MÉTIER : Étudiante en Management à l'Université de Burlington et serveuse dans un restaurant (Savouring Heights) à Saint-Albans.
COEUR : Love is a battlefield
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP
Sujet: Re: (tc) le bal masqué Dim 27 Juin - 17:20
Spoiler:
Charlene se trouve auprès du photographe de la soirée, non loin du bar et avec vue sur la scène. Sa tenue : ici et le masque.
Dans ce genre d'évènement, il n'y avait pas spécialement le temps de réfléchir à ce qui se passait, il fallait se laisser aller. Pas vrai ? J'avais ce sourire un peu figé, mais pas moins sincère, sur les lèvres. La musique - les basses surtout - donnait l'impression de pulser au même rythme que le coeur. « Personne ne veut voir quelqu'un danser ce soir, ils veulent mettre le feu à la piste eux-mêmes. » Un constat bien avisé, quand on pouvait remarquer les nombreux couples de danseurs déjà en action à quelques pas de notre emplacement. Fidèle à lui-même, Julian était d'humeur légère et... Cela nous faisait du bien. J'aurais peut-être dû lui dire ça, le lui communiquer, l'embrasser. Au lieu de quoi, je nous imposais un passage devant la lentille de la caméra du photographe de la soirée. « Il faut être exigent, oui, sinon on se retrouve avec des horreurs sur Instagram le lendemain matin... Mais j'ai confiance en vous ! » Le photographe paraissait sympathique, de quoi faciliter cet échange improvisé et teinté de l'esprit de la fête. Julian et moi obéissions à la directive et je glissais la main sur sa chemise, pour m'assurer qu'elle soit bien, pas de pli sur notre souvenir. « T'exagères... Il exagère toujours, mais ça fait son charme. » J'étais tout sourire sans pour autant me laisser trop obnubilée par la caméra, quoi de mieux pour immortaliser le moment ? Mais alors, l'échange qui s'amorçait entre l'ancien vétéran, Noam, et Julian me tirait une étrange, très étrange impression. Instinctivement, ma main quittait le torse de Julian pour repousser une mèche derrière mon oreille. Cette expression-là, elle était sans aucun doute moins assurée pour le cadre. « Le monde est petit. » Même que, dans un pareil évènement, on pouvait facilement croire que c'était tout Redwood Hills qui s'était réuni aux abords du Lac Champlain. « Merci pour les photos. » À ces mots, je sortais de mon portefeuille un billet de $5 pour le photographe, lequel je gratifiais d'un véritable sourire. Lui et moi étions momentanément spectateurs de retrouvailles qui nous échappaient sans doute un peu tous les deux. Je tournais alors la tête vers la scène, Alize se lançait dans une demande spéciale pour quelqu'un du public. « Je dois aller voir la chanteuse, c'est ma meilleure amie et quelqu'un doit absolument lui dire combien elle rayonne ce soir. » Mon regard croisait alors celui de Julian, dans un moment d'incertitude, à savoir s'il avait besoin de poursuivre cette conversation avec Noam ?
QUARTIER : 13 willow street, un petit appartement avec ses deux chats.
MÉTIER : secrétaire de mairie.
COEUR : rempli d'amour pour l'univers.
INTERVENTIONS RL : oui.
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Sujet: Re: (tc) le bal masqué Dim 27 Juin - 17:34
Citation :
Katey est près du lac.
le bal masqué
Eleonore a l’air un peu gênée qu’elle ait mentionné son petit-ami mais Katey ne s’attarde pas sur ce fait plus longtemps. Elles remplissent leurs assiettes et marchent en direction du lac, quand une véritable catastrophe se produit. La blonde ne comprend pas ce qui a bien pu se passer, elle mettait juste un pied devant l’autre… et elle se retrouve aspergée de liquide poisseux, avec une demi-douzaine de petits fours à ses pieds. Tétanisée, elle repousse l’aide que lui propose une personne inconnue : elle est terriblement gênée de se donner de la sorte en spectacle. Mais Leo prend les choses en main et elle lui obéit telle une enfant bien sage, et va s’assoir. « Ça va, c’est juste… » Katey agite ses mains en l’air pour désigner l’ensemble de sa tenue, sa robe tachée, ses jambes éclaboussées. Le sucre du cidre lui colle déjà à la peau. Elle prend avec reconnaissance la serviette en papier que lui tend son amie et elle commence à s’essuyer et éponger le tissu trempé. Soudain inquiète, elle se penche vers Eleonore et articule silencieusement : « Est-ce que… tu sais, est-ce que ça devient transparent ? » C’est qu’elle porte une robe blanche et que son visage, lui, deviendrait rouge pivoine si on pouvait apercevoir ses sous-vêtements… quoique tant qu’elle reste assise, le risque demeure moins grand. À sa meilleure amie qui s’inquiète une nouvelle fois pour elle, elle répond : « Non-non, ça va… je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je… pourquoi je fais toujours des gaffes pareilles ? » finit-elle par soupirer, comme catastrophée par elle-même. C’est vrai qu’elle a tendance à être maladroite, c’est pour cela que ses parents n’ont jamais voulu qu’elle donne trop de coups de main à la ferme, un rejet qu’elle a toujours pris très à cœur, comme elle le fait pour l’incident présent.
cause part of me wants you back, but i know it won't work like that.
Spoiler:
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Sujet: Re: (tc) le bal masqué Dim 27 Juin - 20:16
Un doudou magique ? L’idée vit le coin de ses lèvres se fendre d’un sourire, plein de tendresse. Il était vrai que la peluche avait maintes fois fait ses preuves, aux pires heures de la nuit, lorsque Hope refusait de dormir. De là à invoquer sa protection, pour le défi qui se présentait devant elle… « Ma crédibilité pourrait en prendre un coup. » observa-t-elle avec humour, en même temps que de tendre la main pour se saisir de ce qu’elle supposait être le brouillon du fameux discours, soigneusement plié en quatre. « Merci. Tu me sauves. » Vraiment. Et de presser son front contre la joue de Rafael qu’elle vint gratifier d’un baiser. L’occasion de noter ce qu’elle n’avait pas remarqué de prime abord. « Tu as perdu ton masque dans la bataille ? » Le mot lui paraissait approprié pour qualifier la logistique que sous-tendait chaque sortie avec l’enfant. Imperturbable, celle-ci semblait toujours obnubilée par les bijoux étincelants qu’elle s’efforçait de porter à sa bouche. « Peut-être bien. » concéda Faith, en même temps que d’inviter sa fille à déporter son attention sur autre chose – mais quel était donc cet objet brillant et argenté que Maman portait sur le front ? « Cela lui évitera de faire le mur à ses douze ans pour braver l’interdiction paternelle. » Rapport à sa propre expérience en la matière ? « Longue histoire. » Grandir entourée d’hommes – et d’une autre génération qui plus est – n’allait pas sans son lot d’inconvénients. Frank se trouvait-il parmi les invités ? Elle n’avait pas souvenir de l’avoir vu. Un rapide coup d’œil à travers l’assemblée lui permit néanmoins de reconnaître, au loin, sa meilleure amie – en charmante compagnie. Le temps de lui retourner son salut d’un geste de la main accompagné d’un sourire – et d’un regard entendu – elle finit par répondre, à l’attention de Rafael : « Non. Je n’ai pas eu une minute à moi. » Il y eut un bref silence, avant qu’elle ne se décide à ajouter, avec humour : « Cela dit, j’ai mangé pour deux pendant neuf mois, alors… Je prends sur ma réserve. » Non pas que la question de ces quelques kilos supplémentaires – déjà perdus pour la plupart – soit un problème en soi. Si ? Ce n’était pas le genre de petits tracas sur lequel elle avait l’habitude de s’épancher – et surtout pas auprès de son compagnon que ce genre de banalités n’intéressait pas d’ordinaire. Aussi finit-elle par ouvrir la marche en direction de ce fameux buffet. « Et toi, chérie, tu as mangé ? » souffla-t-elle à sa fille qu’elle voulut appâter du bout de son index préalablement trempé dans une verrine aux légumes d’été. Le temps était venu de profiter des occasions spéciales pour éveiller ses papilles encore jeunes. Mais l’enfant l’entendait d’une autre oreille, comme en témoignait la façon dont elle se détourna sans ménagement, les traits fendus d’une grimace de dégoût. « Tu es bien la fille de ton père. » observa Faith avec humour – chacun savait que Rafael n’était pas friand de nourriture qu’il n’ait pas préparé lui-même. D’ailleurs, la petite Hope – que cet épisode avait profondément contrarié – agitait les bras vers son père. De toute évidence, la foule et le bruit n’était pas à son goût. « J’en connais une dont le carrosse risque de sa transformer en citrouille bien avant minuit. » conclut sa mère, d’un ton léger.
Oli prend des photos près du bar N'hésitez pas à lui demander une photo
Les premiers volontaires mettent un peu de baume au cœur d’Oliver qui craignait de ne pas réussir à tirer le meilleur parti de cette soirée. Sur le plan professionnel, du moins, car sur le plan personnel… Il ne parvient plus tellement à cacher son sourire ravi, nourri par les plaisanteries légères échangées avec la jeune femme, par l’outrage exagéré de son compagnon. “Vous me semblez charmants tous les deux.” rétorque-t-il de bon cœur. Il se positionne pendant cet échange, son visage à demi caché derrière l’appareil tandis qu’il s’occupe de quelques réglages. Il a conscience de la présence de Noam dans son dos et s’il s’imaginait que ce serait une forme de pression supplémentaire, il réalise finalement que l’homme fait plutôt office de présence réconfortante. Quelqu’un est là pour le soutenir, l’encourager. Pas seulement quelqu’un, mais Noam et c’est une idée qui lui plait certainement plus qu’elle ne devrait. Il s’assure tout de même de rester concentré sur la tâche qui lui incombe et prend quelques clichés qu’il trouve plus intéressants alors qu’ils discutent tous les trois. C’est au travers de l’objectif qu’il voit l’ambiance changer subtilement, le sourire de l’homme se crisper, le couple s’éloigner imperceptiblement. Perplexe, Oliver éloigne l’appareil de son visage et tourne son attention vers Noam, placé tout à coup sous le feu des projecteurs. La conversation entre les deux hommes n’est définitivement pas chaleureuse, mais contre toute attente, le vétérinaire paraît bien moins tendu que celui qui semble être son ami. Il doit y avoir une histoire passionnante là-dessous (quoi qu’Oliver ne soit pas très objectif sur la question), mais il ne laisse rien d’autre qu’un sourire en coin passer sur ses traits tout au long du bref échange, puis se remet au travail dès que ce fameux Julian reprend place près de sa compagne. “Ne vous en faites pas,” assure-t-il à l’homme, “vous serez heureux du résultat, personne ne verra que vous n’étiez pas consentant pour ces photos.” Quelques clichés plus tard, l’appareil retrouve sa place sur la poitrine d’Oliver qui se redresse, offre un grand sourire au couple. Il passe une main dans ses cheveux quand la jeune femme lui tend un billet, mais le récupère malgré tout et le range vite dans sa poche. “Merci beaucoup, vous n’étiez pas obligée.” La jolie blonde semble pressée de faire ses adieux et Oli suit son regard jusqu’à la scène quand elle explique que la chanteuse est sa meilleure amie. “Vraiment ? J’ai eu le plaisir de faire sa connaissance tout à l’heure,” admet-il, jetant un regard en coin un peu inquiet à Noam, “elle a l’air adorable. Et elle est très douée ! Je vais sûrement retourner la voir plus tard, mais si vous pouviez la remercier pour moi.” Son secret n’aura pas tenu bien longtemps, mais il ne le regrette pas tellement à vrai dire. Les coïncidences existent, mais honnêtement, quelles étaient les chances que la chanson qui ouvre le bal soit celle-ci ? Il doute que Noam ait vraiment cru au hasard. Malgré tout, Oliver ne laisse pas trop le temps à l’information de s’installer dans son esprit et, étirant un autre de ses grands sourires, reporte toute son attention sur le couple. “Si l’objectif vous manque, n’hésitez pas à revenir me voir !” plaisante-t-il. Mais comme la jeune femme, il n’est pas très sûr de savoir si les deux hommes souhaitent discuter davantage, alors il finit par se tourner vers Noam, récupérant son verre pour s’occuper sans s’imposer.
Victoria se près de la scène à côté de la piste de danse
L'infirmière était ravie que Joel soit partant, ils passaient un agréable moment, et pourquoi ne pas en profiter pour transmettre un signe d'amour aux gens auxquels ils tenaient. Elle laisse son ami, faire son choix en premier lieu. Et peut-être que Faith ne méritait pas cette dédicace après ce regard appuyé, elle avait l'impression que son amie allait encore chercher à jouer les curieuses. Mais non, elle n'en voulait pas vraiment à Faith, après tout, c'était un jeu auquel elles s'étaient toujours livrées toutes les deux. Elle faisait donc son choix de chanson, mais en posant une main amicale sur le bras de Joel pour le rassurer. - Crois-moi, je crois qu'elle sera plus touchée qu'autre chose par ton geste. Même qu'il soit probable qu'elle prétendre grogner pour la forme. C'est une adolescente après tout. C'est leur rôle. Elle le taquine gentiment. La chanteuse lui donne aussi son argument. Et elle ne pouvait pas dire qu'elle connaissait le sentiment, mais justement, elle savait que si son propre père avait pris le temps de faire la même chose pour elle, leurs relations seraient peut-être différentes aujourd'hui. Elle remerciait la jeune femme d'un large sourire, avant de la laisser retourner à sa prestation. Impatiente de voir son choix, mais surtout de voir si cela ferait sortir Vanina de son trou.
Elle devait admettre ne pas connaître la chanson, elle se tournait vers le journaliste pour savoir ce qu'il pensait du choix de la chanteuse. - Alors, tu crois que Vanina n'appréciera pas ? En écoutant les paroles, elle pouvait un peu voir le miroir de leur situation actuelle, ou en tous les cas ce qu'elle en déduisait avec ce qu'elle connaissait de leurs vies. Il y avait quelque chose de symbolique. Elle ne doutait pas que sa fille ait joué un rôle majeur dans le fait qu'il est pu tenir le coup, dans une situation aussi tragique. Qu'elle soit devenue, sa force dans ses moments de doute. Le sourire qu'elle lui envoyait, rempli d'empathie, se voulait rassurant à l'égard du père de famille.
Julian quitte le stand du photographe pour s'approcher de la scène.
Le compliment se veut sincère. Noam a l’air en forme – plus qu’il n’a souvenir de l’avoir déjà vu, ici ou à New-York. De leur dernière rencontre, le médecin conserve un souvenir diffus. Un repas. Vraiment ? « Bien sûr. » se prend-il à souffler, d’un ton qu’il voudrait détaché, face à cet engagement qu’il n’a visiblement pas honoré – et dont il a peine à se souvenir. « Quand tu voudras. » Encore une promesse vouée à rester lettre morte ? Pour la forme, il ajoute : « Noah sera content de te revoir. » Sur ce point pas de doute – si tant est que le dit repas ait lieu. Un ange passe – mais le malaise, lui, s’installe. Pourvu que la photographie n’imprime pas le souvenir de son front perlé de sueur. Le voici enfin libéré, avant que d’avoir eu le temps de porter la main à son portefeuille. « Aucune chance. » se prend-il à sourire, face à la plaisanterie du photographe. « Mais… merci quand même ! » Et d’ajouter, tandis que sa compagne vient de prendre congé. « Bonne soirée à vous deux. » Ni une, ni deux, il allonge le pas pour rejoindre Charlene qu’il saisit par la taille, avant que la foule des convives n’ait réussi à l’engloutir. Au même moment, une vibration se fait sentir dans le fond de sa poche. « Merde. » maugrée-t-il, pour lui-même, en constatant l’appel manqué. « La baby-sitter. » Pas de répit pour les braves ! « Tu m’accordes une minute ? » Il aurait bien voulu rester, le temps de s’assurer qu’il n’y a pas de malaise entre eux – doit-il y en avoir un ? « Le temps de m’assurer que la maison n’est pas en feu. » Fidèle à lui-même, il poursuit, le visage fendu d’un sourire de gamin : « Après quoi, je me propose de faire un crochet par le bar, pour me faire pardonner – tu noteras mon sens du sacrifice. » C’est qu’il n’est jamais le dernier à rire de lui-même. « Qu’est-ce que tu bois ? Et ton amie ? » Et de lever les yeux vers la chanteuse dont ils sont désormais tout proches et que sa compagne s’apprête à rejoindre. « Même les meilleurs ont parfois besoin d’un petit remontant. Ce n’est pas Mick Jagger, Freddie Mercury ou Elton John qui diraient le contraire. » Non ? « Au fait. » Son regard s’attarde un instant sur la silhouette de Charlene. L’a-t-il seulement complimentée au moment de passer la prendre, avant que la conversation ne s’enracine dans les tracas du quotidien – les enfants, les examens, le boulot… la vie ? Car il n’est pas de mot de nature à réparer cet impair, il se décide à se pencher pour l’embrasser avec ferveur. « Tu noteras que je ne suis pas rancunier. » Rapport à ce passage obligé devant l’objetif. « N’oublie pas de le préciser, quand tu m’introduiras. » lui souffle-t-il enfin, comme il s’apprête à tourner les talons. Non pas qu’il ait quelque raison de s’inquiéter de l’opinion que l’amie de Charlene s’est peut-être déjà fait à son sujet, mais… Qui sait ce que deux femmes peuvent être amenées à se confier sous couvert d’une si longue et solide amitié ? Tout n’est pas toujours simple, mais il chérit sa chance. Le sait-elle ?
Un bal masqué, l'opportunité idéale pour que le jeune couple puisse se mêler parmi les habitants de Redwood Hills sans réellement sentir le poids des regards sur eux. Après un deuxième rendez-vous aussi agréable que le premier, Moira se réjouissait de passer la soirée avec Tehau. Leur relation avançait doucement mais sûrement et ce bal leur permettait de se voir dans un contexte qui changeait de leurs habitudes. Plus habitués à se côtoyer en tenue de sport que sur leur 31, Moira avait pris plaisir à s'apprêter. Ajustant son masque assorti à sa robe en satin rose, elle attrapa la main de son cavalier pour l'accompagner vers le bar. Elle sentait les regards sur eux, chacun essayant de deviner qui se cachaient derrière les masques afin d'y reconnaître une éventuelle connaissance. Moi qui pensais qu'on serait tranquilles et incognitos, je crois que le poids des regards est encore plus lourd à un bal masqué. Et je crois que tu vas vite être reconnu...! dit-elle en souriant. Elle doutait qu'un simple masque suffise à cacher son identité. Non pas qu'elle y voyait un inconvénient. Elle n'était pas du genre à cacher ses relations. Tu as des amis qui sont ici? demanda-t-elle en avançant toujours vers le bar, scrutant elle aussi la salle du regard à la recherche de ses amis qui lui avaient confirmé leur présence ce soir.
Tehaunui Kealoha
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PERSONNAGE
LITTLE TALKS : 2038
PSEUDO : vala29.
AVATAR : jason momoa.
CREDITS : angie (avatar) + tumblr momoa madness (gifs) + samurai (signature) + ben king (lyrics)
Tehaunui avait réussi à trouver une tenue dans laquelle il se trouvait à l’aise. Il était prêt à faire un effort vestimentaire pour Moira, pour l’accompagner à ce bal masqué. Sans elle, il n’aurait probablement pas mis les pieds à cette soirée. Mais il voulait lui faire plaisir. Alors il avait trouvé une chemise en lin et un pantalon qui se voulait un minimum habillé. Au moins, il n’avait pas l’impression d’être un pingouin. Mais l’hawaïen sentait tout de même une pointe d’appréhension. Il s’agissait de leur première sortie officielle en tant que couple. Les masques n’empêchaient pas qu’ils pouvaient être reconnaissables. Surtout l’homme avec sa carrure qui se remarquait facilement. La main de Moira dans la sienne avait de quoi le rassurer. La jeune femme portait une robe rose, très classe qui lui allait à ravir. Il se mit à rire. Tu ne penses pas que je vais me fondre dans la masse ? Mais je pense que c’est plutôt toi qu’ils regardent… lui dit-il avec un regard charmeur. Tu es très belle ce soir. Ils s’avançaient vers le bar. Tehaunui aurait bien besoin d’un verre. Il n’était pas très à l’aise dans la foule. J’ai l’impression de reconnaître quelques têtes… Et toi ? Il avait observé les gens autour d’eux, mais il voulait avant tout passer du temps avec Moira. Il traversait l’assemblée aux côtés de sa petite-amie, jusqu’à arriver au bar à cocktails. Qu’est-ce que tu veux boire ? demanda-t-il.
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-- the past is a place of reference, not a place of residence
ALTER-EGO : les drôles de dames: Aspen Vaughn • Maxine Walsh • Camilla Grayson • Luzia Horstmayer
ÂGE : 38
QUARTIER : Farming Area #60 • La maison du bonheur, âmes perdues bienvenues
MÉTIER : Journaliste sportif au Burlington Free Press
COEUR : brisé par une révélation arrivée bien trop tard, mais qui semblerait lui avoir ouvert les yeux sur des sentiments qu'il refusait d'accueillir jusqu'alors...
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Sujet: Re: (tc) le bal masqué Mer 30 Juin - 6:23
Bal masqué
Joel rigole à nouveau lorsqu'il se fait traiter de gentleman. Ca lui fait très plaisir mais il n'est vraiment pas sur de mériter ce compliment. La chanteuse, décidément très sympathique et pleine d'humour en joua à nouveau et ce dernier s'inquiète un instant de l'effet que la dédicace pourrait avoir sur Vanina. Allait-elle apprécier le geste ou se fâcher ? Il se tourna vers Victoria qui le rassura, expliquant qu'elle râlerait sans doute pour la forme mais que ça ne durerait pas bien longtemps. La jeune chanteuse eut également quelques mots gentils à son égard. « Merci, j'espère que vous avez raison. » Il fit une petite grimace lorsqu'il entendit la dédicace qu'il avait demandée. En effet c'était fort peu discret. Finalement il était maintenant carrément sur que ça donnerait à Vanina une raison valable de lui faire la tête. Inquiet, il scruta la foule alors que la jolie voix d'@Alize L. St James se faisait entendre à nouveau dans la salle. Ses yeux scrutèrent les gens aux alentours et son coeur se serrait un peu en entendant les paroles. Un peu déçu, il ne vit pas Vanina, mais il entendit la sonnerie de son téléphone portable.
« Ouille. Rien que des majuscules et pas un seul smiley, ça pue. » Dit-il en tendant l'écran de son portable à Victoria, pour lui laisser voir. Elle devait avoir raison, peut-être que c'était juste pour la forme et parce qu'honnêtement ça l'embrassait un peu d'être mise en avant de la sorte, mais qu'elle l'aurait été aussi si ça avait été une copine (ou .. . seigneur...un copain) qui lui avait fait. Il lui répondit simplement qu'il l'aimait, avant de regarder Victoria en se grattant nerveusement un sourcil. « J'espère qu'elle va pas me faire la gueule tout le week-end en tout cas. Pour une fois que mon patron est bien luné et m'offre ma journée du lundi sans que je demande rien, j'aimerais autant en profiter plutôt que de devoir éviter mon petit monstre. » Dit-il en riant, avant de soupirer. « Heureusement, mon frère est revenu de mission, il vit à la maison pour l'instant c'est super chouette. Je ne pense pas que tu l'aies déjà rencontré, si ? » Il avait l'impression que Matt avait été en mission pendant toute la durée de la dernière hospitalisation et du décès de Nora. Peut-être une des nombreuses fois avant ? Il n'était plus trop sur. «J'ai besoin d'un verre pour me remettre de mes émotions, tu veux quelque chose ? »
Baloo se tient près du bar en compagnie de son amie.
Audrey était charmante, d'une compagnie toujours aussi agréable, presque comme si rien ne s'était passé de tragique... J'appréciais cela et me disais sans modestie que je contribuais peut-être à ce bien-être de ce soir, je l'espérais de tout cœur. Et j'étais plus que sérieux en disant vouloir la protéger, épée en plastique ou pas d'ailleurs. je ne saurais comment le décrire, mais quelque chose en elle me touchait profondément, me donnait envie d'être son ami, encore plus que jamais désormais. hors de question de la négliger. on prend conscience de l'importance des gens quand on les voit s'éloigner... Cela pouvait-il m'apporter quelque chose dans ma situation complexe avec les deux femmes qui me sont le plus cher ? nous le verrons bien.
Pour l'instant, il était question de boulot et j'étais content de dire que j'avais plutôt assuré le remplacement de ma camarade au club. bien entendu, je ne l'égalais pas encore, mais j'y comptais bien. Audrey m'avait donné de bons conseils, je les mettais en pratique souvent et ça m'avait valu des compliments de la part des patrons. « Merci. » dis-je en souriant aux paroles de la blondinette. « Oh oui reviens vite, j'ai hâte de te voir mixer ! » La jeune femme allait mieux, c'était un soulagement. j'avais énormément de mal à comprendre les agissements de certains de mes congénères, mais j'imaginais que le mal-être avait été tel que des choses irréfléchies puissent arriver. ça me glaçait le sang de me dire qu'Audrey aurait pu ne pas être là ce soir. j'étais heureux de compter parmi ses amis qui lui faisait du bien et machinalement, ma main se posa sur son bras avec délicatesse. « Toujours là, moi. Je suis ton chevalier servant après tout. » Je souriais sincèrement. et puis, ma camarade me rappela pourquoi nous étions près du bar. « Aaah ! Oui ! alors, qu'est-ce qui te tente ? Moi je pencherais bien pour un petit cocktail exotique. oh et des petits-fours ! » Je venais de voir quelqu'un passer derrière moi avec une assiette et ça m'avait donné faim.