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need you for the oxytocin

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Leo Jensen
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Leo Jensen

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CREDITS : (c) littlewildling-rpg
ALTER-EGO : Sam, Chase.
ÂGE : 33
QUARTIER : Willow street — dans une maison.
MÉTIER : avocat en droit civil — (Shelby & Associés)
COEUR : It's such a pity, we're both so pretty
INTERVENTIONS RL : oui
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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyMer 15 Mai - 23:31


need youf or the oxytocin feat @Elizabeth Brennan
sexualité, nudité

Le moment dans la pièce principale de la suite prend fin sur une note un peu curieuse, mais Leo ne cherche pas à creuser au-delà. Il est obligé de remettre un certain contexte à leur relation, avec un très petit r, car, au fond, ils ne se connaissent pas. Toute cette situation, cette escapade new yorkaise est tout aussi insolite pour l’avocat qui avait fait le malin par messages, pour se sortir d’un embarras. Il manie les mots avec aisance, c’est sa spécialité. Qu’en est-il des situations ? Il n’est pas certain d’avoir déjà reproduit ce schéma. S’il a évoqué une relation sérieuse un peu plus tôt, force est de constater qu’il ne s’est plus adonné à ce genre de lubies. Loin de mal vivre son célibat, il flirte même avec sa conséquence : habitué à ne pas devoir de comptes à qui que ce soit, conforté dans une solitude qu’il brise selon ses propres termes. Il aurait été plus facile qu’ils couchent ensemble, à la sortie de ce café, ou lors des millions d’occasion qu’ils ont ou auraient pu avoir depuis qu’elle avait débarqué dans son bureau, la première fois, à la recherche de conseils juridiques. L’objectif aurait été atteint, ils ne se seraient plus jamais rappelés, et ils en seraient restés là : une anecdote. La question de savoir pourquoi il se démenait autant était pertinente, mais le brun est un adepte du déni. Il préfère mettre sa détermination sur le compte d’un trait de personnalité, plutôt que de faire face à l’idée qu’il aime de plus en plus les bribes de moments qu’il passe en sa compagnie, et que ce week-end n'allait probablement pas être une exception.

Et puis forcément, il a envie de faire mieux. Ce n’est pas une barre bien haute, quand on compare à la fois dernière. Il n’a aucune envie de rater le coche, pas une fois de plus. Il n’a jamais autant galéré pour avoir une relation sexuelle avant, que c’en est presque déroutant. Pour lui, ça a toujours été la chose la plus facile, dans une relation. Pas que ça veuille forcément dire que l’issue est bonne, mais jusqu’à la fois dernière, il n’a jamais failli. L’instant d’une seconde, il se sent presque un peu nerveux, mais l’assurance de son ressenti et ses envies prennent le dessus, et Leo espère qu’il sera suffisamment convaincant pour ne pas qu’elle remette tout en question. Après lui avoir clairement fait savoir qu’il avait envie d’elle, ses lèvres retrouvent son cou, qu’il couvre de baisers. L’ombre d’un sourire s’affiche sur son visage, lorsque Betty lui répond, l’assurance d’entendre ses envies être partagées. Autant dire qu’il ne lui en faut pas plus pour avoir envie de se rapprocher davantage de ce lit, mais surtout de commencer à retirer ses vêtements. Le regard parlant, il ne se gêne absolument pas pour la reluquer alors que les boutons se défont bien rapidement, et que son chemisier finisse son ascension au sol. Il met son côté maniaque de côté, de toute façon, il n’a de yeux que pour la silhouette de Betty, qu’il trouve, sans surprise, parfaite.





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Elizabeth Brennan
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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 0:57

TW : nudité, sexualité
Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Bâillonner la petite voix dans sa tête, cesser de se torturer avec mille questions, simplement vivre le moment présent. On pourrait presque la croire adepte de développement personnel, Beth, alors que pas tant que cela en réalité. Simple façon d’essayer de surnager le tourbillon de doutes, de complexes, de dégoût de soi totalement injuste et injustifié mais malgré tout présent. Et après ? Cette question aussi, elle veut la noyer dans le flot. Alors que ses lèvres retrouvent celles de Leo avec fougue, la rousse refuse d’envisager ce qu’il adviendra une fois qu’ils auront enfin couché ensemble. Rien, peut-être. Chacun retournera au vide de sa propre existence en gardant un bon souvenir – ou non- de ce week-end à New-York peu ordinaire. Ou tout, peut-être aussi. Qui sait ? Sur le moment, Betty préfère s’appliquer à replacer correctement le ruban adhésif sur la bouche de sa voix intérieure pour étouffer ses protestations. Ses doigts glissent dans les cheveux de l’avocat, bien volontiers elle se laisse entraîner vers le lit ; Ou est peut-être celle qui l’entraîne tout en s’efforçant d’ignorer l’incertitude que son corps exposé suscite chez elle. Heureusement, les abdominaux de Leo sont toujours une aussi bonne distraction pour cela que les deux fois précédentes – un plaisir dont on ne se lasse pas. Quelques circonvolutions plus tard, les deux -presque, espérons, tout le monde croise les doigts- amants se retrouvent enfin allongés sur le lit avec beaucoup moins de vêtements. Et si Beth aurait bien voulu que leurs lèvres ne se séparent jamais, elle est forcée de reculer à son tour son visage lorsque Leo l’observe, le cœur battant à tout rompre dans la poitrine. Magnifique. C’est stupide. Est-ce qu’elle ne le sait pas, qu’elle est magnifique ? Pourquoi ce besoin de validation, alors ? Il n’y a peut-être rien de si étrange, après tout, à avoir envie d’être sûre de plaire à son partenaire ; Certitude qu’elle possède désormais et qui lui arrache un sourire. « Même constat de mon côté » souffle-t-elle dans un sourire en coin, ses yeux glissant des épaules aux pectoraux, torse parfait d’un mec qui va à la salle pour la bonne cause.





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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 19:09


need youf or the oxytocin feat @Elizabeth Brennan
sexualité, nudité

La conversation a laissé place à un tout autre langage, dans la chambre. Il aimerait que ce moment soit parfait, sans doute - se rapprocher de ce qu’il avait imaginé un peu trop de fois dans sa tête. Pour se faire, lui aussi doit sortir de la sienne pour pouvoir être pleinement présent. Il se réservera sans doute de nombreuses interrogations par la suite, mais pour le moment, seule la mission de retirer les couches de vêtements qui séparent leurs peaux respectives l’une de l’autre semble être importante. Il est plus serein, loin de Redwood Hills, loin de toute distraction qui pourrait entacher l’instant, là, il n’y a qu’eux. Il profite de la vue qu’elle offrait de sa silhouette à moitié dénudée. Son regard plein d’envie, et ses paroles échappées d’une manière si spontanée que leur sincérité ne pouvait pas être remise en question; Betty lui plait terriblement. Il ignore les papillons de douceur qui s’incrustent en lui à chaque fois qu’il la voit sourire, et qui s’intensifient en entendant sa réponse. Déni d’un attachement naissant. Sourire plus grand sur le visage de celui qui crave la validation aussi, au plus profond de lui-même. S’il ne doute pas de son physique, il est également particulièrement satisfait de lui plaire tel qu’il était. Pas qu’il aurait pu faire quoi que ce soit, dans le cas contraire, mais ça ne pouvait qu’être un bon signe.  Un vêtement jeté en plus dans la pièce, l’impatience de ceux qui ne veulent plus laisser passer d’occasions. Des nouvelles étapes, barrant sur une check list imaginaire des premières fois, car c’en était bien une avec Betty. L'expérience le pousse à expérimenter à défaut de savoir ce qui lui plaisait tout particulièrement, l’avocat attentiste relève les yeux par moments et est à l'affût des réactions que lui procurent ses baisers. Son souffle s’accélère à nouveau en l’observant, vision particulièrement sensuelle qui lui retourne gentiment la tête. Prenant sa main dans ses cheveux pour un encouragement, ses lèvres se font moins douces, plus passionnées, fougueuses lorsqu’il mordille sa lèvre inférieure, la main exploratrice.





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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyDim 16 Juin - 11:48

TW : nudité, sexualité
Need you for the oxytocin
Leo&Beth



Le soleil point déjà à l’horizon lorsque Beth reprend pieds avec la réalité, les nombreuses heures écoulées contre les lèvres de l’avocat la laissant épuisée et cotonneuse entre les draps. Un long soupir alors qu’elle se laisse glisser sans volonté sur le ventre aux côtés de Leo, qu’elle observe encore tout en enfouissant sa joue dans l’oreiller. Quel mec, putain. Toute la mauvaise foi du monde ne suffirait pas à lui faire prétendre n’avoir pas adoré chaque seconde de cette nuit, ce que probablement tout l’étage de leur hôtel aura de toute façon remarqué – en même temps que noté le prénom de l’homme auteur de tant de remue-ménage. Pudique, d’habitude. Bien forcée de laisser tomber les armes cependant, incapable de mentir pendant ces quelques heures. Et maintenant ? Les muscles sont fourbus et le sommeil l’appelle, le yeux commencent déjà à se fermer et les doigts à instinctivement chercher la taie d’oreiller pour l’enrouler entour de son index. Un vieux truc de gamine dont elle ne s’est jamais défaite, qui l’aide à s’endormir. Un truc qu’elle aurait envie de montrer à Leo ? Tout à coup, les sourcils se froncent et elle se redresse, ses deux mains sur le matelas soulevant son buste. « Ehm… Je… vais aller prendre une douche. » Une excuse comme une autre pour s’éclipser, éviter le moment paradoxal où il lui semblera tout à coup beaucoup trop intime de s’endormir -et de se réveiller- aux côtés de Leo malgré tout ce qu’ils ont vécu ensemble dans la nuit. Attitude d’autant plus paradoxale qu’elle ne peut pour autant s’empêcher de se pencher, de déposer encore quelques baisers sur ce torse si musclé qui la rend dingue, de remonter le long de son cou puis d’effleurer ses lèvres. « A plus tard » souffle-t-elle avant de se dégager entièrement des draps et de filer hors de la chambre. Est-ce grave, si le plus tard repousse à plusieurs heures le moment de se retrouver ? Le prendra-t-il mal, si en sortant de la douche elle préfère aller se coucher dans l’autre chambre, comme si de rien n’était ? Pas impossible, mais si Betty brûlait de désir pour l’avocat, elle ne se sent définitivement pas prête à partager sa couche pour autre chose que du sexe.

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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyLun 17 Juin - 19:53


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Peu inquiet quant à l’épaisseur des murs de cette suite, l’avocat ne pense qu’à l’instant présent, et les heures qui défilent lui donnent l’impression que le temps s’est soudainement accéléré. Dans l’intimité de cette chambre, seul le jour qui se levait servait d’indicateur temporel. La fatigue semble avoir raison des deux amants insatiables et probablement décidés à rattraper le temps perdu de toutes leurs occasions manquées. La nuit a été faite de découverte, et force est de constater que Leo avait adoré chaque minute découlant de ces dernières heures. Fatigué, plus physiquement qu’autre chose, son regard se perd un instant sur l’horizon. Un levé de soleil, c’est toujours très séduisant, pas autant que la jeune femme qui s’était installée plus confortablement dans le lit; un indicateur de sommeil. Le visage illuminé par cette vision, attendrissante. La main baladeuse, mais plus tendre qui vient parcourir son dos avec lenteur. Toujours dans les émotions du moment, il sait que l’interrogation autour du couchage se posait probablement à nouveau, bien qu’ils l’avaient évoquée à leur arrivée; c’était plus la question de savoir qui allait quitter la chambre à cet instant. Moment moins fluide.  Les sourcils froncés, qui contrastait avec leur nouvelle complicité, Beth lui indique aller prendre une douche. Une porte de sortie qui répond sans doute à ses interrogations naissantes et qu’il accueillait sans amertume. Pour certains, ça aurait pu être vexant ou blessant, pas pour Leo, mais ça Beth l’ignore, évidemment. ça marche, on se retrouve tout à l’heure, que répond l’avocat, en se disant qu’il prendrait la sienne, probablement en se levant, après quelques pauvres heures de sommeil. Sourire qui s’élargit au contact de ses lèvres sur sa peau. Un dernier baiser effleuré, trop court à son goût.   Repose toi bien,   qu’il ajoute, sans doute pour lever le voile sur une éventuelle ambiguïté et éviter des non-dits dramatiques alors qu'ils semblaient tous les deux sur la même longueur d'onde. Leo se mord la lèvre inférieure en la regardant se lever, toujours charmé par la vision d’elle qui s’éloignait pour quitter la chambre.

Le brun se redresse alors, entend quelques instants plus tard l’eau dans la salle de bain. Le jour est totalement levé. L’homme au sommeil léger décide de tirer sur les rideaux pour retrouver un semblant d’obscurité et retourne dans le lit, dans lequel il est à présent seul pour se laisser sombrer. Sa nuit relève plus d’une sieste anecdotique que d’un sommeil réparateur, mais lorsqu’il ouvre à nouveau les yeux, quelques heures plus tard, le brun est fatigué mais plus enthousiaste qu’autre chose, suffisamment pour tirer sur la corde d’un état physique d’un homme dans la trentaine qui avait besoin d’un peu plus de repos. On se reposera quand on sera mort , qu’il se dit, en s’étirant. Il quitte la chambre pour rejoindre la salle de bain pour enfin pouvoir profiter de la douche. L’avocat se prépare rapidement, sans savoir à quoi s’attendre du reste de leur journée. Autant feindre une fausse décontraction. L’inconnu pouvait être tout aussi séduisant, argument rassurant qui prend le dessus sur d’autres appréhensions. Tout beau, tout propre, et d’excellente humeur, l’avocat s’aventure dans la pièce principale de la suite à la recherche de Betty. Hey, t’as bien dormi ? qu’il souffle, tout sourire, en s’approchant d'elle. Quant au programme, il est toujours ouvert aux possibilités, malgré l’heure avancée de la journée : Qu’est-ce que t’as envie de faire aujourd'hui ? des idées, qu’il propose par la suite : Tu veux manger, faire du lèche-vitrine, chiller, … ? Il ne serait pas contre l’idée de se nourrir mais n’impose évidemment rien, le regard dérivant sur la bouilloire et la machine à café pour commencer.



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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyLun 17 Juin - 22:50

TW : TCA
Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Tout à l’heure après la douche ou tout à l’heure après avoir dormi chacun dans son lit ? Incertaine, Betty se contente d’un sourire crispé tout en se redressant, ramasse au passage un de ses vêtements oublié au bord du lit. Rien qui ne craigne trop d’être froissé, heureusement ; Même dans les coups de folie, la rouquine n’apprécierait pas de devoir faire un stop express au pressing le plus proche. « Toi aussi. » Cette fois, le sourire récupère en souplesse, retrouve la complicité des moments précédents. Ok, Leo n’est pas fâché de la voir filer comme une voleuse après avoir crié son prénom comme s’il était le dernier homme sur terre ; Bien. Pas que ça remette en question quoi que ce soit du plaisir qu’elle a vécu dans ses bras, mais elle préfère ne pas confondre les genres : le sexe est cool, pas besoin de faire semblant qu’ils sont en couple ou quoi que ce soit. Elle n’a pas envie de cette comédie, visiblement lui non plus, c’est parfait. « Bonne nuit » glisse-t-elle encore avant de définitivement s’éclipser de la pièce, rejoignant rapidement l’autre chambre après un rapide détour pour récupérer sa valise. Une douche, quelques heures de sommeil. Soulagée en se glissant seule entre ses draps, ses idées n’en reviennent pas moins très rapidement à Leo. Ses lèvres. Ses mains. Ses épaules. L’index s’entortille autour de la taie d’oreiller et elle s’abandonne à un sommeil dans lequel des pectoraux musclés et luisants dansent tout autour d’elle un tango endiablé.

« Hey. » Petit sourire alors que les prunelles vertes se détachent du magazine pour se relever sur l’homme qui sort visiblement de la douche, toujours aussi séduisant qu’à l’ordinaire. Jolie chemise, même si Beth n’en dit rien. Comme elle avait oublié d’éteindre son réveil, elle s’est levée et préparée plus tôt, est déjà toute pomponnée aussi en attendant que l’avocat se réveille. Un instant, elle avait hésité à le rejoindre au réveil pour une nouvelle partie de jambes en l’air ; S’était cependant ravisée. Trop intime, le sexe matinal ? Probablement. « J’ai rarement aussi bien dormi, tu veux dire. Les magazines féminins avaient raison : des draps en soie, ça change définitivement tout. » Son sourire ne s’efface pas tandis qu’elle fait mine de reporter son attention sur celui qu’elle tient justement, une revue de mode comme une autre. Être à New-York ravive certaines angoisses, qu’elle essaie de contenir du mieux qu’elle le peut. Leo s’approche et l’espace d’une seconde, elle se demande s’il va l’embrasser. Est-ce une pointe d’espoir, dans ces yeux, au moment de les relever vers lui ? Le brun reste cependant à une distance que la rousse ne cherche pas à combler : pas de comédie, on a dit. C’est acceptable, elle n’est pas déçue. Vraiment, pas du tout, pas même un peu déçue (si). « Oh, j’ai déjà commandé le petit-déjeuner à la réception. » Sensation étrange, celle de commander de la nourriture et d’avoir réellement envie de la manger. Un reste d’endorphine de la veille, peut-être. Une pensée sur laquelle elle préfère ne pas s’arrêter trop longtemps, en tout cas. « Et après, shopping ! Je n’oublie pas qu’on a une mission costume à honorer. » Le ton se fait plus enjoué alors qu’elle se relève, le regard taquin s’accrochant quelques secondes de trop à l’homme qu’elle aurait réellement très envie d’embrasser sans pour autant se l’autoriser. Plutôt mourir que d’être la première à revenir quémander. « Je sais déjà où t’emmener » ajoute-t-elle d’un air conspirateur, de celui qui sait des choses mais ne les dit pas. Est-ce surprenant, en même temps ? Si Beth a passé des heures à s’imaginer déshabiller Leo, sa vocation de couturière impose également que l’inverse soit vrai.

Le petit déjeuner est un vrai festin : un thé, quelques fruits. Pas grand-chose en apparences mais sans conteste un repas de fête pour Betty qui est satisfaite, quelques dizaines de minutes plus tard en s’observant une dernière fois devant la glace, de constater que son estomac bien plein ne gâche rien de son outfit printanier choisi avec tant de soins. Comme promis, c’est elle qui décide de la première destination une fois la virée shopping lancée dans une bonne humeur visiblement partagée. « Tu sais quelle est la première chose à laquelle j’ai pensé en te rencontrant pour la première fois ? » Bon, peut-être qu’elle n’avouera pas tout à fait la première de ses pensées, mais au moins l’une d’entre elles. Dans un sourire amusé, elle se risque à passer son bras sous celui de Leo, l’attirant contre elle et surtout plus près de la vitrine qu’elle souhaite lui montrer. « Que tu es un mec à porter du Prada. C’est comme ça, tu ne peux pas lutter, tu as juste l'aura pour. J’exige de te voir dans du Prada sur le champ. » Pour la science, le regard expert l’impose sans détour. Ce même regard qui ne peut s’empêcher, alors qu’il se reporte droit devant lui, de remarquer dans le reflet de la vitre à quel point ils sont canons tout les deux, collés l’un à l’autre de cette façon.

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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyMar 18 Juin - 22:58


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Malgré son sommeil léger, l’avocat constate que la jeune femme semblait déjà bien réveillée et toute apprêtée, comme souvent, mais Leo ne pouvait qu’apprécier. Pendant une seconde, il s’en voudrait presque d’avoir trop dormi, bien qu’en réalité, ce n’était pas tant que ça; et puis dans un autre, nul besoin d’être à ce point collés l’un à l’autre, il ne se doute pas qu’elle ait su s’occuper. Leo lui adresse un sourire, en la saluant d’un ton jovial; s’il lui manque du sommeil, il est pourtant de très bonne humeur et particulièrement curieux de ce que la suite de cette escapade New yorkaise leur réservait. Si jusqu’à présent ils n’avaient fait que baptiser la chambre, il imaginait que d’autres souvenirs seraient fait à l’extérieur, dans une ville qu’ils connaissaient tous les deux. Un sourire qui s’élargit en entendant son feedback concernant la matinée qu’elle avait passée dans les draps en soie. Tu sais quoi ? Je suis vraiment content que tu aies eu cette révélation :  elle va changer ta vie. Il est sincère, celui qui avait décidé de s’inspirer des literies des chambres d’hôtel pour refaire sa chambre à coucher à la recherche d’un confort qui pourrait apaiser au moins l’une de ses névroses et limiter les insomnies. Il ne voulait pas s’emballer sur la literie et passer pour le type le plus ennuyant de la terre mais suggère : Pas que j’ai eu l’occasion d’entrer dans ta chambre mais je peux te conseiller un bon magasin si ça inspire chez toi un changement de draps. Qu’il suggère, comme ça dans un small talk plutôt improbable mais il ne lui propose pas un Powerpoint, s’interroge plutôt, par la suite, sur le programme de la journée. Comme il avait faim, ses yeux ne peuvent que pétiller en l’entendant avoir déjà commandé le petit-déjeuner. Il s’installe à ses côtés. Hey mais t’es géniale ! Pas qu’il en doutait au fond, mais autant dire qu’il aime l’anticipation. Une main qui se pose sur sa cuisse. J’ai la dalle, j’avoue. Un léger sourire, histoire de pas laisser son estomac dicter la vague de feels qu’il ressent d’un coup tandis qu’il acquiesce donc à l’idée de faire du shopping. Je valide le programme, et c’est vrai qu’on a une cravate porte-bonheur à trouver aussi !   Si en prime il ressortait de cette virée avec des nouvelles fringues, Leo n’était pas contre, au contraire. Il a toujours aimé faire les magasins de toute manière, jusqu’à un certain point évidemment mais n’est pas le type qui préfère rester assis sur un banc et attendre - principalement parce qu’il n’est pas de ceux qui savent rester en place. Je te fais confiance. Une moue amusée à ses paroles, qui sont plutôt rares venant de lui. Après tout, t’es une experte, right ?  Il est donc confiant quant à la destination de cet après-midi.

Un petit-déjeuner plus tard qui permet à l’estomac du brun de cesser son début de torture, il lui donne également un surplus d’énergie dont il aurait certainement eu besoin s’ils s’en allaient se balader dans les longues ruelles de la ville. Il hausse un sourcil à sa remarque, curieux de sa chute, évidemment quand il s’agit de savoir quelle était la première chose à laquelle elle avait pensé en le voyant. Bon, comme son bras venait se glisser sous le sien, il osait imaginer quelque chose qui pourrait le flatter. Il sourit, s’il n’était pas certain de réellement savoir quelle était l’aura d’une personne qui portait cette marque en particulier, le prestige de la marque lui suffisait pour le prendre positivement. Je pensais que t’allais dire que tu m’avais trouvé irrésistible, mais c’est plus ou moins la même chose, non ? Un sourire de ceux qui plaisantent alors que le regard dérive sur la vitrine devant eux. Quand il s’agit de destinée, je sais être conciliant, si je suis né pour porter du Prada, ainsi soit-il. Il pouffe, parfois il s’entend dire des choses qui lui semblent bien lointaines à la personne qu’il a été plus jeune. Une pensée au jeune Leo, pas forcément le plus à l’aise dans sa peau, et qui n’était pas non plus prédestiné à pouvoir s’offrir des vêtements de cette marque non plus. Il détourne le regard du reflet pour se perdre sur la jolie rouquine, et ses lèvres, avec envie.  Il n’en fait rien, pas certain que le geste soit apprécié à ce moment-là. En revanche, il s’avance vers la porte. Le gentleman l’ouvre pour la laisser passer, la main qui s’égare un instant sur sa taille. Si l’intention n’est pas de jouer à l’amoureux, il est certain qu’il ne veut pas devenir sa meilleure-amie non plus. Les costumes attirent donc son attention, se dirigeant vers ces derniers, tandis qu’ils sont déjà repérés par les vendeurs du magasin. Bon, qu'est-ce qu'on évite déjà ? Qu'il demande, sans doute parce que certaines fabriques lui échappent, notamment celles en mohair.




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MessageSujet: Re: need you for the oxytocin need you for the oxytocin - Page 2 EmptyMar 2 Juil - 21:54

Need you for the oxytocin
Leo&Beth

Au contraire de ses premières appréhensions, Beth est forcée de constater que l’ambiance est toujours aussi détendue au réveil. Leo n’aura donc définitivement pas pris ombrage de sa fuite, voire semble même jovial et taquin en la retrouvant dans le salon. « Décidément, tu as toujours de bons conseils sur tous les sujets… Y compris les plus inattendus. » Taquine à son tour, la rousse qui esquisse un sourire en coin avant de refermer son magasine pour le déposer sur la table basse. L’espace d’un instant, alors qu’elle relève les yeux vers lui, Betty se demande à quoi peut ressembler la chambre à coucher de l’avocat et s’il l’y invitera un jour. Est-ce que tout ce qu’il se passe à New-York est destiné à rester à New-York ? Erk. Autant ne pas penser à cela maintenant, et surtout autant faire semblant de ne pas avoir ressenti un vague pincement à l’idée qu’il n’y aura pas « d’après ». La jeune femme préfère donc se raccrocher au sujet du petit-déjeuner. « Je sais. » D’accord mais comment ne pas songer au fait qu’ils ne se reverront peut-être plus si Leo commence à lui faire des sourires on ne peut plus craquants et des compliments ? Instinctivement, les lèvres de la couturière s’étirent tout aussi largement en réponse. Okay, on reste calme. Ce n’est pas parce qu’ils découvrent qu’ils s’entendent potentiellement bien lorsqu’ils arrêtent de s’envoyer des piques dans la tête que cela signifie quoi que ce soit, n’est-ce pas ? Non. Ça ne signifie rien, et ce n’est pas grave si le week-end constitue leur seule bulle de complicité avant que chacun ne retombe dans l’oubli de l’autre. Ça ne fait rien. Ça ne fait rien.

Une fois l’appétit des deux amants rassasié, place à ce que Betty aime le plus : le shopping. Et si arpenter les rues d’une ville qu’elle a fuit après y avoir laissé beaucoup de plumes et beaucoup d’amour propre lui noue un peu l’estomac, la présence de Leo à ses côtés parvient tout de même à éclipser le vague malaise qu’elle pourrait ressentir. Comme promis, elle savait exactement où l’emmener. Sa vision de l’avocat dans un superbe costume taillé par la marque la plus prétentieuse – et classe, avouons-le – de tous les ateliers haute couture relève presque de l’évidence. « Plus ou moins, si ça peut te faire plaisir. » Les prunelles vertes pétillent un peu tandis qu’elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas rire comme une bécasse à la plaisanterie de l’homme ; Argh, qu’est-ce qu’elle déteste les filles qui font ça. Pour autant, le bras qu’elle a passé sous celui de Leo ne fait que resserrer un peu son étreinte, cachant mal l’envie quasi irrésistible de se rapprocher encore de lui. « Amen. » Cette fois, le rire s’échappe bel et bien, sincère et cristallin. De toutes les choses qu’elle détestait chez Leo, Beth serait bien incapable de citer quoi que ce soit en cet instant. Il est terriblement sexy, terriblement bon au lit, terriblement drôle, terriblement ouvert à l’idée qu’elle l’habille… Que demander de plus ? C’est terrible effectivement, de trouver tout à coup tant de choses qu’elle apprécie chez quelqu’un qu’elle aurait pourtant voulu prétendre détester. Encore plus terrible d’avoir tant envie de l’embrasser lorsque leurs regards se croisent de nouveau, mais de se l’interdire pour une raison d’ego pur.

Ce n’est que pour l’entraîner dans la boutique que la rouquine accepte enfin de s’éloigner, sentant avec plaisir que Leo prolonge le contact par une main innocemment placée sur sa taille. Forcément, les vendeuses les remarquent tout de suite. Beth leur adresse un léger sourire avant de suivre Leo, ses talons raisonnant négligemment dans le calme relatif de la boutique. « Tout ce qui est exposé ici, déjà. » Visiblement, Leo ne maîtrise pas entièrement les codes des maisons de haute couture, ce que Betty peut comprendre : elle, elle est dans son élément parce que passionnée. Quiconque n’y accorde pas la quasi-entièreté de sa vie n’en connaît évidemment pas toutes les astuces et ignore qu’il ne faut jamais, sous aucun prétexte acheter quoi que ce soit de présenté en boutique. Avec un sourire entendu, elle attend qu’une des vendeuse vienne à leur rencontre et leur propose de l’aide. « Bonjour. Nous aimerions essayer un costume. » Affable, la vendeuse répond au sourire de Beth avant de s’adresser à Leo : « lequel de nos modèles voudriez-vous essayer, monsieur ? » Comme s’il en savait quelque chose. Sans broncher, la rouquine reprend d’un ton parfaitement serein : « collection printemps-été 2008, laine, soie et lin bleu marin, boutonnière simple à points bâtis et veste à points d’épine. Avec une chemise blanche cintrée classique Prada, celle avec les boutons en nacre. » La couturière connait toutes leurs références par cœur, comme lues d’un catalogue. Pas de quoi surprendre la personne qui lui répond d’un plus large sourire, comprenant sans doute n’avoir pas affaire à de simples touristes et s’adressant cette fois à sa véritable interlocutrice plutôt qu’à l’homme qu’elle doit habiller. « Et pour la taille ? » Bonne question. Cette fois, Beth est obligée d’hésiter et de jeter un regard incertain à Leo. C’est bien tout le problème de ses costumes, en règle générale.

Un court silence tandis que les deux fanatiques de la mode observent l’avocat des pieds à la tête, aussi songeuses l’une que l’autre. « Il nous faut un mètre, je ne suis pas sûre. » « Très bien. Suivez-moi s’il vous plait. » La vendeuse les entraîne dans une pièce à part, réservée aux essayages privés. « Installez-vous, j’arrive dans un instant avec de quoi prendre vos mesures. » Satisfaite, Beth lui adresse un dernier sourire avant de se tourner vers Leo et de passer ses bras autour de son cou. « Tu vois, je t’ai dit que j’avais eu une vision en te rencontrant. » Et ça la fait rire, même si ça montre aussi qu’elle y a sans doute pensé beaucoup plus longtemps qu’elle ne voudrait bien l’avouer. « Fais-moi confiance, tu n'auras jamais été aussi irrésistible que dans ce costume » ajoute-t-elle plus bas de ce même sourire satisfait avant de déposer un baiser sur les lèvres de l’avocat, trop enivrée par le plaisir d’être dans son élément pour se souvenir qu’elle s’était promis de ne surtout pas être la première à refaire le premier pas.


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Leo Jensen
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Leo Jensen

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need youf or the oxytocin feat @Elizabeth Brennan

Leo sourit à sa remarque au sujet de son talent pour les bons conseils. Si elle savait tout ce qu’il pouvait entendre dans le cadre de ses fonctions, expert en eclatage de couples, souvent pour des raisons futiles, mais la bataille pour des biens pouvait s’étendre pendant des mois pour de la literie justement, signe que c’était finalement quelque chose de fondamental. Contrairement à ses faux airs blasés par moment, il en apprend finalement des choses sur l’humain, quand il travaille. Il en voit des choses bien moches moralement. Heureusement, durant ce week-end, il n’est pas question de travailler ou de songer à ses dossiers. Ce sont des souvenirs bien plus joyeux qui se créaient en temps réel, forcé de constater lui aussi qu’ils arrivaient à parfaitement s’entendre, et ne pouvait que s’extasier de ce petit-déjeuner qui arrivait à point nommé. Le manque de nourriture pouvait être un motif à être légèrement grincheux, la question n’avait pas eu le temps de s’être posée, et maintenant qu’ils étaient tous deux rassasiés, et à minima reposés, il était temps de s’adonner à une séance de shopping. S’il n’était pas un expert en mode, il partageait l’enthousiasme. Qui plus est, il serait honteux de ne pas faire du shopping dans une pareille ville, les mêmes magasins ne se trouvaient certainement pas à Burlington, et l’urgence de se trouver un costume était telle, qu’il était impensable de rester deux jours complets dans la chambre.

Si Leo ne sait pas se positionner sur les préférences de son amante sur le comportement à adopter en public, Leo la pimbêche qui s’avère être un poil bisounours quand il s’agit d’affection, ne peut qu’apprécier ce rapprochement. Il aime sentir Betty proche de lui, et apprécie encore plus de l’entendre avouer qu’elle l'a trouvé irrésistible. En tous cas, c’est ce qu’il retiendra de cet échange, puisque ça l’arrangeait bien; d’autant plus que c’est ce qu’il avait pensé d’elle, en la voyant pour la première fois. Un autre sourire craquant, tandis qu’il plaisante au sujet de sa destinée, selon laquelle il se devait de porter du Prada. L’avocat l’entend rire, ne peut s’empêcher de l’observer et de la trouver particulièrement à tomber par terre. Il se retient de l’embrasser devant cette vitrine qui reflétait leur si bonne alchimie à ce moment-là. Il se détache à contre-coeur pour laisser entrer la professionnelle dans le magasin. S’il la suit de près, et ne manque pas d’initier un nouveau contact, il s’élance, comme un ignorant et ne réprime pas un léger rire à sa réponse. Il s’arrête donc, pour limiter les “dégâts”. Okay, tu prends le lead. Faudrait pas faire un fashion faux pas dans ce magasin. Ils attendent donc l’arrivée d’une vendeuse. L’ignorant reste silencieux, bien qu’il salue poliment la vendeuse. Il ne peut s’empêcher de sourire à sa formulation, ça laisse entendre qu’ils forment une équipe dans cette mission shopping, et s’il y a quelques années, la notion de “nous”, pour l’éternel solitaire, l’aurait fait flipper, dans ce contexte, elle est bien trop fluide pour qu’il vienne se torturer l’esprit. La vendeuse l’interroge alors, comme s’il en savait quelque chose. Il ne perd pas spécialement la face. Ma styliste saura vous dire. Histoire qu’elle ne lui pose plus jamais de questions, parce qu’il déteste ne pas savoir et avoir l’air d’une dinde. Il a confiance en Betty, et c’est surtout de l’admiration qui émane de son regard, en l’entendant balancer un modèle précis. Pas de hasard. Il trouve ça incroyablement sexy, cette connaissance qui traduisait une passion pour le sujet. Il ne sait pas s’il a envie d’absorber ses connaissances ou si c’est de l’adoration, - probablement un bon mix des deux, puisqu’il n’aime pas rester sur ses acquis et aime apprendre, seul le temps lui manquait. L’avocat, conscient qu’il ne pouvait pas maîtriser tous les sujets autour de lui, se laisse observer, bien qu’il ait un léger brin de timidité qui dure une petite seconde. Il se satisfait du fait que la jolie rouquine semble être comme un poisson dans l’eau, et ça lui fait plaisir de la voir de la sorte. Il reprend son souffle, quand ils sont priés de suivre la vendeuse dans une autre pièce. Gros touriste, il marche sans savoir à quelle sauce il allait être cuisiné, mais repose bien vite son attention sur Betty. Un grand sourire sur le visage, il l’entoure de ses bras quand les siens viennent s’enrouler autour de son cou. Il fond, une fois de plus en l’entendant, et répond à son baiser en l’embrassant à son tour, particulièrement ravi. Ah bah j'ai entendu ! Au sujet de sa vision, bien qu'il ne peut s'empêcher de commenter : Non mais c’était grave stylé, quelle classe !   Relève Leo, sans doute en lui prouvant par la suite sa bonne mémoire, tandis qu’il répète scolairement : Collection printemps-été 2008, laine, soie et lin bleu marin, boutonnière simple à points bâtis et veste à points d’épine, avec une chemise prada classique, bim bim bim. Forcément, c’est percutant, ça lui plait beaucoup, trop ? Plus question de faire du shopping comme un pouilleux, voilà qui l'inspire. Bon par contre, j’veux pas que ce soit la gentille vendeuse qui me tripote, ça t'embêterait ? La princesse à ses préférences, quitte à abuser... Bon, il lui pose tout de même la question. Pas vraiment discret, puisque c’est justement à ce moment là que la femme armée d’un mètre revient dans la pièce. Il l’accueille avec un sourire, et se détache, encore une fois, à contre-cœur, de la couturière.




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