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The world's a little blurry

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Leo Jensen
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Leo Jensen

PERSONNAGE
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LITTLE TALKS : 1409
PSEUDO : sasa
AVATAR : Aaron Taylor Johnson
CREDITS : (c) littlewildling-rpg
ALTER-EGO : Sam, Chase.
ÂGE : 34
QUARTIER : Willow street — dans une maison.
MÉTIER : avocat en droit civil — (Shelby & Associés)
COEUR : love so bittersweet
INTERVENTIONS RL : oui
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MessageSujet: Re: The world's a little blurry The world's a little blurry  - Page 3 EmptyLun 14 Oct - 23:31

The world's a little blurry
Betty & Leo

 Leo qui se met à rire quand Betty mentionne qu’il s’est peut être identifié à Kim K. S’ils ont bien un point commun, c’est bien de ne pas tenir en place, et que l’inactivité n’est clairement pas une source de bonheur pour l’avocat qui aime les challenges. Un peu. Qu’il ose bien admettre, bien qu’au fond, elle n’est pas sa préférée de la famille. Petite admiration pour la mère, qui a su exploiter ses filles pour bâtir un empire. S’il y a bien un documentaire sur une personne qu’il souhaiterait voir, c’était sur Kris Jenner. Son drive insatiable pour se faire de la thune le rend admiratif; lui-même s’étant sans doute un peu calmé depuis ses désastres d’investissements financiers qui remontent à présent. L’homme plus sage dans sa manière de placer son argent; comme quoi il n’est pas un expert dans tous les domaines. La comédie, peut être, en revanche, à ses heures perdues. Jouer au pitre, prétendre être quelqu’un d’autre et improviser des dialogues c’est quelque chose qu’il sait bien faire pour décomplexer la jeune femme exigeante avec son apparence. Pas envie qu’elle se sente pouilleuse, aucune chance qu’il la laisse sortir de cette suite avec cette impression, quitte à en faire des tonnes, quitte même à avoir l’air plus sérieux. Des cœurs plein les yeux quand il l’observe avec admiration. La plus belle meuf du monde, qu’il avait déjà dit - compliment bien difficile à surpasser.  Les deux amoureux qui se sont hypés mutuellement avant de prendre le taxi.

Entrés sans difficultés, les pas plus ralentis, tandis qu’il observe tout autour de lui. L’impulsivité de tout ce week-end le fait se sentir comme un vrai touriste mal informé, mais suit le mouvement dans cet environnement qu’il ne connaît absolument pas. Toujours bon enfant, relance la conversation au sujet de one shot avec des célébrités. Le choix de la rouquine l’étonne mais c’en est un qu’il approuve évidemment. C’est pas faux. Petite moue amusée, curieux, Leo qui se demande si elle a déjà été curieuse, mais ne pousse pas sa réflexion à voix haute, à lui de dévoiler son choix. Choix difficile, le brun qui opte finalement pour deux membres de la même famille : les Kravitz. Pas envie de choisir entre un genre en particulier, surtout s’il s’agit de fantasmer. Ouais, je sais pas, ils dégagent un truc de fou, c’est le crush du moment. Moue amusée, rien de bien intense. Aucun réel espoir que cela lui arrive réellement, aussi cute soit-il; qui plus est, quand il est question de fantasme, parfois se dit qu’il y a plus de chances d’être déçu en essayant de les réaliser.

En route vers la salle, la conversation se poursuit. Betty tout comme Leo n’ont jamais été dragués par une célébrité; la répartie facile, de se dire que ce monde-là ne mérite pas leurs attentions; pas une grande perte, certain que l’homme qui aime la discrétion, ne serait pas en accord avec le fait d’être dans une relation avec une personnalité publique. Il songe à Reagan, pendant un instant. Peut-être qu’il est un peu dur, pas vraiment 15 minutes de gloire, s’est-il rappelé de l’avoir vue sur de nombreuses couvertures de magazine. Pour autant, se demande si la chute, celle de redevenir une personne lambda n’était pas difficile. T’imagines ? Les paparazzis, et tout ? Quel enfer. Il hausse les épaules, et puis songe finalement : Mais ouais  si c’est juste une histoire comme ça passe, ouais.  Songeur, cette discussion lui fait penser à un film, peut-être un peu trop à l’aise pour dévoiler l'entièreté du genre de films qu’il regarde : ça me fait penser au film là, sur Amazon prime, avec Anne Hathaway là, qui tombe amoureuse d’un jeune chanteur. Grosse comédie romantique. Il toussote, le mec qui fait semblant de retrouver une virilité. Enfin, à ce qui paraît. Mytho, t’as vu tout le film.

Reconnaissante, Betty qui souhaiterait trouver quelque chose à offrir à Castiel DeWitt. L’âme de Leo fera l’affaire, mais en attendant il est vrai que le brun, poussé par sa réflexion, réalise qu’il n’a pas une vaste connaissance de ses goûts. Il se sent un peu bête, pour le coup, parce qu’il n’y a rien qui lui vient spontanément; pas le plus expressif - d’habitude sait compenser sur des petites attentions mais force est de constater qu’il ne passe vraiment que peu de temps en sa compagnie pour avoir une vision qui lui permettrait de la conseiller. Soso saura certainement mieux que lui. Une moue amusée, encore une, en entendant la répartie sur le livre de poèmes. Je te dirai, je vais lui écrire après. Et puis dans le pire des cas, se permet une dernière plaisanterie pour la route. Betty qui préfère son idée de carte. La main qui retrouve son coude tandis qu’il ajoute : J’suis sûr en vrai qu’il doit y avoir un magasin avec des cartes un peu insolites. C’est l’occasion de faire le stock. Petit sourire, se souvient celle qu’il lui avait envoyée pour s’excuser, un temps qui lui semble être si loin à présent.

Regard qui se détache de la rouquine, réalise qu’il ne sait absolument pas à quoi s’attendre, interroge sa copine, qui lui demande ce que son coude lui a fait. Hm ? Oh. Heu…ben, rien, ça doit être un tic.   Repose son attention dans le fond de son verre, nouvelle gorgée pour la forme. Tout va bien avec son coude, yes, yes. La couturière qui pose sa main sur son coude, pour le faire s’arrêter; chose qu’il fait évidemment. Sourire qui s’étend, en l’entendant l'intimant de se détendre. Solution toute trouvée à un geste nerveux. Thanks babe, j’y penserai à la prochaine poussée. Un dernier baiser pour la route, l’homme qui se cale sur sa chaise, remarque les lumières qui se baissent. Il y a la musique, le décor, la lumière, l’homme qui observe les premières mannequins qui défilent un moment, sans pouvoir s’empêcher de dériver sur la personne qui l’intéressait le plus : Betty. L’avocat qui ne réprime pas un sourire plein d’affection, en l’observant vivre le moment. Cute af. Rien à faire, juste pour ça, Leo ne regrette absolument pas d’être là. Les pupilles qui reviennent au catwalk, aucune idée de quoi tu parles babe, mais qui pose sa main sur sa cuisse, en continuant d’observer la mannequin qui portait quelque chose d’immonde. Tu m’expliqueras. Qu’il souffle, comme quand on veut éviter de parler au ciné pour ne pas déranger - visiblement beaucoup plus respectueux dans ce contexte que dans l’avion, la veille.  Les mannequins défilent, et puis éventuellement, un homme qui - pour lui est complètement inconnu - vient saluer le public avant de repartir. Et voilà comment se clôture ce premier défilé.  

Ils sont alors priés de rejoindre une salle de réception, ce qu’ils font, tandis que Betty lui demande quelles ont été ses impressions. J’savais pas à quoi m’attendre, mais c’était bien ! Manière de dire : je ferai pas ça tous les week-end, mais je suis pas en agonie non plus. J’ai bien aimé celle qui avait la robe bordeau et puis l’autre, avec la noire avec une espèce de cape là ! Arrivés dans la salle, l’envie évidemment d’une autre coupe, Leo reprend rapidement : Mais toi, surtout : t’as aimé ? Grand sourire, plus à l’aise pour écouter les siennes d’impressions. Manifeste finalement deux verres qui arrivent, magie en reposant son regard intéressé par le ressenti de Betty. Sans le vouloir, met un peu les pieds dans le plat, pour celui qui voit ce moment comme une opportunité de peut-être networker (??) ou de voir des visages familiers, lui demande : Et quoi, tu reconnais des gens peut-être... ?



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Elizabeth Brennan
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Elizabeth Brennan

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MessageSujet: Re: The world's a little blurry The world's a little blurry  - Page 3 EmptyHier à 8:42

The world's a little blurry
Leo&Betty

Bien d’accord pour reconnaître à la famille Kravitz un charme dingue, Betty se contente de sourire tout en observant son mec se projeter dans son fantasme. C’est innocent, conversation légère comme ils en ont des centaines sur à peu près tous les sujets. Même la potentialité d’êtree abordé par une célébrité a plutôt tendance à faire rire la rouquine qui acquiesce, laissant ses yeux parcourir la foule tout en écoutant l’avocat. « J’adorerais voir des photos de toi dans des magazines, pourtant. J’les garderais sous mon lit. » Même si à choisir elle préfère évidemment l’avoir dans son lit, le beau brun extrêmement bien foutu qui à défaut de paparazzi se fait au moins harceler par sa copine pour constamment se voir. Ses yeux cessent d’ailleurs de scruter les visages qui les entourent pour revenir à l’avocat, sourire plus large qui se dessine. « Ah, il est bien du coup ? » C’est okay babe. Il toussote d’un air détaché mais Betty n’est pas dupe et s’en fiche, au fond : si elle avait voulu sortir avec un mec qui ne s’intéresse qu’aux motos et au sport, elle n’aurait évidemment pas choisi Princesse Leo.

De brefs hochement de tête répondent à la proposition de trouver une carte qui sorte de l’ordinaire à offrir à Castiel DeWitt pour le remercier de son geste extrêmement généreux, les deux tourtereaux étant particulièrement bien placés dans cette foule où peu d’inconnus parfaits s’amassent. Des célébrités, ou simplement des gens côtés en ville, si Beth en reconnait certains c’est surtout l’appréhension de revoir un homme en particulier qui pousse son rythme cardiaque à l’accélération. Un peu de champagne pour s’aider, le regard qui se baisse sur son flanc contre lequel Leo se gratte de nouveau. « C’est nouveau ? » Parce qu’on peut lui reprocher plein de trucs, à Betty, mais certainement pas de ne pas être attentive au mec assis à côté d’elle qu’elle passe en réalité 99.99999% du temps à mater. Jamais remarqué ce tic donc, et si la tentative pour l’inciter à se détendre est évidemment maladroite, il n’empêche qu’elle est sincère. La rousse glisse sa main contre lui, voudrait bien lui parler du programme pour détourner son attention du truc qui gratte mais le défilé semble sur le point de commencer. Il faudra se contenter d’un baiser et de la sentir toute proche pour le moment, sa main ne quittant plus le bras de Leo y compris lorsque tout son corps se tend pour mieux voir le catwalk. Impossible de réellement expliquer ce que ça lui fait, d’assister à cet évènement aux premières loges : c’était toute sa vie et c'est terminé maintenant.  

D’ailleurs, elle se sent émue lorsque le créateur arrive sur le podium pour saluer le public. Bravo ! songe-t-elle tout en applaudissant, le cœur inondé de bonheur, d’excitation, de joie, et éventuellement d’une toute petite pointe de mélancolie en prenant conscience que tout aurait pu être différent. « Ouais ? » Large sourire aux lèvres, la rouquine qui quelques instants plus tard récolte les premières impressions de son petit-ami. Sa main toujours sur son bras, elle acquiesce vivement : « la cape, je suis sûre que ça va être la tendance féminine de cet automne. » De nouveau contente de constater à quel point Leo s’intéresse, même si tout cela est définitivement très éloigné de sa vie ou de ses préoccupations habituelles – bien plus importantes finalement. Dire qu’elle avait eu le culot d’un jour prétendre qu’il ne sauve pas des vies ; Probablement pas très bien regardé l’importance de son propre boulot pour le bien de la société. « Ouais, j’ai adoré ! J’ai trouvé que les courbes étaient ambitieuses, les silhouettes originales et les textures hyper inattendues, j’me demande comment ils ont fait ce col qui remontait, là, tu te souviens ? Bon et évidemment la palette va obli-ga-toi-re-ment se retrouver dans toutes les boutiques de fast fashion d’ici… allez, une semaine max, puis le running order était parfait et le line-up final incroyable. Je donnerais cher pour faire partie de leur seeding. » Il n’y a pas que les avocats qui peuvent jargonner un max sans s’en rendre compte. Après avoir récupéré un nouveau verre de champagne dans un sourire, Beth se rapproche pour souffler à son mec : « le seeding, c’est quand ils envoient des pièces à des gens connus pour faire réapparaître leurs tenues sur les tapis rouges, en interview, etc. » Du placement de produit, quoi. Mais c’est couture donc ça a un nom particulier, soyez attentif maître Jensen.

Retour sur terre lorsqu’il lui demande enfin si elle reconnaît des gens et le sourire de Betty devient un peu moins éclatant. « Non ? Je ne crois pas, j’ai pas fait attention. Ça fait longtemps, tu sais. » Bois un peu de champagne, ma belle. Comme par réflexe, et aussi pour ne pas donner l’impression que quelque chose la met mal à l’aise, Betty se prête tout de même au jeu de jeter un nouveau regard autour d’eux. Les mannequins sont sorties du backstage, les people font semblant de rire avec leurs amis riches, quelques personnalités plus discrètes du monde artistique new-yorkais font bande à part. La peur à chaque nouvelle paire d’yeux croisée de retrouver la sienne qui reste heureusement non concrétisée. « Hmm nope, mis à part le gratin habituel… Je ne connais personne. » Soulagement intérieur et sourire moins crispé envers son mec avant de prendre une nouvelle gorgée, sentant tout à coup une main se poser dans son dos. « Elizabeth ? » Non ? « BETTY BRENNAN, VOUS ICI ! » La voix joyeuse est heureusement féminine, le visage qui y est associé réellement amical, et immédiatement reconnu, si bien que Beth esquisse à son tour un large sourire tout en écartant les bras pour répondre à l’accolade qu’offre son (ancienne) copine. « Olivia ! Hey ! Qu’est-ce que tu fais ici ??? » La blonde hausse un peu des épaules tout en se reculant, visage toujours rayonnant. « J’ai été invitée, qu’est-ce que tu crois ? Je t’ai vue de dos et je me suis dit : une grande rousse très bien fringuée et avec un aussi joli p’tit cul, c’est forcément Elizabeth Brennan. » Olivia adresse un sourire complice à Leo, et Beth réalise tout à coup que des présentations s’imposent probablement.

« Leo, Olivia. On s’est rencontrées il y a… » « C’était dans une autre vie. » La couturière pouffe un peu tout en acquiesçant. « Ouais, c’était à l’époque où mon école nous envoyait à Broadway pour coudre les costumes. Ovi est danseuse. » La blonde qui acquiesce tout en tenant sa coupe de champagne, le regard pétillant allant de Leo à Beth, puis de Beth à Leo. « Olivia, Leo. On est seulement de passage, week-end à deux dans la grande ville, tout ça. » Ugh, toujours pas à l’aise avec les présentations. Assez explicite ? Probablement, et en particulier lorsque Betty passe de nouveau son bras autour de l’avocat dans un geste tendre pour le ramener à elle. Pas honte, juste pas fan des déclarations. La danseuse continue de couver le petit couple d’un regard attendri, on supposera donc que la pudeur légendaire d’E.B n’aura pas cassé l’ambiance. « Mais oui, c’est ce que j’allais dire : ça fait environ mille ans qu’on ne t’a pas vue ici ! Vous êtes tout les deux dans le même coin ? C’était quel état, déjà ? » « Le Vermont, ouais, on est originaire de la même ville. » Yes yes yes, cool. Bon, dans ses souvenirs Ovi venait aussi d’un bled paumé, elle n’a donc pas de réaction particulière autre que de hausser un sourcil amusée. « Et t’es VIP depuis le Vermont ? Quelle classe, miss Brennan. » « C’est Leo le VIP, moi je l’accompagne juste. » Nouveau sourire et l’étreinte qui se resserre un peu autour de la taille de son mec tandis qu’elle boit encore une gorgée de sa coupe, rendant à César ce qui appartient à César. « Est-ce qu’on se recroise à l’after, du coup ? » Cette fois hésitante, relève les yeux vers Leo. Pas entendu parler de cet after, mais est-ce qu’ils ne cherchaient pas une soirée à laquelle s’incruster de toute façon ? « C’est organisé au Golden, si ça vous dit j’y serai avec une bande d’amis. T’en connais probablement certains, d’ailleurs ? Il y aura plein de gens de la FIT en tout cas, c’est sûr. » Ah. Pour la seconde fois, le regard qui revient à Leo, attendant son avis sans savoir si elle-même préfèrerait peut-être qu’il décline, du coup.


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•• amaaranth


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Leo Jensen
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MessageSujet: Re: The world's a little blurry The world's a little blurry  - Page 3 EmptyHier à 20:06

The world's a little blurry
Betty & Leo

 Léger rire à la mention de garder des photos de lui sous son lit. Ouais ? Si c’est que ça, pour Noël, je vais t'offrir un coussin avec ma tronche dessus. Qu’il plaisante évidemment - le roi de la blague aujourd’hui - la conversation le mène ensuite à repenser à un film qu’il avait regardé il n’y a pas si longtemps, la qualité du film qu’il n’assume finalement pas tant que ça. Betty lui demande s’il était bien. Leo hésite une seconde avant de finalement hausser les épaules, l’air de se dire à lui-même fuck it, Ouais ça va. Autant assumer de toute manière, il n’a jamais été du genre fermier de pampa, en termes de virilité - au grand désarroi de son père, qu’il a mentionné un peu plus tôt. Fan de sport, fan de tout ce qui est à l’extérieur, l’homme qui est fier de bâtir des choses de ses mains, et qui serait terriblement mal à l’aise dans un contexte pareil. Assis aux places qui leur étaient attitrées, laisse sans vraiment faire attention, sa main le délivrer d’une énième pulsion de grattage. Pas dermatologue pour un sou, pas réjouit de voir ce qu’il se passait réellement sous sa chemise, rien qui présageait quelque chose de bon, pour celui qui était devenu une boule nerveuse qui marche. Il qualifie la chose d’un tic nerveux - pas qu’il en ait des tonnes. Hoche la tête, sans vraiment s’attarder sur ce sujet, pas vraiment le moment d’en parler, et encore moins l’envie de lui montrer de toute manière. Heureusement pour lui, les lumières finissent par s’assombrir, la musique qui annonce également le début d’un show. Le regard attentif, qui dérive de temps en temps sur la rouquine fascinée.

Quand le show prend fin après que le créateur ait salué le public, Leo imite le reste de la salle en applaudissant. Ne s’est pas ennuyé, pas qu’il ait la même admiration que la jeune feéée à ses côtés, mais a su apprécier certaines choses, qu’il lui cite d’ailleurs par la suite quand Betty semble s’enquérir de son ressenti. Pas de jargon, des mots plutôt simples, décrit deux tenues qui lui ont plu. Leo qui sourit en entendant Betty parler de la cape qui sera à son sens la tendance féminine de la saison. Sa seule référence, c’est Batman. Il n’en dit rien, ne voulant évidemment pas outrer la fashionista en face de lui. J’ai l’oeil. Qu’il prétend dans une moue, tandis qu’il fait bien vite de lui retourner la question, plus intéressé de savoir si elle avait adoré ou super adoré le défilé. La réponse que Betty lui donne monte en puissance, tout comme le jargon qui perd presque l’homme, qui acquiesce, le regard un peu perdu, cligne un peu des yeux mais toujours souriant. Par déduction, il peut quand même comprendre la quasi-totalité de ce qu’elle venait de lui dire, focus garçon. Oh, okay je vois, fancy. Quand elle lui précise ce que veut dire le seeding. J’ai clairement pas les même connaissances pour matcher l’énergie de cette convo, mais je suis trop content que t’aies adoré. Sourire cute de l’avocat qui se rapproche davantage pour déposer un baiser sur sa joue.

La coupe de champagne qu’il apporte à ses lèvres, ne peut s’empêcher de l’interroger : peut-être reconnaît-elle des visages familiers ? Après tout, elle n’était pas une touriste, ni à New York, ni dans ce domaine. La rouquine répond par la négative, argumente que cela faisait longtemps qui plus est. Hmm. S’il regarde également, c’est plus pour la forme. Aucun visage ne lui semble plus familier qu’un autre; et puis de son côté, se traîne certaines casseroles qu’il n’a pas forcément envie de croiser. Betty confirme sa première réponse, Leo acquiesce. Pas le temps réellement de réagir, qu’il voit une jeune femme s’approcher d’eux, et poser sa main dans le dos de Betty. Quand une femme vient l’interpeller, Leo sourit. L’attitude amicale qui laisse supposer que c’était une bonne interruption. Met alors un nom sur ce visage, et assiste silencieusement à l’échange entre ce qui semblait être deux anciennes amies. L’avocat qui ne réprime pas un sourire amusé lorsqu’il est question du joli p’tit cul de sa copine. Yes madam.

Betty qui se décide à faire les présentations. Comme il n’a décidément soit trop la cote, ou soit plus assez la cote auprès de ses amies, Leo est bien content d’avoir une autre chance de faire bonne impression, pendant au moins deux secondes. Enchanté Olivia, qu’on peut l’entendre dire après qu’il ait eu le contexte de leur rencontre, et son métier. Sourire chaleureux. Constate toujours que ce n’est définitivement pas sa tasse de thé de le présenter, mais ne s’en formalise pas - laisse à son tour son bras glisser dans le dos de la couturière. Juste de passage, malheureusement, tandis qu’Olivia relève que cela faisait longtemps qu’elles ne s’étaient pas vues. Une nouvelle gorgée de champagne. Un small talk au sujet de venir du même coin. Leo sourit, habitué à l’époque d’avoir un entourage qui ne saurait probablement pas situer Burlington sur une carte. La rouquine qui précise que c’est lui le VIP, petit sourire de l’avocat qui caresse son dos du bout de ses doigts. Il est question d’un after, et surtout de savoir s’ils s’y croiseront. Leurs regards se croisent, y voit une certaine hésitation, sans doute pour avoir l’approbation de l’avocat qui n’avait rien contre l’idée; ça se rapproche du programme qu’ils s’étaient fait au fond. Olivia précise le lieu, mais également le fait qu’il y aura des personnes de la FIT que Betty devrait connaître. Pourquoi pas ? Qu’il répond, en croisant à nouveau le regard de la couturière, puis celui d’Olivia. Allez ! On voulait justement sortir après, ça pourrait être sympa... en plus comme ça tu pourras catch-up ! Qu’il ajoute rapidement, ne voyant pas le problème en tous cas sur le moment à accepter la proposition, oubliant que sa meuf n'était pas la personne la plus extravertie de l'univers.  Quand quelques instants plus tard, la danseuse s’éclipse, Leo souffle : Cool, non ? Nouvelle gorgée, décidément ça se boit comme de la soupe ce champagne. Elle a l’air sympa ! T'es plus trop en contact avec les gens que t’as rencontré quand t’étudiais ? Qu’il demande par curiosité, un peu par déduction de l’échange auquel il avait assisté. Aie, aie, aie.



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