Elle s’observa un instant dans le miroir.  Elle soupira et changea encore une fois de tenue. Elle peinait a en trouver une qui lui plaisait. Une qui irait bien pour la soirée pour laquelle elle était en train de se préparer.  Elle ne voulait pas quelque chose de vulgaire, mais pas quelque chose de vieillot non plus. Et elle avait l’impression de n’avoir que des horreurs dans sa garde de robe très restreinte. Il faut dire que son physique n’avait jamais était sa priorité, elle se soignait évidement, elle prenait autant qu’elle pouvait soin d’elle, car elle devait toujours être présentable. Elle devait toujours être la parfaite Morgane, institutrice, bonne mère de famille, femme aimante et bienveillante. Et c’était presque épuisant parfois.  Après beaucoup d’essayage, elle revint a sa tenue premièrement essayer, a savoir : une robe noir, simple et élégante. Classy, comme aimait la qualifié Roman, son fils ainé.   Elle passa ensuite a la coiffure et au maquillage. Comme d’habitude, simple, discret mais un peu élégant tout de même. Elle n’avait jamais était du genre a beaucoup se maquiller de toute façon, elle n’aimait pas les femmes recouverte de maquillage qui ne laissait pas parler leurs beauté naturelle. Une fois  prête, elle alla embrasser ses enfants et donna ses dernières consigne concernant le petit dernier a son mari, qui a force était surtout devenue son meilleur ami et père de ses enfants.  Entre eux, l’amour avait laisser place a une simple affection et de nombreuse habitude.  Et puis, enfin elle sorti.

La brune ne s’accordait que rarement des soirées  comme cela, mais pour ce soir, elle avait décider de faire exception, elle avait envie et besoin de sortir un peu. Et puis, elle ne pouvait pas se permettre de louper le bal des anciens élèves.  Si elle n’était pas venue, ca se serait vue assez vite.  Voila pourquoi elle poussait les portes de ce lycée où elle avait fait ses études. Elle aurait presque put aider a organiser la soirée de ce soir, mais elle n’avait pas eu le temps. Il faut dire qu’elle n’était pas facile a avoir Morgane, presque pire qu’un ministre.  Il fallait avouer qu’elle avait  une autre raison d’être venue ce soir, elle avait envie de voir si Eugen était là. Depuis l’incident de sa main, elle ne l’avait pas vraiment revue. Et pourtant elle en avait eu envie. Alors elle s’était dit que s’il venait ce soir, ce serait une opportunité de le voir un peu. Ca forçai un peu le destin, car elle n’aurait pas vraiment le courage de le faire sinon, et elle était presque certaine que lui non plus.  Là, le prétexte était parfait.

Elle était dans la fête, un verre a la main en train de discuté avec Irène, une ancienne connaissance du lycée quand elle vit Gracie lui faire des grands gestes de la main. Elle regarda un peu autour d’elle en premier lieu, histoire de voir si c’était bien a elle que les geste était destinée, et elle compris que oui, quand elle vit que la femme était avec son ex-amoureux de jeunesse.  Elle s’excusa auprès d’Irène et s’approcha du groupe qui semblait vouloir attirer son attention. « Bonsoir. » Dit elle d’abord a Gracie avant de lui faire une bise. Puis elle en fit une au mari de Gracie, elle avait toujours apprécié Nikolas. Puis son regard bleu se posa sur Eugen. « Bonsoir, Eugen » Qu’elle souffla doucement, sans pour autan ose lui faire une bise a lui aussi.  « Le courant passe toujours aussi bien entre vous ! » Que ricana presque Gracie en les observant.  Morgan senti le rouge lui monter un peu aux joues, mais elle décida de faire fit de ce commentaire. « Je suis contente de te voir. » Qu’elle dit avant de boire une petite gorgée. Elle se dit qu’elle aurait peut être du prendre de l’alcool, pour avoir du courage. C’était fou ce que l’alcool pouvait avoir comme pouvoir dans certaine situation.  « Ta main est bien réparé a ce que je vois. » Dit elle en souriant un peu a l’homme.  « Comment vont tes parents ? » Qu’elle enchaina. Elle en avait oublier la présence du couple qui les avaient « réuni », elle était totalement focalisée sur lui, et pourtant, elle ne lui disait que des banalités.