AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Merci de privilégier les nombreux scénarios, pré-liens et membres des familles lors de votre inscription reap what you sow (freya) 3189630431
N'hésitez pas à interpréter un membre de la Rose (préliens) reap what you sow (freya) 3843455399
N'oubliez pas de voter sur les top-sites pour faire connaitre le forum reap what you sow (freya) 3118605328
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal

Partagez

reap what you sow (freya)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage

Oscar Kidd
-- HERE COMES TROUBLE --
Oscar Kidd

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) UYFHtbw2_o

LITTLE TALKS : 4424
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jack O'Connell
CREDITS : mrs.chaplin (avatar) peachy (gif)
ALTER-EGO : Tristan, Amelia, et bébé Joe
ÂGE : 33
QUARTIER : willow street (#140)
MÉTIER : le facteur n'est pas passé...
COEUR : pour qui n'en voudra pas
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyLun 10 Avr - 10:36

Certains – beaucoup ? – diraient qu'Oscar Kidd a enfin été remis à sa juste place. Après tout, une poubelle pour une ordure, c'est plutôt logique non ? Et ce n'est pas la première fois qu'il a déjà pu mettre le nez dans une benne à ordures, à la recherche d'on-ne-sait-quel trésor (compromettant pour l'un de ses voisins, à coup sûr). Oui, sauf que cette fois-ci, ce n'est pas sur sa propre initiative qu'il y a mis les pieds, et ça, ça serait pas difficile à deviner, vu l'état de sa gueule. Un peu de sang par-ci et par-là, un œil tuméfié et des bleus qui se devinent déjà... Le petit con vient de se faire refaire le portrait, et il l'a sûrement mérité. À vrai dire, il ne saurait même pas dire quelle connerie lui a valu ce traitement de faveur au juste... c'est qu'il en fait tellement, des conneries, et il n'a reconnu aucun de ses deux assaillants. Mais ça ne peut pas être un hasard s'ils lui sont tombés dessus, non ? Leur petite ville n'est pas connue pour abriter une grande délinquance après tout, pas au point où la violence peut s'abattre sur le premier venu à chaque coin de rue. Et puis, il en est à son combientième de passages-à-tabac au juste ? Ce n'est ni la première fois... ni la dernière, puisqu'il est encore en vie. Inconscient, mais bien en vie. Ceci expliquera pourquoi il n'est toujours pas sorti de sa benne à ordures ? Heureusement pour lui, ce n'est pas le jour du ramassage des déchets – qui sait s'ils n'auraient pas vraiment eu sa peau autrement ? Voilà que l'idiot reprend connaissance. Un marmonnement plaintif par ci, un geste de la main par là... Il prend conscience de ses douleurs, et surtout, de cette odeur nauséabonde. Que s'est-il passé déjà ? Ah oui c'est vrai. Bon bah... reste plus qu'à se sortir de là. Ou à demander de l'aide ? Le Kidd commence par taper du poing contre son cercueil, tant bien que mal. Y'a pas quelqu'un dans les parages pour l'aider ? Des poubelles qui font du bruit, y'en a pas à tous les coins de rue. Et y'en a encore moins qui parlent.
- Eh oooh... Eh ! Y'a quelqu'un ? Finalement, il se décide à se bouger tout seul, et se sort de sa prison – ou plutôt, bascule à son pied, non sans se faire de nouveaux bobos. Tout ça mérite bien qu'il se repose un peu avant de se mettre sur ses pieds ? Il a l'idée de partir en quête de son portable avant ça... rien dans ses poches. Peut-être bien que ses agresseurs le lui ont piqué au passage – ou alors, il est resté dans la benne quand lui en sortait. Il faudrait donc qu'il y retourne ? Eh merde... Avachi au sol, aux côtés de sa nouvelle amie la benne, il finit par sombrer à nouveau. Qui aurait cru que ça pouvait être si confortable ? Alors que le temps passe et qu'il ne rouvre toujours pas l'œil. Enfin, peut-être bien qu'il est mort en fait.

_________________
I KNOW I'M A HANDFUL BUT THAT'S WHY YOU GOT TWO HANDS.
Revenir en haut Aller en bas

Freya Da Costa
-- And there's nothing like a mad woman --
Freya Da Costa

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) D87e7cf1174bd7e17fcf3f570e7ef87b2dd3df02

PRÉSALIENSTOPICS
reap what you sow (freya) LsApcGa
LITTLE TALKS : 1033
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : jodie comer
CREDITS : avatar by aphrodites / gifs by specerhesting / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → henrik (ft j. alwyn) l'architecte workaholic → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 33
QUARTIER : fraîchement propriétaire d’une maison sur lilac road, avec amelia comme pensionnaire.
MÉTIER : chef de pupitre arts et cultures pour le burlington free press. chroniqueuse et critique littéraire
COEUR : un coeur fragile qui ne cesse de briser.
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptySam 24 Juin - 8:40



reap what you sow

feat oscar & freya
Récemment, Freya a renoué avec quelques amis du lycée. Perdu de vue, chacun dans leur petite bulle, la plupart sont - tout comme elle - de retour en ville. Faut dire qu’elle n’avait jamais vraiment eu cette envie de fréquenter ces anciens camarades de classe. Elle les appréciait, là n’est pas le problème. Elle voulait simplement se détacher de ce qu’elle avait ici pour mieux recommencer à zéro à Burlington. Y est-elle arrivée ? Elle est de retour après tout - et malgré tout. Vivant dans une petite ville, il n’est pas rare de croiser un visage familier au centre-ville. Puis, un échange de politesse en amène d’autres et tout d’un coup, on se retrouve autour d’un verre à se remémorer la bonne époque qu’était le lycée. C’est drôle quand même. Se dire qu'au lycée, c’était bien. Lorsqu’elle y était, elle ne le pensait pas. En même temps, la Freya du lycée était cent fois plus drama queen que la Freya présente. À l’époque, tout était la fin du monde. M’enfin, vous savez ce qu’on dit. La vie est une tragédie quand on la voit en gros plan, mais une comédie quand on regarde sur le long terme. La preuve, autour de la table, les rires s’enchaînent et sont tout aussi sincères que malaisés. « Bon, je vais aller fumer. » Addison glisse sur la banquette, s’apprêtant à quitter la table, le temps d’une cigarette. « Attends, je t’accompagne. » Les regards confus se posent sur la Portugaise - qui rectifie rapidement le tir : « Pour prendre de l’air, j’ai chaud. » Elle n’avait peut-être pas bu trois pintes, mais son visage gagne en chaleur à chaque millilitre avalé. Et un peu d’air, ça ne fait jamais de mal.

Les filles poursuivent leur conversation à l’extérieur, Addison se range dans la ruelle à côté, question de ne pas faire chier les autres avec sa fumée. Mais avant qu’elles puissent se lancer dans un nouveau sujet, Freya remarque une silhouette, étendue au centre de la ruelle. « Je rêve ou il y a quelqu’un par terre ? » Son amie se retourne et valide la scène. Freya s’avance donc vers la personne en question. De petits pas hésitants, au cas où ce ne serait qu’un itinérant dans un sommeil profond. En ville, il est rare d'en trouver comme ça. Ils sont beaucoup plus subtils. Addison lui chuchote à voix haute de ne pas s’approcher. L’idée de faire marche arrière n’est pas trop loin, elle n’est pas si brave que ça. Mais lorsqu’elle arrive à voir les quelques traits, légèrement défigurés, de la personne, ses pas s’accélèrent vers elle - tout comme les battements de son cœur. « Oscar ? » Paniquée devant la silhouette amochée et immobile du facteur, elle s'agenouille à ses côtés, sans trop savoir quoi faire. Elle tente de le réveiller en le secouant délicatement. Le résultat n’est pas concluant. Elle approche son oreille de sa bouche, tentant d’entendre une quelconque respiration. Sauf que Freya n’a pas suivi de cours de secourisme. Elle aurait pu, mais elle a passé son tour, ne se croyant pas capable de gérer une situation du genre. Elle tourne la tête vers Addison, qui elle a disparu. Peut-être qu’elle est partie chercher de l’aide. « Oscar ! » répète-t-elle, un peu plus fort. « Oscar, m’entends-tu ? » Sa main sur son bras, elle le secoue une deuxième fois. Toujours rien. Puis, l’idée lui traverse l’esprit. Selon sa culture générale, la prochaine étape serait de lui faire le bouche à bouche. Elle ramène son regard vers l’entrée de l’allée. Toujours aucun signe d’Addison. Okay. Faut juste pas y penser. Tu fais ça pour son bien. Disons qu’avec le sang, ça ne donne pas vraiment envie. Mais bon. C’est une question de vie ou de mort. La journaliste pose son pouce sur le menton d’Oscar et pousse vers le bas pour ouvrir tranquillement la bouche de ce dernier. Elle ferme les yeux, prend une bonne inspiration et plonge.

_________________
— — — ✕ — — —
right when i felt the moment stop, glass shattered on the white cloth. everybody moved on, i stayed there, dust collected on my pinned-up hair. they expected me to find somewhere, some perspective, but i sat and stared, right where you left me ─ taylor swift
Revenir en haut Aller en bas

Oscar Kidd
-- HERE COMES TROUBLE --
Oscar Kidd

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) UYFHtbw2_o

LITTLE TALKS : 4424
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jack O'Connell
CREDITS : mrs.chaplin (avatar) peachy (gif)
ALTER-EGO : Tristan, Amelia, et bébé Joe
ÂGE : 33
QUARTIER : willow street (#140)
MÉTIER : le facteur n'est pas passé...
COEUR : pour qui n'en voudra pas
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyMar 1 Aoû - 13:30

Pourquoi a-t-il mal au flanc déjà ? Ah oui, sa fille y a été un peu fort avec les guilis. Sa fille, qui a l'apparence d'une enfant de quatre ans, mais qui lui parle de sa thèse sur l'ambition et les serpentards. Pourquoi ça ne le choque pas ? Il ne se pose pas la question. Il se laisse porter, et se trouve à présent à faire sa tournée matinale et poster ses lettres dans les poubelles de ses voisins. Merde ! Voilà que c'est sa pommette qui le lance... Ah oui, il s'est encore pris un poteau. Y'a Austin qui débarque d'il-ne-sait-où et qui se marre. Lui aussi se marre, mais pas longtemps : son dos, il a mal au dos. Il en a marre de marcher. Pourtant, il est assis, confortablement avachi dans le pouf hello kitty de sa sœur, mais rien dans sa position n'est confortable. Pourquoi ? Son père lui dit qu'il doit voir un médecin, c'est pas normal d'avoir mal comme ça. Mais avant ça, il a soif : il a une bière dans la main, seulement c'est de l'eau qu'il boit. Une bouteille qu'il porte à nouveau à sa bouche... et qui a dorénavant tout d'un détraqueur prêt à aspirer son âme ! Quoi ? Non ! La créature a la tête de Grippe-Sou – parce que c'est comme ça qu'il l'a imaginé depuis que sa fille lui en a parlé – et il ne veut pas, non, il ne veut pas qu'il l'embrasse ! Mais il ne peut pas bouger. Pourquoi il ne peut pas bouger ? Sauf ses bras, un peu, il lui semble, à force de s'y essayer, alors que le rêveur reprend vie et use bel et bien de ses bras pour repousser son assaillant. Aïe ! Son dos, sa pommette, son flanc. Il a mal partout, mais le plus important est qu'il a réussi : il a échappé à son détraqueur. Son détraqueur qui n'est autre que... Freya Da Costa ?? C'est elle qu'il finit par apercevoir, après avoir été un instant aveuglé par la lumière du jour. À moitié redressé, il regarde la jeune femme sans rien y comprendre. Il la regarde encore et encore, mais c'est toujours Freya qu'il a sous les yeux. Seulement si c'est vraiment Freya, pourquoi est-ce qu'elle était... Pourquoi est-ce qu'elle était en train de...
- Ch'uis mort ? Que l'idiot finit par s'enquérir, tout en balayant les environs du regard pour savoir à quoi ça ressemble, la vie après la mort. Il n'y a que cette hypothèse qui lui saute à l'esprit pour expliquer qu'elle vient tout juste de l'embrasser. À moins qu'il soit en train de rêver ? Non, ça c'est avant, qu'il a fait de drôles de rêves. Et puis voilà que tout lui revient en tête : l'embuscade, la poubelle... et maintenant Freya. Du bouche-à-bouche ! C'est ça, non ? Ce qu'elle lui faisait. Attends, attends... c'est qu'il est vraiment mort alors ? Durant quelques instants au moins, s'il ne respirait plus. Et il respire maintenant, non ? Tout se bouscule dans sa tête, alors que quatre ou cinq secondes viennent seulement de passer.
- J'ai rêvé ou tu... viens de lui sauver la vie ? Peut-être. Mais ce n'est pas ça le plus important, le plus urgent à savoir. Il la retrouve d'un regard.
- Ou t'as profité de moi pendant que j'étais dans les vapes ? Ouf ! Qu'elle se rassure, les coups reçus à sa tête ne semblent pas lui avoir porté préjudice : Oscar Kidd est toujours Oscar Kidd, le petit con qui cherche à la faire sourciller. Enfin, sauf qu'il n'a pas son habituel rictus au coin des lèvres... mais ça lui fait mal lorsqu'il tente de sourire – tout s'explique.

_________________
I KNOW I'M A HANDFUL BUT THAT'S WHY YOU GOT TWO HANDS.
Revenir en haut Aller en bas

Freya Da Costa
-- And there's nothing like a mad woman --
Freya Da Costa

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) D87e7cf1174bd7e17fcf3f570e7ef87b2dd3df02

PRÉSALIENSTOPICS
reap what you sow (freya) LsApcGa
LITTLE TALKS : 1033
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : jodie comer
CREDITS : avatar by aphrodites / gifs by specerhesting / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → henrik (ft j. alwyn) l'architecte workaholic → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 33
QUARTIER : fraîchement propriétaire d’une maison sur lilac road, avec amelia comme pensionnaire.
MÉTIER : chef de pupitre arts et cultures pour le burlington free press. chroniqueuse et critique littéraire
COEUR : un coeur fragile qui ne cesse de briser.
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyJeu 10 Aoû - 2:19



reap what you sow

feat oscar & freya
Oscar. Fallait que ce soit Oscar qui se trouve étaler telle une baleine échouée en plein milieu de l’allée. Elle aurait juré lui avoir déjà dit qu’elle le laisserait crever, et même - dans un élan d’adolescence en pleine crise - souhaité qu’il disparaisse. Pourtant, ce n’est ni l’indifférence, ni de la joie qu’elle ressent à la vue du facteur inconscient sur le pavé. C’est de la peur. Cette fois, sa dignité ne semble pas se mettre au travers d’eux. À genoux, au côté du jeune homme, elle prie pour qu’il se réveille. Elle va même jusqu'à tenter de le réanimer, de la façon la plus inattendue. Ce n’est peut-être pas nécessaire, mais ne sachant pas trop quoi faire d’autres, elle tente le tout pour le tout. Sauf que la Da Costa n’a jamais dû faire ça. Les cours de secourisme, elle a su y échapper chaque fois. Ça va jamais me servir, qu’elle répétait. Et honnêtement, elle doute être la personne ressource en cas de crise. Une araignée se pointe sur son mur, c’est la première à demander aux autres de s’en débarrasser. Là, seule devant ce drame, elle n’a pas le choix. En plein dans l’action, elle expire, inspire et fait tout ce qu’elle croit nécessaire. Elle le sent bouger. Ça marche ! Mais avant qu’elle puisse faire quoi que ce soit, les mains du facteur la repousse - assez brusquement - et elle se retrouve rapidement sur le cul. L’impact n’est pas délicat. Elle sent une roche - petite, mais robuste - lui taper en plein dans le coccyx. Elle encaisse le coup en pinçant de toutes ses forces les lèvres, réprimant un beuglement douloureux. Ch’uis mort ? Elle relève la tête vers Oscar, le regard presque surpris de le voir debout avec son visage toujours aussi amoché. Elle le contemple un instant et maintenant qu’il est de retour parmi les vivants, elle se demande s’il sait ce qu’elle vient de faire. Autant qu’elle a envie de lui dire qu’elle vient de lui sauver la vie, en même temps, elle n’a pas envie qu’il aille s’imaginer des choses - du genre, elle l’aime assez pour ne pas le laisser mourir. Sauf qu'Oscar n’est pas un con - pas complètement. Il semble assembler les pièces du puzzle par lui-même. Instinctivement, elle secoue la tête. Non, j'ai pas…. Mais lorsqu’il s’avance sur une théorie absurde, digne du Kidd, elle se justifie rapidement. « J’en ai pas profité, je viens de te sauver la vie ! » Un peu de respect quand même. Maintenant, il ne peut plus dire qu’elle ne fait rien pour lui et qu’elle ne fait que le mépriser. Le geste en dit beaucoup. « T’avais l’air d’un rat mort, j’allais pas te laisser là. » Son ton insinue presque qu'elle a fait quelque chose de mal, justifier son action pour mettre moins d’emphase sur celle-ci. Si elle lui répète assez longtemps qu’elle le pensait mort, peut-être oubliera-t-il qu’elle lui a fait le bouche à bouche pour l’en sortir. Elle finit tout de même par se calmer, inspirant quelques coups, se remettant petit à petit de… de tout ça. « Ça fait mal ? » Question conne, on s’entend. À force de le regarder, on commence à avoir mal à la tête. « Qu’est-ce que t'as fait ? » Elle doute qu’il se soit fait ça en tombant maladroitement sur le pavé. Connaissant Oscar, il l’a probablement cherché. Bien évidemment, Freya n'omet jamais de lui mettre le blâme dessus, même quand il se retrouve à être la victime.

_________________
— — — ✕ — — —
right when i felt the moment stop, glass shattered on the white cloth. everybody moved on, i stayed there, dust collected on my pinned-up hair. they expected me to find somewhere, some perspective, but i sat and stared, right where you left me ─ taylor swift
Revenir en haut Aller en bas

Oscar Kidd
-- HERE COMES TROUBLE --
Oscar Kidd

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) UYFHtbw2_o

LITTLE TALKS : 4424
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jack O'Connell
CREDITS : mrs.chaplin (avatar) peachy (gif)
ALTER-EGO : Tristan, Amelia, et bébé Joe
ÂGE : 33
QUARTIER : willow street (#140)
MÉTIER : le facteur n'est pas passé...
COEUR : pour qui n'en voudra pas
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyMar 22 Aoû - 17:28

Ce n'est pas comme ça que l'idiot avait prévu de finir sa journée. Ce n'est jamais quelque chose qu'il prévoit, mais qui finit par arriver, tôt ou tard. Les risques du métier – ou de sa connerie, plutôt. Est-ce que ça finira seulement par le calmer ? Sûr qu'après coup(s) le fanfaron ne fanfaronne plus tellement. C'est certain qu'il est vivant au moins ? Il parle comme s'il l'était mais il a encore ses doutes. Il faut dire aussi que y'a Freya sous son nez et il se demande d'où elle sort. Il finit même par comprendre que l'impensable est arrivé, alors il doute oui, il doute de sa réalité. Il la regarde avec toute la suspicion dont il est capable en ces circonstances – ça fait mal aussi quand il tente de froncer ses gros sourcils. Enfin, il plaisante, alors peut-être bien que c'est la preuve qu'il est vivant : c'est la vie qu'est drôle, pas la mort. Ça alors ! Elle vient de lui sauver la vie. Non, non, non... Il préfère sa version de l'affaire, quoiqu'en dise la jeune femme. Sûr qu'elle nie pour éviter les ennuis. Le Kidd tente bien un air dubitatif, mais pas sûr que ça soit bien probant dans son état.
- T'as un témoin ? Non, parce que sinon, elle a tort. Ce n'est pas ainsi que les choses se sont passées – et lui n'a pas besoin d'un témoin pour le prouver. Elle aussi persiste et signe, sur la défensive. La faute à qui ? Mais elle le lui rend bien. Un rat mort. Étant donné qu'il avait le nez dans les ordures y'a pas si longtemps que ça, elle n'a pas tort.
- Et t'embrasses les rats morts toi ? T'as pas peur de choper une saloperie ? Il y pense fort, Oscar, à ce qu'elle a pu clamer si souvent haut et fort : qu'elle ne lèverait jamais le petit doigt pour lui. Et aujourd'hui, elle vient de lui sauver la vie. Parce qu'il le reconnaît maintenant ? Pas à haute voix, et seulement lorsque ça l'arrange. Alors oui, peut-être bien que Freya Da Costa n'a pas fini d'entendre parler de sa bonne action, quand bien même il n'a encore rien dit. Ça fait mal ?
- Tu peux le dire, que c'est c'que t'espères. Parce qu'elle ne peut pas sincèrement se soucier de son état. Parce que c'est lui et parce que c'est elle. Et il la retrouve bien là, lorsqu'elle présume qu'il doit avoir sa part de responsabilité : elle suppose le pire de lui – ce n'est pas lui, qui l'a habitué au pire.
- ... Ch'ais pas. Il n'essaie même pas de nier qu'il a dû faire quelque chose. Qu'il l'a mérité ? Qu'il l'a bien cherché. Preuve qu'il est quand même un peu sonné.
- J'ai rien vu. Ils étaient au moins deux je pense, mais j'ai rien vu de leurs tronches. Et toi, t'as vu quelque chose ? Qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ? Merde putain ça fait mal. De parler. De s'être redressé sur ses coudes aussi, alors il en revient au sol. C'est pas mieux non plus. Il porte la main sur son torse un instant, et à regarder le ciel, il finit par se rappeler d'autre chose. Il se redresse à nouveau sur ses coudes.
- Merde, mon portable. Il est resté dans la benne. Enfin, il suppose qu'il s'y trouve, vu qu'il n'est pas dans ses poches, il a cherché. Il n'ajoute alors rien de plus mais la regarde encore. Elle comprend le message ? Si lui n'est pas en état d'y aller...

_________________
I KNOW I'M A HANDFUL BUT THAT'S WHY YOU GOT TWO HANDS.
Revenir en haut Aller en bas

Freya Da Costa
-- And there's nothing like a mad woman --
Freya Da Costa

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) D87e7cf1174bd7e17fcf3f570e7ef87b2dd3df02

PRÉSALIENSTOPICS
reap what you sow (freya) LsApcGa
LITTLE TALKS : 1033
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : jodie comer
CREDITS : avatar by aphrodites / gifs by specerhesting / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → henrik (ft j. alwyn) l'architecte workaholic → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 33
QUARTIER : fraîchement propriétaire d’une maison sur lilac road, avec amelia comme pensionnaire.
MÉTIER : chef de pupitre arts et cultures pour le burlington free press. chroniqueuse et critique littéraire
COEUR : un coeur fragile qui ne cesse de briser.
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyJeu 19 Oct - 3:04



reap what you sow

feat oscar & freya
T’as un témoin ? La Portugaise jette un coup d'œil en arrière, dans l’espoir d’y trouver Addison qui assiste à la scène de loin. Personne en vue. Son amie semble prendre son temps à revenir. Était-elle partie chercher de l’aide ou non ? Freya commence à douter. Elle l’imagine avoir oublié, distraite par une conversation quelconque avec un(e) inconnu(e). « Si j’avais envie de profiter de toi, je l’aurais fait y a longtemps. » Lorsqu’elle rétorque, elle s’aide rarement. Mais bon, c’est impossible pour elle de ne pas placer le dernier mot avec Oscar. Même qu’entre eux, c’est presque un jeu. Difficile de savoir qui tient l’avantage jusqu’à maintenant. Elle a bien envie de croire que c’est elle, mais le Kidd est très doué. Elle peut bien lui donner ça. Personne ne la challenge autant que lui. « T’inquiètes, après ça, je prends rendez-vous pour me faire dépister, au cas où tu m’as refilé la rage. » La première syllabe du mot salaud n’est pas à ignorer ! Elle plaisante, on s’entend. Son ton ne la trahit pas. Elle reste sérieuse et sarcastique, comme à son habitude avec lui. Ils ne changeront pas. Quoique… Est-ce un sourire qu’on aperçoit au coin des lèvres de la Da Costa ? « C’est sûr que c’est un bonus pour moi. » admet-elle, comme si elle trouvait un certain plaisir à le voir souffrir, ne serait-ce qu'un peu. Sadique ? Non. Cependant, étant donné qu'elle ne semble pas déterminée à lui rendre la monnaie de sa pièce pour toutes les sottises qu'il lui a fait endurer, elle se réjouit de constater que quelqu’un fait le boulot pour elle. Le karma fait son travail. D’ailleurs, elle se demande bien ce qu’il a pu faire pour que ça se rendre jusque-là. Autant qu’elle savait à quel point, il aime s’attirer des ennuis, elle osait espérer qu’il connaissait ses limites. À en juger par la situation, il semblerait que non. Sauf qu’elle a beau essayer de jouir complètement de son état, il lui fait un peu de peine, avec son visage tout amoché. Il ne le mérite pas autant, même si elle tente de se le faire croire.

Ch'ais pas. Ça, elle a du mal à y croire, impossible qu’il n’y soit pour rien. Il a tendance à toujours en faire plus que nécessaire, et cela est un fait connu de tous. S’il est sérieux, c’est qu’on ne l’a pas manqué. L’histoire est nébuleuse. « Ils sont sortis de nulle part ? » Il se serait fait agressé, sans raison ? À cette idée, un léger frisson lui traverse la colonne. Disons que Redwood Hills n’est pas connu pour être la ville haute en criminalité, mais les tragédies n’y sont pas rares. Ses pensées vont soudainement à Addison qui n’est pas revenue. Freya tente tout de même de se rassurer. Oscar n’a pas besoin d’avoir fait quelque chose ce soir, peut-être que les deux personnes se vengeaient et que ce n’était pas qu’un simple hasard. Ça doit être ça. Ça ne peut qu’être ça. « Ça t’apprendra à lire le courrier des autres et à jouer la commère du village. » On se rappelle qu’en plus d’être un casse-pieds, c’est un grand casse-couple ce facteur. Merde putain ça fait mal. Une grimace prend forme sur le visage de la journaliste. Elle aussi a mal, pour lui. « Si seulement tu voyais ta tronche. » Elle doute qu’il apprécisse qu’on ait tenté d’en faire une œuvre inspirée de Picasso. « Je peux faire quelque chose pour t’aider ? » Je vous jure qu’elle est aussi surprise que vous d’entendre ses mots sortir de sa bouche. De quoi donner raison à Oscar de lui remettre ses répliques pour les dix prochaines années. Elle regrette déjà ses paroles (et ses gestes). Mais elle ne peut pas le laisser comme ça et ne rien faire. Merde, mon portable. Il est resté dans la benne. Freya regarde la benne en question et ça lui prend peu de temps à comprendre la demande sous-entendue du facture. « Oh non. Oh que non. Je ne vais pas me mettre à fouiller dans les poubelles. Déjà que je t’ai fait le bouche à bouche, j’ai assez donné pour ce soir. » Sauf que… Oscar arrive à peine à bouger sans se plaindre, c’est clair qu’il ne peut pas partir à la recherche de son portable. Elle soutient son regard, luttant contre l’envie de céder, mais bon. Apparemment, elle est plus gentille qu’elle le voudrait. Un soupir fort et exaspéré résonne dans la ruelle. Elle se lève et se dirige vers la benne le dédain se lit clairement sur son visage. Un coup d'œil rapide, en espérant qu’elle identifie le portable rapidement. Mais non. Va falloir se salir les mains. Ça lui prend un moment à s’y mettre. « T’es certain qu’il y est ? Je te jure Oscar, si je me mets le bras là-dedans pour rien… » Elle le laisse interpréter ce qu’il veut, mais qu’il sache qu’en ce moment, il n’est pas en position de faire de mauvaises blagues. Face à la benne, elle grimpe pour atteindre le rebord à la hauteur de ses hanches. Elle retient sa respiration, affichant toujours une expression de dégoût sur son visage, consciente de la saleté qui l'entoure. D'un geste méthodique, elle commence à fouiller à l'intérieur. Heureusement, la recherche ne nécessite pas un grand effort de sa part. Après avoir déplacé quelques sacs, elle découvre enfin le précieux téléphone portable. Deux sacs sont sortis et jetés négligemment à côté de la benne. Heureusement, elle n’a pas à chercher trop longtemps. Une fois cette mission accomplie, elle descend rapidement, se dirige vers le blessé, toujours étendu au sol. Elle laisse le téléphone pendre au-dessus de lui avant de “l’échapper” sur son torse. « Oups, my bad. » Ça, c’était bien mérité. Elle ne le laisse pas seul pour autant. Même qu’elle lui tend la main. « Tu te sens prêt à te lever ? Ou tu préfères passer ta nuit ici à la belle étoile ? »

_________________
— — — ✕ — — —
right when i felt the moment stop, glass shattered on the white cloth. everybody moved on, i stayed there, dust collected on my pinned-up hair. they expected me to find somewhere, some perspective, but i sat and stared, right where you left me ─ taylor swift
Revenir en haut Aller en bas

Oscar Kidd
-- HERE COMES TROUBLE --
Oscar Kidd

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) UYFHtbw2_o

LITTLE TALKS : 4424
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jack O'Connell
CREDITS : mrs.chaplin (avatar) peachy (gif)
ALTER-EGO : Tristan, Amelia, et bébé Joe
ÂGE : 33
QUARTIER : willow street (#140)
MÉTIER : le facteur n'est pas passé...
COEUR : pour qui n'en voudra pas
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyDim 24 Déc - 17:45

- Comme quoi... t'y as pensé. Il gratte, le rat, il s'efforce de tirer quelque chose de la moindre tirade. Et si la Da Costa a vraiment pu un jour peser le pour et le contre d'un rapprochement avec le Kidd, le contre l'a emporté de toute évidence. Alors en quoi c'est important de le souligner ? La tête lui tourne, dur dur de suivre le cours de ses pensées. Il se soustrait un instant de la conversation, se laisse distraire par quelques douleurs... mais ne peut s'empêcher d'en revenir à Freya.
- Hein ? Qu'est-ce qu'elle vient de dire ? Ah oui, c'est un rat. Ce qui fait d'elle une sotte pour s'être approchée d'un peu trop près ? Ou une philanthrope.
- Me semble que je te la file souvent, la rage. Ça pour sûr qu'il a toujours gardé du temps et de l'énergie rien que pour elle – rien que pour chercher à la mettre dans tous ses états. Et à quoi ça les mène aujourd'hui ? À ce qu'elle se ravisse de le voir dans cet état. Il ne s'attendait pas à ce qu'elle l'admette sans détour, et cette franchise l'amuse un peu trop pour son bien.
- Me... fais... pas rire. C'est que ces soubresauts d'hilarité ne plaisent guère à son corps endolori. Quelle femme machiavélique : elle aime tellement le voir souffrir, qu'elle accentue ses souffrances. Il la reconnaît bien là. Finalement, il retrouve le sol, cesse de se redresser un instant. Et à regarder les étoiles, tout là-haut, il soupire. À moins que ça soit la question sur ses assaillants qui lui tire ce soupir ? Il ne saurait dire, et bizarrement, n'a pas une envie irrépressible de le savoir. Comme elle le dit, comme elle le sous-entend, il l'a bien cherché.
- Tu crois ça ? Que ça lui apprendra. Qu'il saura tirer une leçon de tout ça. À croire qu'il se désespère lui-même d'être si incorrigible : rien n'y fait, faut toujours qu'il tente le tout pour le tout avec ses conneries. Et puisqu'elle mentionne sa trogne, il se dresse à nouveau sur ses coudes pour qu'elle puisse le voir dans toute sa splendeur.
- C'est que t'as pas encore pris de photo ? Pour garder un souvenir, assurément. Il pourrait jauger de l'état de son visage par la même occasion... bien que ça ne soit pas sa priorité à cet instant. C'est quoi la priorité d'ailleurs ? Il n'en a pas. Il fait une pause et n'a toujours pas pour projet de se relever. Pouce. Mais quand il songe à son portable, ça, ça n'attend pas. Et ça tombe bien puisqu'elle lui offre son aide ! Vu l'état dans lequel il se trouve, elle ne peut certainement rien lui refuser... même si ça implique un petit passage dans la benne à ordures ? Oh non. Oh que non. Ah. En même temps, il aurait aussi bien pu se surprendre qu'elle se propose de l'aider, après tout ce qu'il lui a fait voir – et tout ce qu'elle a pu en dire. Ou pas. Il a beau s'être amusé à clamer le contraire, elle n'est pas sans cœur. C'est pour ça qu'elle va finir par céder à sa requête ? Il soupçonne de pouvoir la prendre par les sentiments, et tout passe par son regard. Ne voit-elle pas l'état misérable dans lequel il se trouve ? Yeees ! Elle semble finalement résigné à faire un tour à trashland.
- Bah... où tu veux qu'il soit d'autre ? Promis, il n'a pas orchestré ce passage-à-tabac dans le seul but de lui jouer ce drôle de tour. Il n'a même pas fait exprès d'égarer son portable : son seul tort, c'est de ne pas bouder son plaisir des circonstances. Au point où ça valait le coup de se faire refaire le portrait ? Maintenant qu'il y repense, les douleurs se font d'autant plus ressentir, et il n'avait certainement pas besoin que la Da Costa lui assène un dernier coup. Ou ne fait-elle que lui rendre son portable ? Il le sent passer, mais miracle, son bien lui est rendu.
- Ouf ! J'ai eu peur qu'ils me l'aient piqué. Pas si sûr que ça qu'il se trouvait dans la benne donc. Aussitôt il l'allume, pour vérifier qu'il marche toujours. Et maintenant ? Appeler les secours ? Sa sauveuse du soir propose déjà de l'aider à se relever, mais à regarder cette main tendue, il hésite. Pas sûr qu'il ait encore le courage de se remettre sur ses deux pieds. Et comme souvent, c'est avec sa bouche qu'il cherche à gagner du temps.
- Et toi, t'es sûr que tu veux pas me laisser crever ici ? Ce sera peut-être ta seule chance de te débarrasser de moi. C'est vrai ça, n'est-elle pas un tantinet tentée de l'abandonner à son sort ? À croire qu'elle est trop bonne... ou qu'il fait vraiment pitié. Et à se poser la question, il se demande jusqu'où pourrait bien aller sa miséricorde, s'il lui rafraichissait la mémoire sur leurs souvenirs communs. S'il échappait une énième connerie. S'il lui en apprenait d'autres qu'elle ne sait pas encore. Faut croire que, même à terre, c'est toujours le moment de tester les limites – non, Oscar Kidd n'apprendra jamais de ses erreurs.
- Tu sais que c'était moi Tom ? Et il n'en dit pas plus. Il attend de voir si les pièces vont se mettre en place, sans ne rien cacher de la lueur curieuse de son regard. Irrécupérable.
Revenir en haut Aller en bas

Freya Da Costa
-- And there's nothing like a mad woman --
Freya Da Costa

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) D87e7cf1174bd7e17fcf3f570e7ef87b2dd3df02

PRÉSALIENSTOPICS
reap what you sow (freya) LsApcGa
LITTLE TALKS : 1033
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : jodie comer
CREDITS : avatar by aphrodites / gifs by specerhesting / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → henrik (ft j. alwyn) l'architecte workaholic → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 33
QUARTIER : fraîchement propriétaire d’une maison sur lilac road, avec amelia comme pensionnaire.
MÉTIER : chef de pupitre arts et cultures pour le burlington free press. chroniqueuse et critique littéraire
COEUR : un coeur fragile qui ne cesse de briser.
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyLun 29 Jan - 5:53



reap what you sow

feat oscar & freya
Oscar semble toujours interpréter les choses à sa manière, filtrant les paroles à sa convenance, et Freya, de son côté, encourage involontairement cette attitude avec ses regards désapprobateurs, suivant chaque phrase exaspérante émise par ce dernier. Même après avoir été rudement remis à sa place, un sourire persiste douloureusement sur les lèvres du jeune homme. C'est presque impressionnant, bien que cela ne soit guère surprenant. La Portugaise se demande parfois ça lui arrive parfois d’être sérieux, pour de vrai. On ne peut maintenant une certaine façade indéfiniment. Elle repense à l'épisode où il l'avait accueillie de manière plutôt agressive, confondant Willa avec elle. C’est drôle. Après toutes ses années à le connaître et à l’écouter dire toutes les conneries du monde, elle réalise qu’elle sait peu de choses à son sujet. « Faut bien me garder diverti, non ? » souffle-t-elle, non sans un de ces fameux roulement de yeux subtils, accompagné d’un mince sourire espiègle au coin de ses lèvres. Avec le facteur dans sa vie, impossible de s’ennuyer, c’est certain. Et bien qu’elle déteste l’avouer, une partie d’elle prend un certain plaisir à se confronter à lui. En même temps, elle grandit dans un environnement confrontant et trouve ainsi un certain confort dans l’inconfort. Tu crois ça ? Un air dubitatif, elle secoue la tête. Non. Il n’apprendra jamais. Oscar est indomptable, c’est un simple fait avec lequel on doit faire, aussi frustrant que ça puisse être parfois. Mais bon, malgré tout, à l’instant, elle a mal pour lui. Quand on enlève les enjeux avec son neveu ou ses frères, ils arrivent presque à s’attendre. « Ouais, non. J’ai pas envie qu’Apple me propose ta tête dans un album intitulé Moments forts du mois d’avril. » Comme si sa galerie avait besoin d’une raison de plus de lui rappeler combien son cloud est rempli de photos inutiles. Puis, bon, l’état inquiétant dans lequel elle l’a trouvé la pousse à rester un peu plus sérieuse et ne pas trop se moquer - juste un peu, par habitude. Même si bon, cette journée était possiblement un moment marquant de sa vie : sa première fois à jouer dans les poubelles. Sa famille serait fière de la voir se salir les mains, enfin. Ça témoigne du peu d’amour qu’elle a pour Oscar. Pourquoi est-elle encore là ? Elle y va jusqu’au bout, à sa grande surprise - et celle d’Oscar. Debout à ses côtés, elle étouffe un rire furtif. L’idée de le laisser là est tentante. Elle n’est pas aussi cruelle qu’elle le prétend malheureusement.  « J’ai pas envie d’avoir les Da Costa sur le dos. » Après tout, Oscar est le bon ami de la famille. Si Carlos le pouvait, il échangerait sa fille contre le facteur, elle en est certaine ! « Et j’ai un peu pitié, je l’avoue. » De plus, cela fait quelques mois qu’elle ne l’a pas eu dans les pattes. Il y a de quoi se mériter un peu de gentillesse de la part de la journaliste. Sauf que, comme à son habitude, il a cette fâcheuse tendance à la faire regretter - à détruire les maigres lueurs d'espoir qu'elle peut encore avoir à son égard.

C'était moi Tom. Il lui faut un moment pour assimiler pleinement ce qu'il vient de prononcer. Son expression confuse évolue rapidement, ses sourcils se froncent et sa mâchoire se crispe, dévoilant un regard empreint de fermeté. Elle pensait sincèrement que ce chapitre était clos depuis un certain temps, mais voilà qu'Oscar ne peut s'empêcher de ramener à la surface cette histoire gênante, lui tendant comme un rappel cette page déchirée qui redonne toute sa signification à ce passé dérangeant. Pourtant, maintenant qu’elle y pense, elle aurait dû s’en douter. Oscar était aux premières loges lorsque ledit Tom lui a posé un lapin. À l’instant, elle ne sait pas trop comment réagir face à cette révélation. A-t-elle vraiment envie de revivre cette scène pour la troisième fois ? Il y a eu Tom - le vrai - et son cousin qu’elle a vite condamné pour tourner la fichue page de ce chapitre une bonne fois pour tout. Sebastian pouvait bien avoir l’air convaincant… Oh, gosh. Elle a dû avoir l’air d’une vraie folle. « Dis-moi que je rêve, » murmure-t-elle à voix basse, reprenant la main qu'elle avait tendue au Kidd pour la porter à la racine de son nez, secouant légèrement la tête. Elle ferme les yeux, tentant de chasser le souvenir de la scène qu'elle avait faite à Seb. Elle se retrouve vite déconcertée par une vexation profonde, une gêne palpable. Mais elle n'a jamais été très douée pour contrôler sa colère, et cette fois-ci ne fait pas exception. « Pourquoi tu me dis ça là ?! » Elle avait trouvé un coupable et exprimer ce qu’elle avait à exprimer. Pourquoi devait-il venir lui gâcher tout ça avec la vérité ? Honnêtement, elle aurait préféré rester dans l'ignorance, maintenir l'idée que le cousin de Tom était derrière tout ça. Les pensées tourbillonnent dans l'esprit de Freya, évoquant chaque confidence sincère qu'elle avait partagée avec Oscar à travers leurs échanges. Des révélations intimes sur sa vie, sur sa famille, des fragments de son être qu'elle avait dévoilés en toute confiance. Elle s'éloigne de lui, prenant quelques pas en arrière, son dos tourné pour dissimuler les larmes qui menacent de la trahir. Sous le poids de la colère, ses yeux s'embuent subitement. Cette trahison personnelle la frappe comme le vol d'un journal intime, dont les pages sont exploitées comme sujets de plaisanterie entre amis. Elle inspire profondément, rassemblant sa dignité, puis se retourne pour lui faire face. « T’avais pas le droit de faire ça, c'était une conversation privée, » articule-t-elle, exprimant cette impression d'avoir été dupée, de voir ses pensées les plus intimes et vulnérables utilisées à des fins qui lui sont étrangères. Bien que la conversation ait été privée avec lui, elle réalise que, puisqu'elle ignorait sa véritable identité au moment où elle confiait ses pensées dans son téléphone, cela revient au même. Oscar n'était pas censé être partie prenante de ces échanges intimes ; c'était Tom qui était l'invité légitime. Freya ferme les yeux brièvement, ajoutant d'une voix empreinte de lassitude : « Tu peux pas savoir à quel point j'en ai marre de tes conneries... » La goutte de trop. Le vase déborde - plus que jamais. « Tu gagnes. Tu gagnes !» lance-t-elle, les mains levées en signe de reddition. Un rire amer s'échappe de ses lèvres. « Dis-moi ce que tu veux, j'te le donne ! » Ne pouvant plus supporter les jeux et les tromperies qui ont émaillé cette relation, elle est prête à tout pour que ça arrête. La lassitude et la déception teintent désormais chaque mot prononcé.

_________________
— — — ✕ — — —
right when i felt the moment stop, glass shattered on the white cloth. everybody moved on, i stayed there, dust collected on my pinned-up hair. they expected me to find somewhere, some perspective, but i sat and stared, right where you left me ─ taylor swift
Revenir en haut Aller en bas

Oscar Kidd
-- HERE COMES TROUBLE --
Oscar Kidd

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) UYFHtbw2_o

LITTLE TALKS : 4424
PSEUDO : blue, Angie
AVATAR : Jack O'Connell
CREDITS : mrs.chaplin (avatar) peachy (gif)
ALTER-EGO : Tristan, Amelia, et bébé Joe
ÂGE : 33
QUARTIER : willow street (#140)
MÉTIER : le facteur n'est pas passé...
COEUR : pour qui n'en voudra pas
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyDim 25 Fév - 11:37

Elle a tout compris, ou presque, la Da Costa. Il se demande même, si ces yeux au ciel ne sont pas un bref présent pour le mal-en-point ? Il n'a jamais caché que sa réprobation était l'un de ses plaisirs coupables (pas vraiment coupable d'ailleurs). Alors s'il ne s'agit que de divertissement, lui non plus n'a pas à se plaindre – encore moins si les sourcils froncés ne sont pas loin derrière.
- Et moi avec. Il l'admet bien volontiers. Depuis quand a-t-il honte de sa connerie ? Et ce n'est pas le seul point sur lequel ils tombent d'accords : évidemment qu'elle se fait peu d'espoir sur le cas Kidd. Injuste retour des choses, dès lors que lui s'en est toujours fait beaucoup sur la jeune femme. L'espoir de la faire réagir au quart de tour, de la voir colère toute rouge, de ne pas la laisser indifférente. Comment ça, ce n'est pas la même chose ? C'est tout ce qu'il semble prêt à offrir, inlassablement, même quand rien ne lui a été demandé. Et si on pourrait croire que ça pousserait sa camarade à n'avoir que ressentiments à son égard, une complicité se dégage pourtant, à cet instant encore. À moins qu'il ne s'agit que de provoquer ses souffrances ? Cette fois-ci il se retient, au prix d'un effort, le sourire en coin ne devient pas un éclat.
- Je t'ai dit de pas me faire marrer. Et ça, c'est pourtant pas souvent qu'il le demande. La main sur son torse, sa tête bascule en arrière, un instant. Soupir. Il va vraiment devoir se relever un jour, n'est-ce-pas ? Il se raccroche à leur échange pour repousser l'échéance.
- La bonne excuse. Elle ne l'avouera jamais, qu'elle n'en a pas rien à faire de lui ? Autant qu'elle ne déteste pas vraiment sa famille. C'est sa conviction, une qu'il ne s'est jamais privé de lui répéter. Évidemment, elle a moins de réticence à avouer la pitié qu'il lui inspire : rien qui ne peut ravir ses oreilles, mais au vu des circonstances, il laisse couler. Ou pas. Pas longtemps. C'est donc pour ça que cette abrupte vérité sort finalement de bouche ? Non, l'élément déclencheur, c'est cette main tendue. Même à terre, blessé, Oscar a de drôles d'idées et une incorrigible curiosité. Alors un secret laissé à l'abandon, ne l'est pas plus longtemps. C'était lui. Tom. Ou pas vraiment, c'est bien ça le problème. Si elle ne l'a jamais suspecté, maintenant elle le sait. Il faut juste qu'elle le comprenne, et lui ne la lâche pas de son regard : il ne manque rien de ces traits qui se durcissent. Tout ça pour ça ? Tout ça pour quoi, il ne le sait pas vraiment, pas complètement. Il ne s'est pas posé autant de questions qu'elle peut le faire à cet instant. Il en a eu l'idée, il en avait l'envie, alors il l'a fait. Et puis il y a pris goût, à ces échanges sans retenue. Sans retenue, parce qu'elle n'était pas freinée par ce qu'elle pensait d'Oscar Kidd, parce qu'elle ne savait pas qui lui répondait vraiment sur ce tchat. De ça aussi, il en est convaincu. Comme si ce n'était pas lui le mauvais gars dans cette histoire. Elle se détourne, et se retourne, elle et ses yeux brillants. Oh non, elle ne va quand même pas pleurer ? Ce n'est pas la Freya qu'il connaît. Un bref instant, rien qu'une demi-seconde, l'éventualité de se sentir coupable lui traverse l'esprit. Car c'est un choix maintenant ? Même si c'en est pas un, il s'y refuse.
- C'que je veux ? Tu m'en poses des questions. Le con se sent con, sans en avoir eu l'intention. Et puis il se rappelle.
- Je voulais juste savoir si t'étais encore prête à me donner cette main moi. Oui, c'est ça ! Encore et toujours ces limites qu'il veut tester. Et il veut toujours le savoir.
- Ou si tu veux faire mal, je crois qu'c'est aux côtes que j'ai pris le plus cher. Là, à droite, là où il porte sa main sans pour autant se toucher. Au cas où elle aussi serait tentée d'y aller de son coup... Il n'y a peut-être bien que lui pour faire ce genre de suggestion.

_________________
I KNOW I'M A HANDFUL BUT THAT'S WHY YOU GOT TWO HANDS.
Revenir en haut Aller en bas

Freya Da Costa
-- And there's nothing like a mad woman --
Freya Da Costa

PERSONNAGE
reap what you sow (freya) D87e7cf1174bd7e17fcf3f570e7ef87b2dd3df02

PRÉSALIENSTOPICS
reap what you sow (freya) LsApcGa
LITTLE TALKS : 1033
PSEUDO : pascale, mrs.chaplin
AVATAR : jodie comer
CREDITS : avatar by aphrodites / gifs by specerhesting / code sign by atlantis
ALTER-EGO : manny (ft d. patel) le geek maladroit → wyatt (ft s. heughan) le papa roux endetté → sebastian (ft l. hoffmann) le douchebag → philip (ft j. o'connor) le justicier paumé → henrik (ft j. alwyn) l'architecte workaholic → roy (ft. j. norton) le politicien déchu
ÂGE : 33
QUARTIER : fraîchement propriétaire d’une maison sur lilac road, avec amelia comme pensionnaire.
MÉTIER : chef de pupitre arts et cultures pour le burlington free press. chroniqueuse et critique littéraire
COEUR : un coeur fragile qui ne cesse de briser.
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) EmptyLun 13 Mai - 18:19



reap what you sow

feat oscar & freya
Elle le fait rire. Elle fait même exprès de le faire rire, y prenant un léger plaisir. Un petit moment de complicité ou un désir de le voir vulnérable sous ses rires ? Dans l'écho de cet instant, désormais figé dans le passé, résonne l'aveu d'Oscar. Le faux Tom, c’était lui. Ce mystère qu'elle avait cru résolu, le coupable identifié et jugé, ressurgit brutalement, plongeant ses pensées dans une grande confusion. Les souvenirs affluent, mêlant le sentiment de trahison à la résurgence d'un doute qu'elle pensait dissipé. Les visages se superposent dans son esprit, alors qu'elle retrace le fil des événements, réalisant avec amertume l'ingéniosité avec laquelle Oscar a manœuvré - sans même lever le petit doigt - pour dissimuler sa véritable identité derrière un écran de tromperie. Sous la lueur vacillante de la ruelle, ses yeux s'embrument, trahissant l'onde émotionnelle qui vient la submerger. Le Kidd, imperturbable, ne cherche pas à esquiver la réalité, laissant planer cette atmosphère de jeu trouble entre eux, un jeu du chat et de la souris qui s'étire dans le temps, mais qui a perdu toute saveur pour elle. Elle ressent un embarras cuisant, mêlé à une profonde frustration. Alors que la vérité éclate enfin, elle réalise avec une clarté brutale qu'elle ne peut plus continuer à jouer ce jeu. « T’es sérieux ? » lance-t-elle, le ton sec, pas du tout amusé, alors qu’il lui indique où le frapper, si besoin. Rien ne l’arrête. Rien ne l’arrêtera.

Toutefois, elle reste fixée sur le mensonge de ce dernier. Faut dire qu’elle n’a jamais eu droit à la vérité de cette histoire et que ça la démange. « Pourquoi ? » demande-t-elle enfin, le regard toujours posé sur le jeune homme, au sol. Après tout, il s’est donné un mal fou pour simplement lui faire perdre son temps et la faire chier. Il sait qu’il n’a pas à faire autant d'efforts pour y arriver. Alors pourquoi prendre la peine ? Bien que cette fois, il est arrivé à faire plus que la faire chier. Il l’a vexé. Dans le bref instant où elle a cru que le Tom de l’application l’avait simplement ghosté, par manque d’intérêt, après toutes leurs conversations. Ça reste blessant. « T'as quand même pas fait tout ça pour rien. » Toujours à retirer une satisfaction des petits malheurs des autres. « Te faire passer pour Tom - qui est une vraie personne d’ailleurs, tu sais que c’est pratiquement illégal de prendre l'identité de quelqu'un ? » Pas que ça semble le déranger d’agir contre la loi, mais bon vaut mieux lui rappeler, dans le cas où - on ne sait jamais. Bon, il n’a pas fraudé personne, mais s’il avait été déplacé, ça aurait pu être un cas de diffamation. Ce pauvre Tom, qui s’en est pris un peu la gueule. « C'est quoi, tu voulais connaître mes petits secrets ? » Reste qu’elle se demande ce qu’il a fait, ou ce qu’il va faire, de ces informations. Attendre un bon moment pour l'embrasser publiquement. Des confidences, elle en a fait et c’est ça qui la dérange. « Et j'sais même pas ce qui est pire, en fait. Que t'inventes une vie pour me faire parler ou que tu t'oses venir me rejoindre au point de rendez-vous, après m'avoir posé un lapin, pour jouer les sauveurs. » lâche-t-elle, alors qu'elle n'oublie pas la situation, plus du tout hasardeuse, qui avait mené Oscar au même endroit, à la même heure.

_________________
— — — ✕ — — —
right when i felt the moment stop, glass shattered on the white cloth. everybody moved on, i stayed there, dust collected on my pinned-up hair. they expected me to find somewhere, some perspective, but i sat and stared, right where you left me ─ taylor swift
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé
-- --

PERSONNAGE
INFOS RP

reap what you sow (freya) Empty
MessageSujet: Re: reap what you sow (freya) reap what you sow (freya) Empty

Revenir en haut Aller en bas

reap what you sow (freya)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Sujets similaires

-
» en cas de tempête, ce jardin sera fermé \ freya
» manny + wyatt + sebastian + freya + philip + henrik + roy
» on reste éveillé pour déjouer l’ennui \ freya

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
REDWOOD HILLS :: 
you're entering redwood hills
 :: Midtown
-
Sauter vers: