Moustique tigre, la menace de l’été ! Plus nombreux (et redoutables) que jamais cet été, les moustiques tigres s’en donnent à coeur joie avec les fortes chaleurs. Reconnaissable par sa couleur noir et ses rayures blanches, le moustique tigre peut transmettre certaines maladies telles que la dengue ou le chikungunuya ! Petit par la taille (5 mm) il n’en est pas moins dangereux ! Pour lutter contre cet indésirable, le club nature alerte sur l’emploi d’insecticides qui s’avèrent mauvais pour la biodiversité et le plus souvent inefficaces. Il est donc recommandé d’utiliser des produits à base de répulsifs naturels tels que le géranium, la lavande ou l’eucalyptus citronné. Mais, comme s’enduire de citronnelle ne suffit pas, voici quelques conseils pour éviter de faire de votre jardin un club de vacances 5 étoiles pour moustiques : -N’ayez pas peur d’allumer les ventilateurs, le moustique a horreur des courants d’air ! -Ne laissez pas de l’eau stagner, arrosoirs, coupes de fleurs, bâches, pieds de parasol et autres bacs. -De fait, pensez à changer régulièrement l’eau des fleurs (et de vos animaux). -Couvrez les réserves d’eau, bidons, citernes ou bassines avec un voile moustiquaire ou un simple tissu. -Si vous n’avez pas de mares ou de bassin naturel, il est encore temps d’en creuser un ! En effet, ceux-ci attirent les libellules, oiseaux et autres gentilles petites bêtes qui, outre favoriser la biodiversité, sont des prédateurs naturels des moustiques. Vous savez désormais ce qu'il vous reste à faire, ne les laisser pas gâcher votre été (ni la biodiversité) !

Petite annonce Maison à vendre, 187 farming area, Redwood Hills, Vermont. 7 pièces, 3 chambres, 182 m2. Entrez dans l'histoire avec cette extraordinaire ferme, construite vers 1915. Cette charmante maison dispose de trois chambres spacieuses. La maison a résisté à plusieurs intempéries, démontrant sa résilience et sa robustesse. Cette propriété est plus qu'une simple maison : c'est un témoignage d'un charme intemporel et d'une qualité durable que la famille Larsen a voulu conserver au fil des années. Ne manquez pas votre chance d'explorer tout ce qu'elle a à offrir. Préparez-vous à être captivé ! Pour plus d'informations, contactez Eli Larsen-Amdhal au N°.... 82 Nous avons vu/entendu - Melody Fordham, la fille aînée de la célèbre Grace Fordham, préparerait activement son départ pour l'université de Burlington, à la rentrée prochaine. La fille marcherait-elle dans les pas de sa mère ? - l’éminent anthropologue judiciaire, le docteur Wilson Montgomery a reçu un illustre prix pour son livre. Sur le tapis rouge, il était accompagné de Darren Callighan et le couple a paru très complice face aux photographes. - Lizzie Myers serait tiraillée entre le présent (en la personne de Simon Fitzgerald) et le passé (avec le retour de Benedict Hochkins). Qui des deux hommes la belle choisira-t-elle ? Et dans le fond, doit-elle réellement choisir, ou bien se retirer encore plus loin dans la campagne pour élever des chèvres plutôt que de se questionner sur le chaos des relations humaines ? - Shannon Jones offrir des cupcakes à Tehaunui Kealoha en plein embouteillage sur la route aux abords de la ville. Il parait que les autorités de la ville envisagent de s'inspirer de cette idée pour contenter les automobilistes furieux des retards qui ont été fréquents cet été en raison de travaux de construction.

Redwood Hills nouveau terrain de jeu d’un mystérieux street artiste ?

En effet, une drôle de fresque est apparue sur les murs de la Catamount’s (atelier de restauration auto et moto créé en 2023). Les vieilles voitures qu’abrite l’ancienne grange devenue atelier s’affichent maintenant fièrement sur la façade, la carrosserie pliant sous les crocs du chat sauvage (mascotte emblématique de la région). La peinture, visible à des kilomètres à la ronde, aurait, d’après les exploitants du coin, « poussé comme un champignon » pendant la nuit et ne cesse de s’agrandir -à leur grand désarrois- ces dernières semaines. C’est à se demander comment l’auteur reste encore inconnu à ce jour ; une question qui anime de nombreux habitants de la farming area, qui aimeraient bien coincer le responsable. « Encore des gamins du coin, à tous les coups ! Les jeunes de nos jours ne savent plus quoi faire pour se rendre intéressants ! » s’est empressé Robert Banks, dont la ferme ne se trouve qu’à quelques mètres de l’ancienne grange. Rénovée à grands frais, nombreux sont ceux qui, comme lui, n'y voient ni plus ni moins qu’une forme de dégradation. Mr Banks persiste et signe : « Non mais vous avez vu ce truc ? On n’est pas à Brooklyn ici ! » quand d’autres paniquent déjà à l’idée qu’il en pousse d’autres : « Vous imaginez ? Avec toutes les granges qu’il y a par ici ?! » s’inquiète Dottie Weems, éleveuse de chèvres.
Le vieux Ralph, ancien propriétaire de la grange, se serait-il retourné dans sa tombe ? C’est ce qu’ont l’air de penser plusieurs résidents alentours, qu’ils soient d’anciens amis et voisins de Ralph Stewart ou d'honnêtes citoyens réfractaires à cette expression artistique. Interrogé à ce sujet, le propriétaire des lieux, Liam Hartman, s’est d’abord fendu d’une note d’humour : « Je devrais probablement remercier l’auteur de cette fresque pour la publicité gratuite, puisque vous vous êtes déplacés jusqu’ici. Défrayer la chronique, c’est toujours bon pour les affaires. » S’il semble s’amuser de la situation, d’autres la prennent avec plus de gravité, des voix contestataires seraient remontées jusqu’aux oreilles de madame la Maire qui n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet.

L’oeuvre serait-elle celle d’une jeunesse décadente en proie à l’ennui comme certains en sont convaincus ou celle d’un artiste incompris ? Quelques voix s’élèvent toutefois pour défendre la modernité, l’art de rue ne serait pas réservé aux grandes villes et mettrait en valeur tant les espaces ruraux que les bâtiments oubliés. Un avis partagé par monsieur Hartman (qui a retrouvé son sérieux) : « Plus sérieusement, beaucoup s'en plaignent. Je pense qu’on fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose. C’est juste un peu de peinture sur un mur. Ça ne fait de mal à personne. Les gens ne trouvaient rien à redire quand cette grange était une ruine recouverte de graffitis. Soudain, voilà que ça pose problème. Une chose est sûre, je ne compte pas y toucher. Liberté d’expression artistique ou appelez ça comme vous voulez. » Si l’on ne peut nier que la fresque attire le coup d’œil, ce qui n’est qu’un peu de peinture sur un mur ne semble pas avoir fini de déchaîner les passions. Alors, simple hypocrisie ou débat de fond sur la place de l’art dans les espaces publics, nous laissons le soin aux redwoodiens de se faire leur propre avis sur la question. Une chose est sûre, à la place de l'artiste qui se cache derrière ces coups de pinceaux, nous resterions anonymes encore quelques temps !