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josie // breaking free

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Jackie Gordon
-- membre qu'on adore --
Jackie Gordon

PERSONNAGE
— i am a woman above anything else
josie // breaking free Tumblr_pfgo5fO9h01xt328io5_400

[ dispo ;; 1 rp ]
paul #1hailee #1mannyjosephine

[ résa ;; unlimited ]
elizabeth
LITTLE TALKS : 469
PSEUDO : manon (atlantis)
AVATAR : lucy boynton
CREDITS : av. icemacklin [ profil. ] gif. disneyfolk, quote. jackie kennedy [ signature. ] gifs. ripe, code. self, lyrics. dean lewis
ALTER-EGO : liar zeppelin (jq)
ÂGE : 29
QUARTIER : willow street (#067, appt. 1);; partageant l'adresse de son cousin, s'amusant à redécorer de temps en temps jusqu'à ce qu'il le remarque.
MÉTIER : designer d'intérieur;; quelques premières missions menées à son compte et la voilà qui se dit qu'elle devra monter sa propre entreprise, au final.
COEUR : célibataire;; pas totalement prête à ce que ça change mais les yeux qui s'adoucissent devant le sourire d'une brune
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: josie // breaking free josie // breaking free EmptyVen 31 Mai - 15:20

( breaking free )
❁ ❁ ❁ ❁ ❁
we're soaring, flyin'. there's not a star in heaven that we can't reach if we're trying. yeah, we're breaking free vanessa hudgens, zac efron (breaking free) ‹ @josephine burrows

Temps mort. Le coup de sifflet comme pour venir marquer la fin de la partie, les autorités divisant le terrain en zones. Dans son dos, elle devine qu'il s'agit d'un véritable marathon, à celui qui ira le plus vite, qui saura fuir le plus loin ; elle est tentée de rejoindre la course, Jackie, de s'élancer à l'aveugle, les règles dans ce genre de situation lui étant parfaitement inconnues. Pas la première manifestation à laquelle elle participe, pourtant, mais la première qui dégénère ainsi et qui tend vers une victoire pour les flics qui l'encerclent. Elle et le petit groupe dans lequel elle s'est retrouvée. C'est peut-être le moment idéal pour développer son esprit d'équipe, pour élaborer une stratégie silencieuses avec ses équipiers, essayer de trouver une faiblesse dans le champ d'action opposé afin de prendre l'avantage mais entre les mains des CRS se trouvent des objets qui l'effraient plus qu'elle ne veut bien l'admettre. Et la fumée des bombes lacrimo lui ont fait monté les larmes, rendu les yeux rouges, empêchent sa concentration tant elle a l'impression d'avoir la tête dans le guidon. Ils jouent pas franc jeu, les flics. Ils trichent avec leur bel attirail payé par l'Etat et qui lui donne un semblant de pouvoir, preuve qu'ils sont mauvais perdants en plus d'être mauvais joueurs. Elle les voit, les matraques qui valsent et qui cognent. Elle-même évite de se faire assommée de justesse, en se décalant par un réflexe inouïe, bousculant une jeune (trop, d'ailleurs) fille au passage. Elle a la main qui se tend, Jackie, pour empêcher la brune de tomber au sol, de se faire mettre K.-O. par un bête accident de parcours.
La performance mériterait une médaille (en toute modestie, obviously).
Et si sa détermination est loin d'être entachée par l'air farouche des flics, elle se doit aussi de jeter l'éponge, Jackie. Cause perdue, balle de match. Fin du game. Elle admet sa défaite avec un air amer et le regard sombre ; ça lui est difficile d'être bonne joueuse. Pas sûr que ça puisse seulement arriver, en réalité. Alors, lentement, elle lève les mains et se laisse tomber à genoux. Ca n'empêche rien à la violence des autorités qui la plaquent contre le sol, lui attrapent les poignets pour lui coller contre son dos et Jackie, elle se demande un instant si c'est comme ça que son père et que Pauly procèdent, eux aussi. Ou s'ils sont plus délicats. Plus humains. Et puis, tandis que le flic tire sur les menottes qu'il vient de lui passer pour l'obliger à se relever, elle est tentée de lui partager un adage qui amorce un sourire sur ses lèvres. Jeux de mains, jeux de vilains. Et c'est bien de lui dont il serait question, qui roucoule presque d'avoir su arrêter un petit troupeau de manifestants. Il est vaniteux, le poulet, mais du point de vue de la blonde, il n'y a pas de quoi lancer la moindre célébration - pas de record pour monsieur au casque et à la tenue digne de l'armée quand ses adversaires sont en jean et veste élimée. Et puis, vaincre à un sport qui n'en est pas un, est-ce réellement un gain ? Pas de son point de vue à elle mais c'est pas comme s'il lui était demandé ce qu'elle pensait de ce prétendu nouveau record flic-esque. On est loin du coup de circuit, de sûr que le crâne chauve qui se dissimule sous son casque presque chevaleresque exagère un tantinet ses talents. Elle est projetée dans le fourgon en compagnie de ses compagnons d'armes avant d'avoir eu le temps de lui répliquer quoique ce soit. Et ils se retrouvent dans une obscurité relative et oppressante, collés les uns aux autres, à peine assis sur des bancs trop froids et trop durs pour son postérieur délicat. Elle trouvera le moment parfait pour lui renvoyer la balle, elle s'en fait la promesse, Jackie.
On ne maltraite pas son postérieur ainsi. Le trajet dure une éternité et pas assez longtemps à la fois. Etrange ambivalence qui bloque ses réflexions philosophiques ou ses débuts de plans de vengeance. Déjà, les portes du fourgon s'ouvrent et ils sont tous tirés un à un de leur confort pour être traînés à travers le commissariat puis entassés. Cette fois-ci, c'est une petite cellule qui leur est réservée. Le grand luxe. Parmi ses camarades de manif, il y a les habitués qui prennent leurs aises à peine les menottes leur sont-elles retirées et les comme elle. Qui découvrent encore ce monde nouveau. Elle l'habitude de l'autre côté, Jackie. De juger d'un air condescendant tous ceux qui se retrouvent derrière les barreaux, de plaindre leur manque de discipline quand elle n'en fait, elle-même, pas preuve, d'apporter des gâteaux à son père et son cousin et puis l'ensemble de leurs collègues, pour se faire bien voir, se faire apprécier et avoir un joli sourire sur les lèvres (et, pourquoi pas, essayer d'en séduire un ou deux par simple ennui et envie de jouer). L'envers du décor ne lui fait pas envie et pourtant, elle sait qu'elle réitérera l'expérience, Jackie. Parce qu'il y a des causes bien plus importantes que sa peur de ce qui pourrait arriver dans cette cellule pendant ces heures de garde à vue. Et puis, elle le sait, que les flics n'ont rien après eux, qu'ils seront relaxés rapidement, faute de quoi pouvoir les retenir plus longtemps. Elle sait aussi qu'ils vont les ignorer. Autant à Redwood les manifestants sont parmi les gros criminels, autant ici, à New York, ils sont presque invisibles.
Alors elle s'installe, Jackie, à côté de la presque gamine qu'elle a bousculé un peu plus tôt. Elle croise les bras sur sa poitrine, se ronge l'intérieur de la joue et se tourne vers la jeune. « Tu as le droit de demander à appeler un de tes parents si tu veux que quelqu'un vienne payer ta caution et ne pas rester ici plus longtemps, » qu'elle l'informe juste au cas où elle l'ignorerait. Les avantages d'avoir grandit dans le milieu, c'est qu'elle en connait les secrets - même si les lois du Vermont et celle de l'Etat de New York diffèrent un peu. Elle-même préfère ne pas (encore) appeler ses parents pour demander une avance financière, elle a déjà trop abusé ce mois-ci, elle attendra la prochaine garde à vue.
Et puis, pas sûre que son père apprécie de savoir qu'elle nargue des collègues si loin de chez eux. Quant à Pauly, il a déjà bien assez à faire, elle ne va pas le déranger aujourd'hui, pas tout de suite. Elle craint sans doute encore davantage son jugement à lui que celui de son père, finalement. « Et désolée, pour tout à l'heure. J'essayais d'éviter l'un de ses singes armés et j'avais pas vu que tu étais si proche. Tu ne t'es pas blessée, au moins ? » La grimace qui étire ses lèvres pendant que ses yeux l'inspectent rapidement. Y a pas l'air d'y avoir le moindre dégâts, c'est déjà ça.


_________________
‹ like we didn't exist
i hope you find someone who makes you feel like you're good enough cause this is the last, this is the last bit of us, stay in this moment, i just wanna hold it as long as we can
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Josephine Burrows
-- weird ? Limited edition ! --
Josephine Burrows

PERSONNAGE
I’ll keep a light on my soul. Keep a bluebird in my heart. Keep a bluebird in my heart. And the bluebird sings. Ooh.


josie // breaking free 6515f3227bb4c44581e3caf874dff1a8573be672
LITTLE TALKS : 1534
PSEUDO : vala29
AVATAR : Jenna Ortega
CREDITS : harley stuff (avatar) ; awonaa (code signature) ; epica - rivers (lyrics) + ethereal (icons) + apara-dise-penguins (gif)
ALTER-EGO : June, Juliet, Tehaunui, Edith, Alejandro & Mila
ÂGE : 20
QUARTIER : #090 Willow Street (avec sa tante et son vieux)
MÉTIER : guichetière au Stowe Cinema. En double cursus psychologie et travail social à l'université de Burlington.
COEUR : célibataire
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

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MessageSujet: Re: josie // breaking free josie // breaking free EmptyDim 16 Juin - 19:28



Breaking free

@Jackie Gordon & Josephine Burrows ♔ we're soaring, flyin'. there's not a star in heaven that we can't reach if we're trying. yeah, we're breaking free
☾ ⋆  ☾ ⋆ ☾ ☼ ☽ ⋆ ☽ ⋆ ☽

Voilà plus d’un an que Josephine avait quitté New-York. Abandonnée la prestigieuse université, abandonné le tumulte de la ville, abandonnés ses amis new-yorkais. Elle avait tout laissé derrière elle, sans regret ou presque. Elle assume son choix, B’. Si elle avait craint se reprocher cette décision, ses doutes se sont envolés. De retour au bercail, le petit oiseau. Trop loin de sa famille, Josephine dépérissait. Le nid retrouvé, elle est de nouveau prête à prendre son envol. Mais pas trop loin. Pas trop vite. Ça ne l’empêche pas de retourner à New-York Une parenthèse dans sa vie d’étudiante, entre deux séances de révision et les services au cinéma. Mais elle n’est pas là que pour faire la fête, ou faire du shopping. Son âme rebelle, révoltée, se réveille. Elle bat le goudron de ses pas décidés, scandant des slogans qui défendent leur cause. Elle les retient, B’, et les note plus tard dans un carnet. Traces de ses différents engagements. Parfois, elle tente elle-même de dénicher la bonne phrase, le bon jeu de mot pour faire passer ses idées, ses convictions. Elle n’est pas de tous les rassemblements, mais elle tente de participer à ceux qui se passent non loin de chez elle. Burlington, St-Albans, notamment. La Grosse Pomme, c’est plus rare, désormais.

Les mots résonnent, portés par de nombreuses voix. Combien sont-ils ? Elle ne sait pas et elle ne se posera bientôt plus la question. A quel moment ça a dégénéré ? Et pourquoi ? La plupart du temps, ça se passe bien. Parfois, quelques-uns font les malins et narguent les policiers qui sont là. Gardiens de la paix et de la sécurité. Ils les regardent passer, prêts à l’action si besoin. Aujourd’hui, Josephine se retrouve au milieu du chaos. Sans qu’elle n’y comprenne grand-chose, les esprits s’échauffent rapidement. Les voix se font moins pacifiques, plus violentes. Les corps se tendent, prêts à en découdre, ou à se protéger. La réponse ne se fait pas attendre. Les lacrymogènes sont de sorties. La fumée envahit le périmètre. Sa gorge brûle, les larmes ruissellent sur son visage. Elle tousse, le visage enfoui dans son coude pour tenter d’avaler le moins de fumée possible. Elle tente de s’éloigner, notant que certains sont bien mieux équipés qu’elle. Foulard et masque de plongée, ils semblent bien moins souffrir du gaz qu’elle. La prochaine fois… Pas le temps de penser plus, l’agitation monte d’un cran. Elle se fait bousculer, à deux doigts de s’étaler par terre. Heureusement, quelqu’un la rattrape. Une femme. Elle l’aurait bien remercié, mais sa gorge lui fait encore atrocement mal. Et les événements s'enchaînent. Les flics se rapprochent, les encerclent, les mettent à terre. Elle se retrouve bien vite à genoux, les mains dans le dos, les menottes au poignet. Et merde... Première fois qu’elle se fait embarquer au poste.

Josephine ne montre aucun signe de panique. Elle garde un visage impassible, mais dans son esprit, c’est l’angoisse ! Qu’est-ce qui va lui arriver ? Elle tente de se calmer. Pas grand-chose, certainement. Après tout, elle n’a rien fait de mal. Pourtant, combien sont enfermés injustement ? Pour une manif... Non, dans quelques heures, elle sera dehors. Une fois en cellule, elle voit bien ses camarades de galère - enfin quelques-uns - qui ne semblent pas trop paniqués par ce qui se passe. Ils s’installent, tranquilles, sur les bancs inconfortables, comme si tout ça, c’était la routine pour eux. Elle décide de suivre leur exemple. Elle n’a rien d’autre à faire que de patienter pour voir à quelle sauce elle allait être mangée. Elle reconnaît la femme qui l’a rattrapée un peu plus tôt, et qui s’installe désormais à côté d’elle. Femme qui lui indique qu’elle peut appeler un de ses parents. Elle fait si jeune que ça ? Elle est presque majeure pourtant… “Soit j'appelle mon père pour qu'il vienne me sortir de cet endroit qui pue la pisse, et là... Il n'en finira pas de me tanner avec ça ou alors…” Elle laisse passer un silence, comme si elle réfléchissait alors que sa décision est déjà prise. “Je suis patiente. Ils finiront bien par nous relâcher.” Pas question de donner la satisfaction à O’ de l’avoir sortie du trou. Surtout, elle n’ose pas l’appeler pour lui dire qu’elle est derrière les barreaux, même si c’est pour une bonne cause. “Ça va, pas besoin de t’excuser, c’était pas ta faute.” Plutôt celle de ses imbéciles de flics. “Pas de bobo, non.” Elle aura quand même certainement quelques bleus, mais rien de grave. Sa gorge commence à lui faire moins mal. Elle a certainement les yeux un peu gonflés, un peu rouges. Raison de plus de ne pas appeler son vieux. Il serait capable de la prendre en photo et de foutre ça sur Insta… “T’as déjà été en cellule ?” qu’elle demande à sa camarade de galère. A lui donner des conseils un peu juridiques, elle se dit que c’est pas la première fois que ça lui arrive.



magma (code) boite à idées (avatar) zac efron & vanessa hudgens (breaking free)

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