relativiser un peu; ça ne lui ressemble pas vraiment de base, toujours souriant, solaire et plein de motivation, tandis qu’il n’avait pu que remarquer son manque d'entrain, sa critique facile et sa bonne humeur qui lui manquait parfois. Rien de bien dramatique, certain que quelques jours ailleurs le reboosteront. S’il rebondit finalement sur l’audience, c’est plus pour se concentrer davantage sur Betty, en faisant référence à son propre travail : Ma cravate porte-bonheur est peut être périmée, t’en vends dans ta boutique, maybe ? Un sourire mignon, autant dire qu’il n’a pas du tout envie de penser à son travail à présent, surtout pas.



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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptyMer 8 Mai - 23:25

Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Deux pimbêches, Leo et Beth. Certes, mais deux pimbêches qui évoluent indéniablement dans des mondes différents. Il suffit de jeter un coup d’œil à cette suite, à cette vue, à tout ce qui les entoure pour en prendre pleinement conscience. Pas que cela complexe particulièrement Betty mais la constatation a tout de même de quoi la laisser légèrement surprise, en plus d’impressionnée. Sa remarque concernant les deux chambres séparées relève cependant davantage d’une badinerie et d’ailleurs la réaction nonchalante de l’homme lui confirme qu’il n’y a sans doute pas réellement matière à s’inquiéter de quoi que ce soit. « Je n’y manquerais pas. » Un sourire en coin, du genre de ceux qui se retiennent de rire ouvertement. Taquine, la rousse, et ce bien qu’elle ne sache pas encore tout à fait sur quel pied danser. Tout ceci ressemble quand même beaucoup à une escapade en amoureux, or les deux pimbêches sont loin de sortir ensemble. Elles ne se connaissent pas vraiment, n’ont même pas couché ensemble. C’est bien la première fois qu’un type avec lequel elle n’a même pas couché lui fait de si jolis cadeaux, d’ailleurs.

Mais peut-être ce week-end est-il justement l’occasion de remédier à ce qui semble voué à ne pouvoir se concrétiser ? Sentant Leo dans son dos, ses bras autour d’elle et ses lèvres dans son cou, Betty ne peut s’empêcher d’y penser. Toujours aussi agaçant, toujours aussi séduisant. Il semblerait que l’avocat joue à l’équilibriste parfait entre ces deux pôles, sans toutefois franchement choisir son camp. Ce qui empêche Beth de choisir le sien également, du coup : vaguement fâchée sans réellement l’être, plutôt feindre une bouderie paresseuse que d’avouer qu’elle n’attend que le moment où les choses se concrétiseront enfin. Un jeu nul du chat et de la souris, les rôles changeant à chaque nouvelle partie. N’était-ce pas elle, le chat, la dernière fois ? Qui avait vu la souris s’enfuir en courant sous ses assauts, mais qui désormais n’hésite pas à aller jusqu’à lui voler un baiser. Est-ce réellement du vol, cependant ? A contre cœur, Beth observe Leo s’éloigner pour aller ouvrir la bouteille. Drôle de jeu, oui. Pas tout à fait sûre d’en avoir compris les règles, qui plus est.

Il y a mille questions qu’elle voudrait lui poser, pour une raison obscure c’est le travail qui ressort en premier. Pourtant pas du genre à adorer le small talk, mais peut-être n’en est-ce justement pas ? Peut-être a-t-elle réellement envie d’apprendre à connaître Leo, au-delà de ses abdos et des Spice Girls ? Presque trop intime, tout à coup. Heureusement que la question lui laisse également la possibilité de glisser un petit reproche, l’air de rien, mais qui rejoint néanmoins une des 999 autres questions qu’elle se pose. Que peut-il bien faire de son temps, pour être si difficile à voir ? « Hm. » Attentive mais peu bavarde, comme toujours. Maintenant qu’elle sait, aucune réponse ne lui vient spontanément. Elle note cependant que la situation n’a sincèrement pas l’air de faire plaisir à l’avocat et qu’il est assez probable que le fait qu’il bloque tout un week-end pour elle ne soit pas qu’un petit truc, comme ça, simple à mettre en place. « Aigri ? » qu’elle relève dans un sourire. « De nous deux, je crois que ce titre me revient sans conteste, arrête de me copier stp. » Elle rajouterait bien que ça ne l’ennuie pas, après tout c’est elle qui a posé la question, se contente de le regarder dans ce même sourire. Une petite voix lui souffle de l’embrasser, elle la fait taire.

« Aïe… Non, je ne crois pas avoir ça. » S’installant à son tour sur le canapé, elle lève un peu son verre. « Trinquons quand même. Aux bons et loyaux services des cravate porte-bonheur, avant qu’elles ne périment. » Autant en rire, non ? Des histoires d’affaires perdues, elle en a déjà tellement entendu qu’elle finit par se dire que ce n’est sans doute pas si grave. Elle ne sait même pas, au fond, quelle conséquence ça a réellement. « On aura probablement l’occasion de te trouver ça demain, ceci dit. Et peut-être même de nouveaux costumes pour aller avec. » La deuxième partie de sa phrase est prononcée plus bas, presque pour elle-même. Or, il est à peu près certain que Leo l’a entendu compte tenu de leur proximité. « Et à part ça ? A part le travail je veux dire, qu’est-ce que tu fais ? » ajoute-t-elle rapidement pour ne pas s’appesantir sur le fait qu’elle déteste très cordialement ses fringues de boulot. Car c’est réellement lié au travail, aucun doute là-dessus : ce soir Leo n’est pas déguisé dans un de ces foutus trucs, et de nouveau il est hot as fuck. « Pas même un seul petit hobby ? » C’est qu’elle se donne du mal pour apprendre à connaître ce mec dont elle prétend absolument se foutre, n’est-ce pas ?


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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptyJeu 9 Mai - 0:32


need youf or the oxytocin feat @Elizabeth Brennan

Finalement, ce week-end était celui des multiples occasions, autant de rattraper celles qui ont été manquées, mais probablement également d’avoir des moments un peu plus qualitatifs. “Forcés” de se côtoyer pendant plusieurs heures, normalement - et sans grande interruption, Leo est certain que quelque chose ressortira de ces moments passés ensemble, que ce soit positif ou négatif, il n’en avait pas encore la réponse, mais préfère être de ceux qui voyaient le verre à moitié plein. Tout pourrait aller parfaitement bien, comme tout pourrait foirer, mais la seule manière de le savoir, c’était de le vivre. Jusqu’à présent, et malgré la fausse bouderie de la jolie rouquine, Leo joue l’amoureux du week-end, bien que préparé à l’idée qu’elle puisse tout de même vouloir garder une certaine distance. Ils n’ont jamais couché ensemble, n’ont jamais échangé réellement sur d’éventuelles limites, sur des préférences en termes de couchage, et c’est quasiment sur un coup de panique qu’il l’avait invitée à se joindre à lui, autant dire qu’il ne savait pas se positionner mais n’avait vraiment pas envie de faire de faux pas. Sans doute son obstination à vouloir se rattraper révélait bien plus que ce qu’il voulait bien se l’admettre, à savoir qu’il n’a pas uniquement envie de s’envoyer en l’air.

S’activant avec la bouteille, il trouve finalement place sur le canapé, sur lequel il espère voir la jeune femme s’y asseoir également. Il est étonné de l’entendre lui parler de son travail, stigmate de son indifférence passée, mais se prête au jeu, attrapant la pique au vol en lui faisant comprendre, dans un sens, qu’il était tout à elle, ce week-end; autant en faire bon usage ? Il mentionne sa charge de travail, se confie sur le fait que sa vie ne se résume pas uniquement à travailler, ou du moins ce sont ses aspirations. Un espoir de voir les choses se calmer dans un futur, en attendant l’envie de se barrer était justifiée par un comportement, le sien, qu’il trouvait aigri. Il arbore un sourire amusé quand elle lui parle d’être celle à qui le titre lui revenait. Promis, je redeviens une petite framboise lumineuse et douce. Qu’il plaisante, clin d’oeil à au jeu auquel ils avaient joué chez elle. En tout cas, c’est ainsi qu’il se préférait. Qu’est-ce qui te rend aigrie ? L'interroge-t-til, avec intérêt, à moins que c’était simplement une façon de parler, finalement lui aussi s’intéresse à ce qui pouvait la frustrer dans sa vie - en dehors du fait qu’il n’arrive toujours pas à coucher avec.

Un sourire mignon plus tard, il relativise sur sa malchance, sous-entendant que l’audience ne s’était pas bien passée, mettant la faute sur sa cravate. Malheureusement pour lui, la jolie couturière n’en avait pas en stock. Il arbore une petite moue en la regardant s’installer à ses côtés. Beth lui propose de trinquer aux bons et loyaux services des cravates, ce qui le fait pouffer. Il prend. Alright, ça me va. Qu’il dit en trinquant, avant d’apporter son verre à ses lèvres. Pleine de solutions, Beth propose d’en chercher demain, puis la phrase suivante, sur un ton plus bas, le fait réagir. Gasp . Aïe. Une main sur le coeur, l’ego de l’homme bien trop fragile mais à la curiosité masochiste. Forcément, il a envie de lui plaire, l’idée de savoir qu’elle n’aimait pas sa manière de s’habiller l’étonne. Ou du moins, c’est comme ça qu’il le comprend. C’est si terrible que ça ? Il mime de défaire sa chemise. Je peux enlever si ça te gêne visuellement. Il plaisante (mmh), secoue la tête, en se préparant psychologiquement à sa réponse, sans savoir où il allait se prendre une balle.

Par la suite, dans ce qui semble être une envie d’en apprendre davantage sur lui, Beth l’interroge sur ce qu’il faisait en dehors de son travail, mentionne un hobby peut-être pour le guider dans sa réponse, ce qui - continue de l’étonner mais en bien. Il veut bien se prêter à ce jeu-là, - celui qui cherche toujours à se faire apprécier - espère évidemment ne pas lui donner une réponse ennuyante. C’est toujours dans ce genre de moments où les réponses semblent être d’une banalité affolante. Si, si - en temps normal je vais à la salle de sport - Il passe à autre chose. J’aime cuisiner, pas des trucs vite fait, quand j’ai le temps j’essaie de nouvelles choses. Il réfléchit un peu à haute voix, pour la suite : Bon, rien qui sort de l’ordinaire, j’aime lire, surtout les thrillers, je suis pas souvent devant la télé, à part quand j’ai envie de mettre mon cerveau en mode off et regarder une connerie - ou des true crimes pour faire de beaux rêves. Une pointe d’humour sur la fin, étant probablement certain d’en avoir oublié des choses. j’aime aussi beaucoup le théâtre, mais well, dans le Vermont, c’est pas la même chose qu’ici. En fait, je suis pas très nature comme gars, c’est un miracle que je bute pas mes plantes. Un constat simple, d’une manière générale, Leo est quelqu’un qui aime bouger, et voir des choses, et quand on est pas un fanatique de la nature, on y trouve pas vraiment son compte là-bas. Il se pince la lèvre inférieure constatant forcément son propre débit de paroles, et cherche à s’hydrater avec sa coupe de champagne avant de naturellement vouloir savoir ce qu’il en était de Betty, à ton tour, qu’est-ce qui te fait plaisir ?   Une autre tournure de phrase pour la même question.



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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptySam 11 Mai - 11:10

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Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Le retour de la framboise lumineuse. Sans avoir besoin d’y réfléchir, Beth laisse échapper un rire cristallin à la remarque, se plaisant toujours autant à imaginer Leo dans ce fruit. Une lueur de complicité, forcément : un clin d’œil aux rares autres conversations qu’ils ont pu avoir mais dont Betty se souvient parfaitement. Son rire finit par s’estomper, de même que son sourire qui devient plus résigné. « La vie. Les gens. » Un haussement d’épaules. Le monde a tendance a fatiguer la rouquine qui préfère généralement sa solitude à toute forme de conventions sociales, cela est vrai. « Je ne suis pas une framboise lumineuse » conclut-elle pour filer la plaisanterie et ne pas laisser la pesanteur de son aveu s’installer, bien qu’il soit entièrement sincère. Si elle devine une vie sociale riche chez son interlocuteur, elle-même ne pourrait retenir son envie de lever les yeux au ciel face aux contraintes que cela représente pour elle. Pas tant envie de côtoyer beaucoup de monde, pas tant besoin d’énormément de compagnie. Beth a appris à apprécier sa propre présence, une force en soi qui ne l’empêche cependant pas de s’intéresser à son interlocuteur. Le job, la vie. Elle ne sait finalement rien – ou presque – de Leo, préfère plaisanter de son échec récent au tribunal et trinquer sur ce bon mot. Les autres lui échappent un peu et la réaction théâtrale de l’avocat ne manque pas de la faire sourire de nouveau alors qu’elle se mord la lèvre, tout aussi amusée qu’embêtée de devoir lui révéler l’horrible vérité.

« Non, celle-ci est très bien ! »
La chemise, quoi que la jeune femme ne serait pas contre la voir disparaître. Instinctivement, sa main se pose sur l’épaule – gosh, toujours aussi musclée – de Leo comme pour le rassurer, essaie néanmoins de ne pas s’y éterniser pour ne pas se donner de nouvelles envies qui risqueraient de ne pas être satisfaites. « Non, pas si terrible mais… » Clairement, elle fait des efforts surhumains pour ménager sa susceptibilité. Ce n’est pourtant pas son genre, preuve s’il en fallait encore qu’elle aimerait réellement que les choses se passent bien avec Leo. « C’est plus le choix de veste qui… M’interroge. » Mal coupées. Ou en tout cas pas assez bien ajustées aux formes du modèle qu’elle considère un instant de ses yeux de couturière, habitués à jauger des morphologies en un regard. « Il faudrait que je prenne tes mesures, en fait. » Quelle bonne idée. Presque pas un prétexte pour le mettre à moitié nu et l’examiner sous tous les angles, perspective qui arrache cependant d’ores et déjà un petit sourire en coin à la professionnelle dénuée d’intentions purement professionnelles. Mais ces intentions seront-elles réellement amenées à se concrétiser un jour ? Toujours incertaine quant aux intentions de Leo à son égard, la rousse préfère finalement changer de sujet. Loisirs, hobbies, passions. Le comble de l’ennui dans la plupart des conversations, pourtant bien obligée de reconnaître que ça l’intéresse s’il s’agit de Leo.

« Je m’en serais doutée. » Nouveau sourire entendu au sujet de la salle de sport. Boy, ces abdos. Elle en soupire par-dessus sa coupe de champagne dont elle prend une gorgée pour faire passer le souvenir désagréable des deux fois où elle n’aura pu en profiter que le temps d’un instant fugace. La cuisine l’intéresse moins, elle se contente donc de hocher doucement de la tête. Pas son truc, d’avoir des morceaux de pelures de légumes sous les ongles et encore moins son truc, de devoir les manger ensuite. Lire, pas trop de télé, un peu de true crime. Le petit sourire revient en constatant l’existence d’un nouveau point commun. Puis un léger étonnement. « Pourquoi avoir quitté New-York, dans ce cas ? » Puisqu’il le lui a déjà dit, Beth sait que l’avocat a étudié dans cette ville. On pourrait supposer qu’il y serait resté, s’il déteste tant la nature que ce qu’il le prétend. Une réflexion que l’on pourrait cependant retourner à Betty qui elle aussi déteste la campagne et, elle aussi, a fini par quitter New-York. « Je ne suis pas beaucoup plus fan du Vermont » avoue-t-elle pour commencer dans un sourire sans joie. C’est le jeu des questions réponses, et anticipant déjà une interrogation à laquelle elle ne souhaite pas répondre, donne donc une réponse à côté des enjeux. « Mais ma famille me manquait donc je suis revenue. J’ai étudié ici, moi aussi. » Sans toutefois aller jusqu’à obtenir son diplôme et il faudrait rapidement enchaîner pour ne pas laisser la discussion s’appesantir sur ce point, d’autant plus que son visage cache définitivement mal la froideur qui s’installe de nouveau, réflexe de protection non maîtrisé. Revenir à New-York relève d’un mélange doux-amer pour elle, à la fois contente de retrouver la civilisation et effrayée de devoir affronter de vieux souvenirs qu’elle a appris à enfouir. « Je couds beaucoup, forcément. Et je tricote, brode, bref tous les trucs de mamie qu’on peut faire avec un thé. » Ce qui est vrai, mais le sourire demeure lointain tandis que son regard se perd dans sa coupe de champagne. Qu’elle repose donc sur la table basse, se levant tout à coup. « Bref ! Je vais voir les chambres et très possiblement prendre celle qui aura le plus grand lit, puisque j’ai le choix. » L’air se veut espiègle pour noyer le poisson. Le jeu des questions-réponses est définitivement plus drôle lorsque l’on est celui qui pose les questions, semble-t-il.


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Leo Jensen
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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin EmptySam 11 Mai - 14:05


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L’effet du rire, le brun fond un peu sur place, en l’entendant. Force est de constater qu’il est complètement charmé, loin de l’image du type aigri, décrite quelques instants plutôt. Dans le mood du framboisier, il ne décroche pas son regard de la couturière, prenant sans doute sur lui, pour ne pas lui sauter dessus. L’ambiance était à la conversation, et l’avocat pipelette se prêtait bien au jeu, quitte à lui retourner ses questions, et finalement même entrer sur des terrains qui pourraient être intimes. Pourquoi est-elle aigrie ? Lui, il sait que c’est la charge de travail, qui l’empêche de profiter des autres aspects de son existence, qui l’agace, mais pour Betty, la réponse est plus générale. La vie, les gens la rendaient aigrie. Il se pince la lèvre, n’ayant pas de réponse toute faite et spontanée à lui donner, car si l’on est honnête, il trouve cette réponse un peu triste, mais faute de contexte, - pas certain que de creuser allait alléger le mood, le brun hocha la tête. Ce n’est pas faute d’intérêt cela dit, alors lorsqu’elle ajoute qu’elle n’est pas une framboise lumineuse, Leo arbore un sourire de circonstances. C’est okay, c’est très bien les mûres aussi ! Une autre démonstration de la mémoire sélective de l’avocat, qui se référait à sa propre réponse, ce soir-là. La petite framboise lumineuse se fait finalement allumer sur ses choix vestimentaires. S’il s’y attend pas, sa réaction de drama queen est presque entièrement sincère. Il espère qu’elle voudra bien l’épargner un peu, car Leo n’est pas connu pour être le mec le plus chill de la terre, effronté par la critique, la digérant que très difficilement dépendant du cas. Un bon gros susceptible de base, en somme, mais ça, il pense que la jolie rouquine s’en est déjà rendue compte. Il suggère, avant qu’elle ne lui révèle la vérité, de se débarrasser de sa chemise. La douce prévenante pose sa main sur son épaule; le méfiant se dit qu’il va prendre cher. Allez, be a big boy. Il s’encourage, en l’entendant lui répondre que ce son style n’est pas SI terrible - note que tout ce qui suit un mais n’est jamais bon signe. Cela dit, c’est finalement un sourire qui vient illuminer son visage, le sourire amusé par sa tournure de phrase, le choix de ses mots qui veillent à caresser son ego comme elle l’avait fait un peu plus tôt avec son épaule. Bon. Merci de m’épargner. Amusé, il peut peut-être se l’expliquer, mais était-ce réellement important ? Il avait probablement fait le yoyo entre deux phases sportives, et certaines de ses vestes ne reflètent plus sa morphologie avec exactitude. Plutôt que de se lancer dans une justification, il en prend bonne note et rebondit sur la proposition de Betty, à savoir de prendre ses mesures. Pourquoi pas ? Si ça peut éviter de nouvelles interrogations vestimentaires, je suis prêt à m’améliorer. Plein de bonnes volontés, ce garçon, qui était loin d’être contre l’idée de se retrouver à moitié nu devant Betty, au contraire. A ce stade, il avait cependant toujours l’espoir que cela arrive avant qu’elle ne sorte son mesureur.

A moins qu’il finisse par l’ennuyer à mourir avec ses réponses. Il lui parle de ses hobbies, arbore un sourire, en entendant sa réaction au fait qu’il fasse du sport. Il enchaîne sur ses autres centres d’intérêts, qui ne font pas de lui quelqu’un d’extraordinaire. Au moins, ça lui donnera sans doute une idée de ce qu’il se plaît à faire lorsqu’il est seul. Il mentionne également ne pas être un grand fan de la nature, et de ne pas trouver son compte dans son état d’origine, à savoir le Vermont. Cette confession pousse à la question de savoir la raison qui l’a poussé à quitter New York. Rester ouvert. 9 années s’étaient écoulées, un constat affolant, mais qui avait le mérite d’avoir assez de recul pour observer le pont et l’eau qui avait coulé en dessous. Je me suis séparé de ma chère et tendre de l’époque. Qu’il explique avec un certain détachement, une dose d’humour et d'autodérision pour assaisonner ses propos : Et comme je suis une dramaqueen, me suis dit que j’retournerais bien deux secondes à Burlington, pour changer d’air. Le temps était passé, aucune raison que ça lui revienne en pleine tronche. Un haussement d’épaules plus tard, il termine son explication, qui étrangement ne contient aucun mensonge. J’ai eu une bonne opportunité professionnelle, et visiblement j’ai oublié de repartir. Un manque d’ambition de sa part ? Probablement un peu, lui-même se rend compte qu’il aurait pu avoir une carrière plus prestigieuse, s’il s’était battu un peu plus, pour ce qu’il voulait vraiment. Cela n’avait plus aucune importance maintenant, et de ce qu’il semblait comprendre de la personnalité de la jolie rouquine, il doute qu’elle le jugerait sur ce point-là. D’ailleurs, Beth lui confie par la suite ne pas être fan du Vermont. Un autre point commun. Il hoche la tête, lorsqu’elle anticipe sa prochaine question, Beth lui fait deux confidences. Il retient que sa famille était importante pour elle - au contraire de son cas-, et qu’elle a également étudié dans cette grande ville. Il acquiesce donc, signe d’intérêt. Leo aimerait creuser, mais sent un shift dans le mood, qu’il ne saurait expliquer. Il ne peut juste que le constater sur le visage de la jeune femme. Cherchant une éclaircie, et avec les moyens qu’il avait en sa possession, laisse sa main qui se voulait affectueuse se perdre dans son dos, en déclarant : ça se trouve, on s’est déjà croisés sans le savoir. Une idée qu’il trouverait amusante, bien qu'insolite étant donné la grandeur de la ville et du nombre indécents d’habitants. Il retire sa main, venant chercher son verre, tandis qu’elle lui parle finalement de ses hobbies. Ses réponses sont moins détaillées, cherchant à abréger le moment de partage. Ça doit être assez relaxant, quand on sait s’y prendre, s’imagine-t-il, lui qui n’a jamais été très manuel. La rouquine finit par se lever, d’un coup pour changer de programme, à savoir qu’elle allait voir les chambres, et lui indique à l’avance, choisir celle avec le plus grand lit. Il arbore un sourire amusé, suivant le flow du moment, sans lui poser mille questions. Si elle avait été suffisamment adroite pour ne pas le vexer tout à l’heure, lui a aussi cette même envie de la voir passer un bon moment. Comme vous voulez, votre bonheur m’importe. Sur un ton qu’elle connaissait très bien, avant qu’il se ne lève à son tour, laissant ses deux mains traîner sur ses hanches à elle, Je t'accompagne, je veux m’assurer que tu fasses le bon choix, évidemment. L’expert en literie qui redouble d’attentions, laisse son regard se perdre à nouveau dans le vert du sien, avant de tourner la tête en direction de la première chambre vers laquelle ils semblent se diriger.



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