QUARTIER : willow street (#067, appt. 1);; partageant l'adresse de son cousin, s'amusant à redécorer de temps en temps jusqu'à ce qu'il le remarque.
MÉTIER : designer d'intérieur;; quelques premières missions menées à son compte et la voilà qui se dit qu'elle devra monter sa propre entreprise, au final.
COEUR : célibataire;; pas totalement prête à ce que ça change mais les yeux qui s'adoucissent devant le sourire d'une brune
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP
Sujet: (#067) worms // elizabeth Sam 14 Sep - 11:53
Sherlock l'observe avec un air suspicieux, juché sur le dossier du canapé. Et Jackie, accroupie, la raclette à la main, soutient son regard, la défiance peinte sur les traits. What you're gonna do, kitty boy? Ou plutôt, à quoi s'attend-il qu'elle fasse, là, devant sa litière dont les odeurs nauséabondes s'échappent et le sac poubelle ouvert en grand juste à côté ? Elle donnerait cher, la blonde, pour pouvoir infiltrer les pensées du félin — pense-t-il qu'elle va s'amuser à faire la collection de ses crottes et bloc de litière collée par sa pisse ? Preuve qu'il la connaîtrait mal. Jackie, elle préférerait largement être ailleurs qu'ici-même, à faire ça. Mais Pauly l'a averti qu'il allait rentrer tard et voilà plusieurs jours qu'elle se fait la remarque qu'il serait bon de nettoyer cette foutue litière à deux doigts de déborder et elle a lu dans un article que lorsque la litière n'est plus assez propre, les chats peuvent décider de le faire savoir à leur propriétaire en décidant que le reste de l'appartement est une litière géante — et elle préférerait que Sherlock ne pisse pas sur le nouveau tapis qu'elle a fait acheter à Paul pour le salon, thank you very much. Mais maintenant qu'elle est toute à sa tâche, elle en vient à s'interroger sur les envies de vengeance du chat. Avec le regard qu'il lui adresse, elle est presque sur qu'il va faire ses griffes sur l'un de ses blousons. Tant pis, elle verra si elle ne trouve pas un vieux jogging appartenant à Paul qu'elle laisserait traîner pour faire office de distraction (pas qu'elle n'aime pas les joggings de son cousin parfaitement acceptables pour des journées à larver à la maison, mais qu'entre leur deux gardes-robes, il y a une différence de qualité dans la matière et elle se refuse encore à sacrifier l'un de ses vêtements à elle plus qu'elle ne l'a fait en acceptant ne plus avoir le moindre morceau tissu qui ne soit pas décoré de poils de l'animal). Le téléphone sonne, l'avertissant d'un nouveau message reçu et elle lui jette un coup d'oeil. Nova. La notification lui permet de savoir qu'elle répond à sa question — c'est que la blonde, elle a réalisé que l'ennemie jurée de Nono est sa voisine (en la croisant, un jour, dans la cage d'escalier et elle s'est rabougrit, Jackie, parce qu'elle aurait largement préféré en avoir une autre que celle qui s'est moquée ouvertement de son nez lors que ce terrible accident au ski) et a donc proposé à la brune de lancer une enquête sur la rousse. Avec Pauly, ce serait sûrement aisé. Mais pas d'enquête, donc. Tant pis. Jackie plonge la pelle dans la litière, fouille jusqu'à la remplir de trésors odorants et l'idée survient. Eclair de génie. Vengeance parfaite. Elle tourne la tête en direction de Sherlock, Jackie. « Merci d'avoir le colon pourri Sherlock, t'es mon héros. » Pour la peine, elle se relève et dépose un baiser sur le crâne du chat qui a vite fait de lui tourner le dos, lui envoyant sa longue queue à la figure au passage et s'éloigne avec le sens du devoir accompli. Diva. Jackie ne regarde pas où il fuit, retourne plutôt à ses fouilles jusqu'à tomber sur la réalisation parfaite. Elle s'assure que les grains se litière ne collent pas trop, cherche un morceau de journal ou de papier ou n'importe quoi vraiment pour le transport. Le paquet est emballé rapidement. Oubliant le reste de la litière, elle se glisse dans le couloir à pas de loups. Elle sait que E. Brennan n'est pas chez elle (non pas qu'elle connaisse le planning de tous ses voisins, Jackie, mais elle l'a entendue partir un peu plus tôt), c'est le moment ou jamais. Faufilée jusque sur le palier de la rousse, elle réfléchit quelques secondes à la mise en scène avant de décider pour quelque chose de simple. La crotte tombe sur le paillasson (probablement foutu, du coup mais ça ne lui fera pas de mal de le changer), le papier est replié et si elle est tentée de prendre une photo de son méfait, elle sait que ce ne serait pas judicieux, alors elle fait demi-tour, s'enferme à l'appartement, jette le papier qui aura été son complice et se tourne vers Sherlock, maintenant lové sur une étagère. « Mission accomplie. » Le chat la regarde, regarde la litière et Jackie, elle roule des yeux. Ok, mission presque accomplie.
_________________
‹ like we didn't exist
i hope you find someone who makes you feel like you're good enough cause this is the last, this is the last bit of us, stay in this moment, i just wanna hold it as long as we can
Elizabeth Brennan
-- membre qu'on adore --
PERSONNAGE
LITTLE TALKS : 735
PSEUDO : Schnappi
AVATAR : Sophie Turner
CREDITS : littlewildling
ALTER-EGO : Till, Billie, Andrea, Søren, Ángel, Asael & Kat
ÂGE : 30
MÉTIER : Couturière de profession, tient une petite boutique de vêtements à Saint-Albans
COEUR : kiss me until I can't speak
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP
Sujet: Re: (#067) worms // elizabeth Sam 21 Sep - 9:55
Worms
Jackie & Betty
De bonne humeur la rouquine, un fait qui semble si extraordinaire -au sens premier, hors de la vie quotidienne- qu’il mérite absolument d’être souligné. De bonnes ventes à la boutique, le projet d’une soirée chez son mec génial un peu plus tard : aucune raison pour que Betty n’arbore pas une mine réjouie en rentrant chez elle en cette fin d’après-midi, prévoyant de se préparer en vitesse pour ressortir. Du courrier dans les mains – facture, facture, facture, carte postale de sa tante partie en vacances au Canada. Nice. Ses talons n’ont pas besoin de faire montre d’une grande attention pour retrouver leur chemin jusqu’à la porte de l’appartement qu’ils habitent depuis quelques années déjà, résonnant dans les escaliers en un bruit probablement insupportable aux voisins et voisines. Beth n’est pas une personne particulièrement bruyante en dehors de ce détail, puis de toute façon elle ne porte pas de chaussures à l’intérieur de son appartement donc aucune raison de venir lui faire la moindre remarque. Pas hyper chaleureuse, la nana de l’appart n°5. Pas qu’il y ait particulièrement besoin de l’être non plus, cela dit – bonjour, bonsoir, merci, au revoir ; C’est déjà une prouesse lorsque toutes les formules de politesse réglementaires sont patiemment égrenées par la fille qui préfère en général pincer les lèvres d’un air faussement blasé que de les ouvrir pour s’adresser à des inconnus. Pas timide, pas méchante, juste pas intéressée. De ces gens sur lesquels il ne faut compter à aucune fête des voisins, mais qui prêteront main forte sans hésiter en cas de gros pépin.
Retour aux factures, moins nice. L’intérieur d’une joue qu’on mordille pensivement tout en parcourant le document des yeux, multiples calculs intérieurs pour vérifier l’état des comptes après règlement. Les soucis du quotidien : exactement comme celui de retrouver ses clés d’une seule main dans ce sac qui a beau être de taille tout à fait banale, on le croirait transformé en puit sans fond sitôt que les doigts y tâtonnent à la recherche du sésame métallique. Nan, pas le portefeuille – nan, pas le gel hydroalcoolique – nan, pas la mini trousse à médicaments – nan, pas l’étui à lunettes de soleil – nan, pas le paquet de clopes dans lequel on tape une fois tous les 36 du mois – nan, pas le briquet qui va avec – nan, pas le stylo – nan, pas le baume à lèvres – nan, pas le paquet de mouchoirs - nan, pas le petit miroir – nan, pas le prospectus pour ce spectacle qui a l’air naze de toute façon – AH, enfin, un trousseau de clés. Tellement soulagée qu’elle en soupire légèrement, s’avançant pour glisser sa clé dans la serrure ; Sensation bizarre sous la chaussure. Elle relève la main qui tient encore ses factures pour jeter un œil, écarquille aussitôt les yeux. « AAAH ! » Maybe c’est exagéré, comme réaction. Le dégoût s’accompagne tout de même d’un haut le cœur ; Miss Couture a beau avoir grandi à la compagne, elle n’en supporte pas pour autant les déjections animales. Alors ok, ça n’a pas l’air bien méchant, c’est déjà tout sec, pas de quoi fouetter un chat -sauf celui qui a commis cet attentat. N’empêche que c’est dégueulasse et que ça colle à sa chaussure déjà beaucoup trop chère pour fouler le simple trottoir, alors des merdes d’animaux ! Non mais on est où, là ? Sur ton paillasson, ma belle. Après avoir lâché un hurlement pas du tout vaillant et constaté dans une moue écœurée l’ampleur des dégâts, la rouquine se met enfin à réfléchir.
Qui dans ce bâtiment possède des animaux ? La fille qui se contente ordinairement de promener un regard indifférent sur presque tout et presque tout le monde regrette tout à coup son manque d’investissement dans l’espionnage de voisinage. Cependant, un vague souvenir d’un chat déjà retrouvé sur ce même paillasson lui revient en mémoire – échappé de chez lui comme on s’échappe d’un asile, le Cat qui avait déboulé dans les couloirs alors que Betty remontait un sac de courses. Coursé, c’est lui qui avait fini par l’être et ça par… La pote de Nova. Les sourcils se défroncent, on est sur une piste chef. Des preuves ? Pas vraiment. Cela n’empêche pas Beth de retirer son talon et de le tenir éloigné d’elle avec une moue dégoûtée pour claudiquer jusqu’à la porte de l’appartement 1. Boom boom boom. C’est la BACC baby : Brigade Anti Chiage de Chaussures. Boom boom boom. Putain en plus ça se nettoie super maaaaaal, le daim. Coup d'oeil à la l'étiquette au-dessus de la sonnette pour vérifier le nom de la meuf au nez cassé. « OUVRE GORDON, JE SAIS QU’T’ES LÀ. » Pas vrai, elle n’en a aucune idée, mais au pire personne ne l’entendra si elle n’est pas chez elle. Boom boom boom. « RAMÈNE TON CHAT. » Vais lui péter la gueule à la récré.
_________________
I wanna be alone. Alone with you, does that make sense?
QUARTIER : willow street (#067, appt. 1);; partageant l'adresse de son cousin, s'amusant à redécorer de temps en temps jusqu'à ce qu'il le remarque.
MÉTIER : designer d'intérieur;; quelques premières missions menées à son compte et la voilà qui se dit qu'elle devra monter sa propre entreprise, au final.
COEUR : célibataire;; pas totalement prête à ce que ça change mais les yeux qui s'adoucissent devant le sourire d'une brune
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP
Sujet: Re: (#067) worms // elizabeth Mer 16 Oct - 18:27
Vautrée sur le canapé, elle doit retenir ses gloussements au bruit des talons, clac clac, dans la cage d'escalier. Le décompte se fait, mentalement, et elle jette un coup d'oeil à Sherlock qui choisit de l'ignorer — ingrat, il est complice qu'il le veuille ou non et si Jackie tombe, il tombera avec, elle s'en assurera. La voilà grande mafieuse dans son imaginaire loufoque, dans son esprit qui a bien besoin de s'occuper plus pleinement les journées que de ranger, nettoyer et attendre que le temps passe, minute après minute après minute. Besoin d'un travail, peut-être — besoin d'être divertie, surtout et c'est ce qu'elle s'octroie en cette journée. Un peu de divertissement et, en soi, une vengeance par procuration (la procuration c'est elle, mais elle venge Nova dont l'honneur a été bafoué, des années plus tôt et ce, bien qu'elle ne sache pas avec exactitude ce qu'il s'est passé, c'est pas grave ni important, Jackie, elle est loyale et fidèle et elle compte bien le prouver). Un plat qui se mange froid, oui — à ce niveau, peut-être même qu'il a été congelé, le plat, le genre à être tiré d'hibernation après un épisode glaciaire. Et peut-être que c'est aussi un peu pour elle-même qu'elle le fait ; l'ego n'a pas supporté les sourires et les moqueries et les messes basses sur son nez écrasé lors du ski. Elle ne peut pas se laisser être ridiculisée de la sorte, Jackie. Trop fière, la blonde, ça oui. Alors la voilà qui glousse à présent, avec un plaid sur les genoux et un livre dans une main bien qu'elle n'ait pas déchiffré la moindre ligne depuis qu'elle a entendu la porte de l'immeuble se refermer. La suite s'enchaîne à une vitesse qu'elle n'aurait pas pu prévoir. Ça tambourine contre la porte et elle s'autorise une seconde supplémentaire pour se mordre l'intérieur de la joue, retenir son rire et elle se lève mollement, s'imprègne du personnage qu'elle a créé de toute pièce pour l'occasion — l'Oscar n'est pas loin, elle le sent bien. Jackie Gordon, voisine avenante et pas du tout rancunière (non du tout). Elle s'envole presque jusqu'à la porte qu'elle ouvre avec cet air surpris, incompris, sur le visage. « ... Salut ? » Ne pas trop jouer les innocentes au risque d'éveiller les soupçons, chose qu'elle aura retenu à force de regarder quelques cop show avec Pauly qui devine, rien qu'avec ça, directement qui est le coupable. Alors plutôt que de demander à la rousse en quoi elle peut l'aider et pourquoi elle a besoin de voir son chat, elle plisse le nez, gênée par l'odeur nauséabonde et semble chercher l'origine avant de porter le regard sur la paire de chaussure. Elle doit se faire force, Jackie, pour ne pas éclater de rire — le résultat est encore mieux que tout ce qu'elle aurait pu imaginé. La chaussure foutue à n'en pas douter. That's for you Nono. Elle ouvre légèrement les lèvres, les bouge mais sans que le moindre son n'en sorte et elle secoue la tête, se reprend (faussement), semble chercher ses mots, lâche un souffle qu'elle retenait. « » Elle ferme les yeux, l'air affreusement embêtée (un régal, vraiment, si avec ça, elle ne devient pas la prochaine Meryl Streep, elle ne sait pas ce qu'il faut aux réalisateur d'Hollywood). « Que Sherlock a fait ça ? » Air passablement dégoûté sur le visage (ça au moins, elle n'a pas trop besoin de l'inventer). « C'est pas pour me dédouaner mais ce n'est pas mon chat en réalité, c'est celui de Paul. » Désolée Pauly, c'est pour les besoins d'une enquête satisfaction et rester à peu près in character tout en restant proche de qui elle est — et Jackie, ce n'est jamais de sa faute à elle. Elle se pince le nez. « Je ne sais pas si c'est lui. Je cherche pas à prendre sa défense, hein, » non juste à sauver sa propre peau, « mais je suis restée ici toute la journée donc je l'aurai remarqué s'il avait quitté l'appart. » Premier argument en sa faveur. Autant Sherlock aurait pu s'enfuir, autant re-rentrer, plus délicat. Et comme, en réalité, le chat n'a pas passé la porte d'entrée, pas de preuve que ce soit lui. « En plus, sa litière est propre, je l'ai nettoyée... » Deuxième argument. Sherlock n'avait aucune raison de sortir puisqu'il a tout à disposition en bon chat de maison. « Mais si tu veux, je peux t'aider à mener l'enquête ? Paul est inspecteur de police, » qu'elle précise comme si ça suffisait pour lui donner toute légitimité en tant que détective par cause à effet.
_________________
‹ like we didn't exist
i hope you find someone who makes you feel like you're good enough cause this is the last, this is the last bit of us, stay in this moment, i just wanna hold it as long as we can
Elizabeth Brennan
-- membre qu'on adore --
PERSONNAGE
LITTLE TALKS : 735
PSEUDO : Schnappi
AVATAR : Sophie Turner
CREDITS : littlewildling
ALTER-EGO : Till, Billie, Andrea, Søren, Ángel, Asael & Kat
ÂGE : 30
MÉTIER : Couturière de profession, tient une petite boutique de vêtements à Saint-Albans
COEUR : kiss me until I can't speak
INTERVENTIONS RL : oui
INFOS RP
Sujet: Re: (#067) worms // elizabeth Sam 26 Oct - 22:53
Worms
Jackie & Betty
Aucune preuve mais toutes les certitudes du monde, nul doute que pas une enquête ne demeurerait cold case en la présence d’inspecteur Betty. En même temps, quel autre animal est-ce qu’on aura déjà vu cavalcader dans le hall de leur immeuble ? Chat fugitif – chat fautif. Quant à déterminer avec assurance qu’il s’agit bel et bien d’une merde de chat plutôt que de chien, de renard ou de tout autre animal – Dieu seul sait ce que les gens gardent chez eux ; Peu importe. Alors qu’elle tient toujours sa chaussure dans une main avec un air dégoûté sur le visage, Beth la princesse n’aura de toute façon pas le courage de pousser plus loin ses investigations : il lui faut un coupable, le chat de Gordon est le coupable parfait, le chat de Gordon est donc le coupable. Puis, quand on y pense, est-ce que Gordon elle-même ne serait pas un peu louche dans son genre ? Frustrée, fâchée et écœurée, la rouquine continue à tambouriner à la porte. A ce stade, soit la nana est sourde, soit elle est juste partie acheter l’pain.
« Ouais, salut. » Ou alors son appartement fait 45 kilomètres de long vu le temps qu’elle a mis pour venir ouvrir la porte. Betty considère l’air surpris que lui offre la nana avec tout le mépris dont elle est capable, est cependant obligée de revoir à la baisse ses airs prétentieux lorsqu’elle se souvient qu’elle se tient actuellement sur un pied avec une chaussure nauséabonde dans la main. Pas son meilleur look, on en conviendra. « Ton chat est à la maison ? » Miss-nez-cassé fait mine de s’étonner, semble vouloir articuler quelque chose puis se ravise – trop d’hésitations pour quelqu’un qui n’aurait absolument rien à se reprocher franchement. « J’ai de bonnes raisons de penser qu’il a chié sur mon paillasson. » La première de ces raisons étant actuellement dans sa main, et possiblement bientôt dans le nez de Miss-nez-cassé-again si elle continue à la prendre pour une idiote.
« Okay. Ça répond pas à ma question. Est-ce que le chat de Paul est à la maison ? » Who the fuck is Paul ? Il faudrait vraiment qu’elle prenne davantage le temps de discuter avec ses voisins, Beth. Ceci dit, quand elle voit la façon dont Gordon se pince le nez en la regardant, la rouquine n’a pas spécialement l’impression qu’elles pourraient davantage devenir copines que la dernière fois qu’elles se sont croisées. Vexée, même si ce n’est pas franchement de sa faute, elle pince les lèvres et s’impatiente. « Hm. » Bon, si le rat n’a pas quitté l’appartement, peu de chances pour que ce soit réellement lui le coupable. La brune continue son argumentaire et cette fois c’est Beth qui grimace ; Faut vraiment être dingue pour s’imposer le calvaire de nettoyer une litière tous les jours juste pour le plaisir de vivre avec un truc qui met des poils partout. « Ouais ? J’sais pas. » Le regard vert glisse sur la silhouette qui lui fait face, la jaugeant très clairement. « Pourquoi tu voudrais m’aider ? Aux dernières nouvelles t’hésitais à m’étouffer dans la neige parce que j’ai eu l’audace de te regarder un peu trop longtemps. » Encore amère à ce sujet, la rouquine, et en particulier parce que son regard partait d’une bonne intention. « D’ailleurs ça a l’air d’aller mieux, ton nez. » Mouais, c’est un peu à contre cœur qu’elle le reconnaît quand même.
_________________
I wanna be alone. Alone with you, does that make sense?