QUARTIER : Recherche une maison, en attendant elle vit à l'hôtel sur Burlington
MÉTIER : Journaliste toujours en étude
COEUR : Juste un mariage sur un bout de papier
INTERVENTIONS RL : Oui
INFOS RP
Sujet: Re: joyride Ven 8 Nov - 11:17
joyride
Betty, Eli, les Jensen & Leo
Le sujet sur sa famille disparue est lourd mais Eli ne se démonte pas, elle a envie d’en savoir plus, elle a envie de se construire avec les récits des autres membres de sa famille. Elle ne pensait pas aller à la paroisse pour ça, à la base, mais elle est ravie d’avoir appris quelques détails sur la vie de sa mère. Eli n’a aucune idée du sort de la femme du pasteur, elle ne la connait pas, c’était la première fois qu’elle mettait un pied à la paroisse. Tout ce qu’elle a pu voir, c’est un vieillard plutôt en forme. Encore une fois, qu’une supposition, elle ne le connait pas assez pour déterminer son degré de « forme ». Eli continue de sourire tout en proposant : « Il faudrait qu’on y aille ensemble un jour. » Eli regarde Jane et Robert puisque Leo et Betty ne semblent pas y aller, cela ne sert à rien de les inviter. Elle relève son regard aux quelques mots adorables de son oncle. Elle lui ressemble. Elle aimerait en tout cas, cela la touche de l’entendre. « Est-ce que tu t’en souviens de comment était ma mère avec vous ? » Demande sans trop réfléchir Eli. Elle a senti que le sujet n’était pas si gênant pour eux alors elle enchaîne, toujours dans sa petite quête personnelle de retrouver ses parents, du moins, juste les récits. Robert est décidemment trop mignon avec elle, Eli ne peut s’empêcher de poser sa main sur son bras en signe de reconnaissance. « Merci beaucoup. » Les yeux qui pétillent légèrement, Eli en oublie presque la présence de Betty sur un sujet aussi personnel que celui-ci.
Eli reprend une bouchée et commente le repas. C’est juste délicieux… ! Son regard se pose sur les autres invités. Betty prend plus le temps de son côté. Eli décide de ralentir la cadence, elle déteste terminer son assiette avant les autres au risque de passer pour une grosse morphale. Elle essaie donc de manger plus tranquillement. Son regard se pose ensuite sur Leo qui vient l’interroger sur la piste de la paroisse. « On m’a raconté que cet homme était une source incroyable d’informations et qu’il a toujours vécu dans le coin. Je me suis dit que c’était l’occasion d’en savoir un peu plus sur la branche Larsen. » Un demi-mensonge. Il y a bien toutes ces questions concernant sa famille mais il y a aussi, surtout, les informations sur la Rose Lunaire. Chose qu’elle ne mentionnera pas à table devant tout le monde. Eli tourne la tête vers Robert. « Ca avance bien ! J’ai écrit quelques articles sur une expo photos assez dingue à New York ! Je pourrai vous le faire lire après ! » Eli ne mentionne pas son article sur la Rose Lunaire, elle préfère plutôt évoquer sa petite rubrique hebdomadaire sur la culture.
Elle continue de sourire, bien heureuse de s’être un peu détendue tout en « supportant » la présence de la meilleure amie de sa meilleure ennemie. Elle ne semble pas si terrible cette Betty, moins qu’Aspen en tout cas. Eli écoute d’une oreille attentive les échanges entre Jane et Betty. Un petit sujet sur le couple. Evidemment que Jane est friande de ce genre d’histoire, c’est une évidence. Elle finit par tourner la tête vers Leo d’un air interrogateur. Il connaissait Aspen aussi ? Eli ne pose aucune question et se reconcentre sur son assiette. Leo est attentionné. Top. Elle ne dit rien, laissant Betty patauger tranquillement dans ce sujet. Mais Jane semble insatisfaite par ses réponses puisqu’elle lance un regard interrogateur à Eli. Cette dernière fronce les sourcils. Ah non, non c’est mort, elle ne parlera pas de sa vie amoureuse. Eli repose son regard sur Betty, puis sur Leo : « Vous n’avez vraiment rien à nous raconter ? Juste un truc. » Aller, Eli les abandonne, se replaçant du côté de sa tante au cœur d’artichaut.
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Not giving in
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MÉTIER : avocat en droit civil — (Shelby & Associés)
COEUR : love so bittersweet
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Sujet: Re: joyride Sam 9 Nov - 1:17
joyride
Betty, Eli, les Jensen & Leo
Eli suggère qu’ils aillent ensemble à la paroisse. En voilà une bonne idée, on pourrait passer un dimanche, right darling ? Qu’il demande en s’adressant à Jane qui hoche vivement la tête. Oui, ça pourrait être sympa, ça fait si longtemps que nous ne sommes pas venus à Redwood. Pas si éloignée, la distance entre ici et leur ancien lieu de vie, mais à croire que les habitudes ont la vie dure; chacun son quotidien. S’ils faisaient l’effort de se déplacer, s’imagine qu’ils pourraient facilement en faire de même. Leo qui n’est évidemment pas outré de ne pas participer, puisqu’il n’a absolument aucune envie de passer sa matinée à la paroisse, n’a pas envie d’être confronté à ce pasteur qu’il déteste. Leo écoute la conversation, sans vraiment y participer. D’autres pensées occupent l’esprit occupé de l’avocat en croisade contre le maître de la paroisse. Hmm… avec nous ? Pas certain de comprendre la question, l’homme de famille hausse les épaules. Je l’ai connue depuis… toujours, c’était une amie d’enfance de mon frère, alors elle n’a jamais été une étrangère, Claire. Se souvient sans mal, l’aîné de cette fratrie. Pas le plus doué pour s’exprimer, est soulagé quand c’est sa femme qui reprend : Vous avez des traits de caractère similaires; une boule d’énergie, pétillante, pleine d’émotions. Sourire qui se veut tendre. Têtue, mais éventuellement savait aussi par moments écouter les conseils des autres; mais elle avait besoin de foncer deux/trois fois dans le mur avant de comprendre. Se rappelle Jane, dans un sourire. Pas connue depuis aussi longtemps que Robert, mais c’est ce qu’elle a pu constater en la connaissant à l’âge adulte. Comme Robert reprend le relais, Jane en profite pour reposer son attention sur Betty, n’ayant pas envie qu’elle se sente isolée dans ce repas. Par automatisme, la mama un peu nerveuse, qui cherche à la mettre à l’aise. Pas besoin d’eau. Constate qu’elle ne mange pas des masses, n’en dit cependant rien; pas envie d’empirer le tout mais s’inquiète de savoir si le repas était à son goût.
Alors pendant qu’une nouvelle conversation, à part, se lançait entre Jane qui tente de trouver quelque chose, Leo interroge alors Eli sur la paroisse, retour sur le sujet après un petit aparté sur sa tante. Se demande qui lui a conseillé de parler au pasteur, le psychopathe qui liste dans sa tête les potentielles personnes en question; mémoire infaillible, stalker de compétition. Peter, impossible, pas si fan du pasteur finalement. Sa meilleure-amie ? Celle avec le bébé qui porte le même nom qu’elle ? Pas certain qu’elle soit du genre. Jeu de cluedo improvisé, tandis qu’il en vient à la conclusion silencieuse qu’il pouvait s’agir de son ami écrivain et passionné par la Rose Lunaire. Conseil avisé, de se diriger vers celui qui la détestait plus que quiconque dans ce village. Hochement de tête entendu. C’était une bonne suggestion alors, Qu’il en conclut d’un ton tranquille en apparence. Apporte son verre à ses lèvres, l’occasion pour son père de la relancer sur un autre sujet : son travail.
« J’ai eu besoin d’un avocat, ma meilleure amie le connaissait et m’a donné le contact. » Qui attire l’attention de l'égocentrique qui a une oreille tournée d’un sens, et dans l’autre. Petit sourire, reconnaît bien sa jolie rouquine qui reste factuelle et qui ne s’attarde pas des masses. Jane est coriace dans son idée de vouloir entendre le son de la voix de la copine de son fils. Retour sur la conversation à côté, celle entre son père et Eli, déçu de ne pas avoir encore eu l’opportunité de la lire. Mentionne avoir écrit quelques articles au sujet d’une exposition à New York. Bon, puisqu’ils n’iront pas la voir, cette expo, pas sûr que ça lui parle plus que ça, au mec de campagne mais hoche la tête, en souriant. Leo termine son assiette, comme son verre avant que son attention ne se reporte sur sa mère qui l’interpelle. Des points d’interrogation dans les yeux, regard qui passe de sa mère à Betty. On interpelle Robert, d’un air faussement indigné, qui lui-même n’ayant pas suivi, est tout aussi perplexe. Quand l’explication tombe, son père hausse les épaules, Leo arbore un petit sourire en coin. Sur la réserve, comme d’habitude, mais sourire qui s’élargit tout de même en entendant la précision de Betty quant à sa manière d’être. Hm ouais ça m’arrive. Euphémisme de l’avocat qui, d’une manière générale, est en effet aux petits soins avec celle qu’il aime; toujours dans l’envie de lui faire plaisir d’une façon ou d’une autre. Toujours présent, ou du moins essaie de l’être, autant physiquement que émotionnellement. Détentrice de la solution pour faire parler un Leo qui naturellement ne va partager pas grand chose : lui poser des questions. Art que ses parents ne maîtrisent visiblement pas, faute de savoir sur quoi l’interroger exactement au fond. Un mystère, cet homme-plante verte. Jane qui se retourne à nouveau vers Betty, cherchant évidemment à en savoir plus sur ce trait qui lui était inconnu chez son fils. Sourire de la couturière, regard tendre du brun pudique. Rob qui a un peu lâché l’affaire, reporte son attention sur Eli. Du coup, t’écris que sur des choses qui se passent à New York ? Sait être autre chose que brute de pomme, cet oncle. Leo qui a clairement le temps de manger, termine son repas. Pas grand chose, finalement à se mettre sous la dent, la pauvre Jane qui décrète être déçue du manque d’exemple. Léger rire du côté de Leo, en entendant sa cousine leur renvoyer la balle, sentant évidemment le vent tourner dans sa direction. Nan, nan ça sert à rien d’insister : je lui ai fait signer un NDA. Qu’il dit en plaisantant évidemment - parade pour masquer son éternelle pudeur. Je veux pas que tu me piques mes idées cutes qui plus est. Taquin à l’adresse de celle qu’il ne connaît aucun romantisme : Eli. C’est quoi ça encore ? Haussement de sourcil du père. On ne comprend pas la blagounette, ce qui explique pourquoi on interroge jamais l’avocat. Mais si tu sais, Rob, c’est le document qu’on signe quand il y a des informations confidentielles. Petit sourire de la mère qui essaie. Hm okay. Du vin, Eli ? Qu’il propose en voyant son verre s’être vidé.
Spoiler:
Petite ellipse ?
couleurs:
Jane Robert
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'Cause you dig your claws right into my heart so I won't forget ya ; 'cause you sink your teeth in every scar and it give me pleasure - - - - - - - - - - - - - - - - -
Elizabeth Brennan
-- membre qu'on adore --
PERSONNAGE
LITTLE TALKS : 731
PSEUDO : Schnappi
AVATAR : Sophie Turner
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ÂGE : 30
MÉTIER : Couturière de profession, tient une petite boutique de vêtements à Saint-Albans
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Sujet: Re: joyride Sam 9 Nov - 11:22
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joyride
Betty, Eli, les Jensen & Leo
Bien plus que de potentielles grossesses indésirées ou de l’étrange vie d’Eli la cousine bizarre, la conversation engagée à propos de sa personne préférée a évidemment le don de tirer Betty du gouffre de ses propres pensées. Les questions de Jane sont mignonnes, les réponses que la rouquine peut y apporter le sont tout autant. Un joli petit couple, pas grand-chose à y redire quand on omet toutes les scènes de larmes, d’angoisse et de disputes pour en arriver là – pas que Beth y repense très souvent de toute façon. Elle sourit lorsque Jane interpelle le reste de la table dans une indignation toute jouée, se moquant gentiment de sa propre ignorance au sujet de son fils : effectivement très attentionné, effectivement très romantique, effectivement très tendre avec sa copine. Certes pas du genre à faire de grandes déclarations, mais qui a réellement besoin de ça ? La pudeur que les deux amoureux partagent ne permettra pas à Mrs. Jensen d’en apprendre davantage sur leurs petites manies, mais eux le savent, que tout se joue dans les petits gestes. D’ailleurs, il y en a tellement qu’y songer redonne entièrement le sourire à Beth, en même temps qu’un début d’appétit – ne sachant même plus vraiment pour quelle raison elle se sent si malheureuse alors que rien ne le justifie dans sa vie.
Ce n’est pas rationnel.Une bouchée, l’instinct de contrôle empêche d’enchaîner sur une autre immédiatement. La rouquine s’amuse de la pirouette adoptée par Leo pour ne pas avoir à en révéler davantage malgré l’insistance de sa mère, puis d’Eli. Why ? Difficile d’imaginer quelles idées cute la blonde pourrait s’approprier avec son mari fantôme : difficile de chérir quelqu’un qu’on ne voit jamais, no ? On ne posera pas de questions. L’ambiance dans le ménage de la cousine bizarre est tout simplement bizarre, pas vraiment que ça intéresse Betty non plus au fond – bien fait, qu’elle songe avec une pointe d’amertume tout en repensant au drama sentimental qui l’oppose à sa bestie. Robert essaie de raccrocher à la conversation, sans vraiment saisir à quel point son fils est drôle : what a shame. C’est un peu étrange au fond, cette distance que l’on devine entre les parents Jensen et Leo sans réellement pouvoir situer son origine ; Ne sont-ils pas adorables ? Petite moue de Betty avant qu’elle ne reporte son attention sur son assiette, prenne une profonde inspiration et poursuive sa pénible ascension contre la montagne de son dégoût contre elle-même.
« Tu n’as pas mangé grand-chose » notera plus tard Mrs. Jensen lorsque la rouquine rapportera toutes les assiettes dans la cuisine une fois le repas terminé. Pas beaucoup de succès avec les plats, pas plus au moment des desserts : la lutte contre la petite voix intérieure n’a globalement pas abouti sur une grande victoire. Embarras aussi immédiat que visible, évidemment : de nouveau cette sensation d’être prise en flagrant délit même si elle a sincèrement fait ce qu’elle a pu pour ne pas tout bonnement renvoyer chaque assiette pleine. « Est-ce qu’il y a quelque chose que je pourrai cuisiner qui te plairait plus, la prochaine fois que tu viendras ? » Oh. Jane l’observe avec une inquiétude mêlée de tendresse, l’air parfait de la maman qui veut bien faire – du moins est-ce ainsi que la fille qui a grandi sans mère se le représente. T’es vraiment conne, Beth. Celle qui n’a aucune envie de blesser la personne qui la reçoit si gentiment ne peut s’empêcher de sourire avec une pointe de gêne, ne sachant comment rétablir la barre sans empirer encore la situation. « C’était vraiment délicieux, je suis désolée : je n’avais juste… pas très faim. » Hm. Les yeux verts se relèvent vers leur interlocutrice dans l’espoir d’y croiser une certaine forme de soulagement ; Aura-t-elle réussi à convaincre, avec ce mensonge en carton ? De toute évidence pas, l’inquiétude de Jane semble encore accentuée au contraire – de quoi tendre Betty pour de bon. « Si c’est lié à cette histoire de grossesse… » La gorge qui se noue de nouveau, les yeux qui plongent dans le fond de l’assiette désormais vide. « Je te présente mes excuses, Betty. C’était très maladroit de ma part, je ne voulais pas te blesser. » Respire, pétasse. La rouquine relève les yeux, acquiesce avec raideur dans un sourire crispé : pas qu’elle ait pensé que l’intention soit réellement malveillante au fond, mais cela ne change pas grand-chose au résultat.
« C’est rien, ça arrive, aucun problème. » Petit monstre de froideur qui l’engloutit de nouveau en dépit des efforts surhumains que déploie son interlocutrice pour dénouer le nœud. Ce n’est pas sa faute, mais il n’y a pas grand-chose à faire de toute façon, et probablement pour ne pas en rester sur cette conclusion extrêmement distante, Jane en profite pour se confier un peu plus tandis que la rouquine tendue termine de remplir le lave-vaisselle : « c’est probablement juste parce que j’ai hâte, j’ai envie de voir des signes dans tout : Leo qui ramène pour la première fois sa petite amie, la façon dont il te regarde, toi qui ne prends pas d’alcool, et puis ce petit geste sur ton ventre… J’ai… Pardon, c’est bête hein ? Je me rêve déjà mamie, il faut que je me calme ! » Jane laisse échapper un rire joyeux, léger, presque doux. C’est assez adorable, et pourtant Betty reste une fois de plus songeuse. Première fois que Leo leur présente quelqu’un ? Information qu’elle ne possédait pas, qui la surprend forcément, qui peut éventuellement faire sens en plus des autres éléments cités. C’est pour ça, qu’elle a cru à une grossesse ? Comme par réflexe, sa main retrouve de nouveau son ventre pour vérifier qu’il n’a pas triplé de volume avec le peu de nourriture qu’elle a ingéré. « Tu vois, ça ! Est-ce que tu as mal au ventre, ma puce ? Tu veux une tisane ? Je vais te faire une tisane, hein, ça fait toujours du bien. Quelqu’un veut un café ? Thé ? Tisane ? » ajoute-t-elle un peu plus fort en direction de la salle à manger, Betty profitant de l’arrivée de Robert dans la cuisine pour s’essuyer les mains dans un torchon et s’éclipser discrètement.
« Hey. » Petit sourire à l’adresse de Leo tandis qu’elle se laisse tomber à ses côtés dans le canapé, relève les yeux vers Eli, esquisse une moue, interrompt probablement une conversation à laquelle elle n’a de toute façon aucune envie de participer. Nice. « Vous parliez de quoi ? » Pour la forme, et même si son regard reste désormais résolument tourné vers l’avocat dont elle prend déjà la main. I missed you, probable que ça ne doive pas particulièrement résonner chez la blonde qui peut apparemment passer cinq ans sans voir son mari tout en piquant quand même les mecs des autres.
I wanna be alone. Alone with you, does that make sense?
•• amaaranth
:
Eli Amdahl
-- membre qu'on adore --
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LITTLE TALKS : 386
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Sujet: Re: joyride Lun 11 Nov - 20:36
joyride
Betty, Eli, les Jensen & Leo
En réalité, Eli n’a jamais participé à une cérémonie religieuse. Evidemment, elle sait très bien comment ces évènements se déroulent au cœur de la paroisse, mais elle n’a jamais été attirée par tout ça. La rencontre avec le pasteur est purement par intérêts personnelles pour retrouver sa famille et par intérêts professionnelles afin d’obtenir des informations sur la Rose Lunaire. Infos qu’elle ne transmettra pas à sa famille. En attendant, même si elle n’est jamais allée à la messe, elle n’est pas dérangée d’accompagner Jane et Robert, si elle peut renforcer leurs liens de cette façon, Eli sera toujours volontaire. « Super, tenez moi au courant. » Souffle Eli avec un grand sourire. Elle essaiera d’être présente sur Redwood Hills à leur arrivée. De toute manière, elle a le projet de rester bien plus longtemps dans sa ville natale, souhaitant s’éloigner de Roman et de New York. Quoi qu'il en soit, ce repas aide Eli à combler le vide toujours présent dans son cœur. Elle a besoin de comprendre, besoin de savoir comment était son père et sa mère. Eli vient tout juste de retrouver la trace de son père et étrangement, elle ne se sent pas proche de lui, beaucoup plus attirée vers sa mère. Elle ne sait pas pourquoi puisque les deux sont partis au même moment, dans le même accident. Peut-être qu’elle a l’impression que sa mère était déjà plus présente auprès d’elle… ? Encore un vide qu’elle aimerait combler. Eli apprend que sa mère était une amie d’enfance de son père. Un sourire s’affiche sur ses lèvres, adorant déjà leur histoire. Ses yeux se relèvent vers Jane qui vient sauver son mari. Et son sourire s’élargit un peu plus. « Je suis têtue moi ? » Demande Eli avec un sourire amusé avant de rire légèrement. Elle sait très bien qu’elle l’est, têtue. Qu’elle fonce aussi dans le mur, qu’elle a besoin de se le prendre plusieurs fois avant de réaliser les choses. « Bon je crois que j’ai ça d’elle. » Eli veut bien en rire parce qu’elle est touchée de ressembler à sa mère, y compris sur ses pires défauts. Elle est tellement en quête de sa mère qu’elle peut tout prendre, tout accepter aussi. « Et concernant mon père, est-ce qu’il était proche de moi ? » Toujours pour comprendre ce sentiment qui l’envahie régulièrement, pourquoi vouloir être proche de sa mère alors que son père était aussi présent ? ou peut-être pas. Eli n’en sait rien et elle a peur de les embêter avec toutes ses questions, surtout qu’il y a deux autres personnes à table.
De toute manière, Eli continue sur le sujet de la paroisse, une oreille attentive n’est pas très loin. Leo semble intéressé par le sujet. Elle lui explique simplement le cheminement pour retrouver le pasteur sans évoquer une seule fois ses sources. Elle acquiesce à sa réflexion avant de regarder de nouveau son oncle évoquer son travail. Elle explique rapidement ce qu’elle fait et ce qu’elle écrit dans sa rubrique. « Oui principalement. Mais je compte étendre petit à petit les sujets de mes articles. Je viens tout juste de prendre une place au New York Times, j’y vais tranquillement en restant dans le même secteur pendant un temps. Puis j’espère pouvoir m’étendre sur les villes voisines. » Eli souhaite réellement passer sous son silence son article sur la Rose Lunaire. Elle sent que le sujet est de plus en plus difficile, peut-être un peu dangereux, elle n’a pas envie d’impliquer sa famille. Eli suit le nouvel échange concernant les deux amoureux. Elle n’a pas envie de parler d’elle et de Roman alors elle se rabat rapidement du côté de Jane. Eli secoue la tête à la réflexion de son cousin. « N’importe quoi. J’ai pas envie de copier.» Souffle la journaliste, une gamine qui n’a clairement pas envie de ressembler au couple là… Beurk Et puis, Eli, a autre chose en tête et elle va devoir lui en parler parce qu’elle n’a rien compris aux dires d’Asael, réalisant qu’elle était bien loin de tout connaître de lui. « Oui, bien sûr. » Comment va-t-elle rentrer avec ce verre de vin supplémentaire ? Aller pas grave, Eli accepte ce nouveau verre.
Eli quitte la table en délaissant cette fois son verre de vin, elle a tout de même envie de rentrer en vie. « Un café merci ! » Elle s’assied sur le canapé et profite de la non présence de Robert pour toucher deux mots à son cousin. « Au fait, tu m’as caché un truc… » Eli laisse un mini silence, juste pour le petit suspens désagréable et sûrement stressant. « Alors comme ça, t’as été marié… ? » Eli repense aux paroles du pasteur où il avait évoqué le divorce du fils de Robert et de Jane. Incompréhension totale d’Eli. Il va falloir être rapide pour échanger quelques mots puisque Betty finit par débarquer. Alerte, intruse !!
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