Dans l’ombre de cette tension pesante, Castiel observe Søren avec un mélange de frustration et d’inquiétude profonde, bien dissimulée derrière un sourire narquois. Søren ne va pas bien. Malgré ses tentatives pour le dissimuler, son "virus" semble bien plus sérieux. Castiel le perçoit, ce masque fragile qui cache difficilement la fatigue et la douleur de son ami. Mais dans l’immédiat, c’est la présence d’Eli qu’il trouve la plus perturbante. Cette fouineuse, bien décidée à lutter pour la maison de sa grand-mère, et il sent sa rage presque palpable. Il ne comprend pas pourquoi elle s’acharne autant, alors qu’elle sait très bien que jamais, au grand jamais, il ne la lui cédera. Castiel ne lui dévoilera pas son véritable projet pour cette maison. Il la laisse mariner dans ses suppositions et s’imaginer tout ce qu’elle veut ; cela l’amuse même, cette manière qu’a Eli de chercher des intentions obscures là où il n’a placé que de la provocation. Au fond, il se fiche bien de ses réactions, et moins elle en sait, mieux il se porte. La voir s’emporter, tenter de deviner ses plans sans jamais y parvenir le divertit plus que tout. L’homme d’affaires le sait : la présence de Søren ne changera rien à l’affaire. Ce n’est certainement pas cela qui l’amadouera envers Larsen. Malheureusement pour elle, si elle espère quelque indulgence, elle se trompe lourdement. Pire encore, l’état affaibli de son ami le pousse à redoubler de détermination pour écarter cette vipère de leur chemin. Søren ne mérite pas d’être ainsi exposé aux caprices et à la colère d’Eli. Castiel est prêt à tout pour préserver son ami, quitte à adopter une froideur implacable, à durcir son ton, et même à recourir à des mesures bien plus extrêmes s’il le faut. Pour le moment, puisqu’elle veut connaître ses projets, il décide de s’amuser encore un peu. Castiel affiche un sourire presque moqueur, se délectant de chaque mot tandis qu’il énonce son prétendu projet de "Hôtel des plaisirs" d’un ton faussement enthousiaste. Son regard se fait plus appuyé, presque perçant, lorsqu’il se pose sur Eli. Il s'attarde, amusé, un soupçon de provocation dans les yeux, pleinement conscient de l'effet de ses paroles sur elle. Il la regarde droit dans les yeux, une lueur de défi dans son regard, et dit, d’une voix feutrée, mais calculée : « Je trouve que Redwood manque un peu de lieux atypiques. Cet endroit sera un refuge d'exotisme pour les couples en quête de nouveauté, un endroit où ils pourront, "réveiller la flamme" de leur relation et briser la monotonie du quotidien. En toute légalité bien entendu. » Il laisse planer un silence avant d’ajouter, faussement innocent : « Et je compte bien y mettre ce bureau au centre de l’une des chambres. » Du bout des doigts, il tapote le plateau en bois. « Oh, ce serait un bel endroit pour que d’autres reproduisent les… expériences que vous y avez déjà faites. » Un sourire malicieux éclaire son visage tandis qu’il soutient son regard avec une politesse glaciale. « Maintenant, que vous voilà au fait de mes futurs projets, je crois que nous avons fait le tour de cette discussion. Vous avez très clairement exposé vos positions, et malheureusement, cela ne change rien aux miennes. » Il lance un regard en coin vers Søren, et sent un poids grandir en lui. Cet homme, qui est son frère de cœur, va mal et cette maudite femme ne trouve rien de mieux que de venir cracher son fiel dans leur cabaret. Il est temps de mettre fin à cette comédie. Finalement, Castiel se redresse, un sourire condescendant sur les lèvres, et dit, avec une douceur tranchante : « Je crains que notre conversation doive s'arrêter là. Søren et moi avons des affaires importantes à discuter. Cela était d'ailleurs notre intention première avant que … quelques désagréments imprévus ne surviennent. » Un sourire poli, presque désolé, effleure ses lèvres, mais son ton ne laisse aucune place à la discussion. « Je suis certain que vous comprenez. » Castiel ajuste légèrement sa veste avant de poser sur Larsen un regard faussement bienveillant, un sourire narquois flottant aux coins de ses lèvres. D’une voix calme et presque aimable, il enchaîne : « Je vous invite à quitter les lieux avec un peu de dignité, si vous le pouvez. Ce serait… rafraîchissant, disons, après votre arrivée. » Il marque une pause, ses yeux glissant de haut en bas sur la tenue élégante qu’elle porte. « Pour une fois, » conclut-il, « ce serait agréable que votre comportement soit à la hauteur de la classe de vos vêtements. » Castiel incline légèrement la tête, feignant la patience alors qu’un éclat de froideur passe dans son regard. Toujours avec cette politesse mordante, il rajoute : « Si vous avez du mal à retrouver la sortie, n’ayez nulle crainte, notre agent de sécurité se fera un plaisir de vous escorter. Vous saluerez votre époux de ma part.» Il laisse le silence s’installer, puis un sourire de convenance étire ses lèvres. Il ne veut surtout pas la voir traîner ou fouiner davantage dans cet endroit, avec cette curiosité insistante qui la caractérise. Il est sincèrement désolé pour Søren, mais cette femme est un poison. Dès qu’elle sera dehors, il faut qu’il ait des réponses sur l’état de son ami. Il connaît d’éminents professeurs et spécialistes à New-York. Ils ne mettront pas longtemps à y être en avion.
Søren Vestergaard
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QUARTIER : Midtown
MÉTIER : Avocat fiscaliste au cabinet Shelby et co-propriétaire du Valhalla
COEUR : Qui bat pour une nouvelle femme chaque soir
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Sujet: Re: Go bug somebody else, so I can sleep at night Lun 28 Oct - 23:06
Le Danois a la sensation d’avoir raté un wagon, voire deux, voire le train entier et que celui-ci lui soit en prime passé dessus. Qu’est-ce qu’est que cette foutue histoire de maison. Déjà passablement usé, le ton plus que tendu de la discussion entre Eli et Castiel ne l’aide pas à remettre de l’ordre dans ses pensées. S’il parcourt rapidement le dossier que la jeune femme lui confie, force est de constater qu’il n’y trouve guère davantage de réponses ; A peine quelques informations qui précisent la nature de la transaction, sans grand intérêt à défaut de préciser au moins qu’il s’agit effectivement d’un bien aussi banal qu’un autre. Castiel aurait-il réellement pu acheter cette maison en particulier simplement pour nuire à Eli, comme elle le prétend ? Trop naïf peut-être, surtout trop enclin à ne voir que le meilleur chez les autres, l’avocat peine à se représenter une telle manigance. Certes, oui, l’homme d’affaire possède-t-il des services de renseignements à toute épreuve : mais pour quelle raison nourrirait-il une rancœur aussi profonde contre la jolie blonde ? Et où serait-il allé chercher le temps de monter cette mesquinerie contre elle ? Peu probable, songe-t-il avant de laisser échapper un profond soupir sitôt que son ami reprend la parole.
Le ton, le fond, la forme : tout chez Castiel DeWitt exprime de façon criante le mépris qu’il ressent à l’égard de son interlocutrice, un mépris qui frappe Søren probablement plus que la principale concernée elle-même. Ce n’est pas utile, et surtout très indélicat, arrête, bon sang, Castiel. Or, le regard de plus en plus réprobateur que lui adresse son ami n’arrête aucunement Castiel, au contraire : de mal en pis, si bien que l’avocat finit par en froncer les sourcils ; Geste si rare sur son visage qu’il mérite d’être souligné. Søren n’est pas homme à désapprouver, d’ordinaire. Il plaisante, arrondit les angles, formule des hypothèses, les laisse faire leur chemin, manipule, ment, éventuellement se retire poliment ; Il n’entre jamais dans le moindre conflit, tout comme l’eau n’entre jamais sous le plumage d’un canard : imperméable. Pas cette fois cependant, impossible alors que son ami humilie une autre de ses amies – position intenable de celui qui ne souhaite aucunement prendre parti. « Castiel, s’il te plaît. » Ferme, le ton de cette voix dans un contexte où s’interposer devient une nécessité urgente. Il ne peut pas reprendre Castiel devant Eli, loyauté oblige : il n’empêche qu’il peut lui faire comprendre qu’il n’approuve pas. « Revenir sur cette conversation une fois l’émotion retombée serait probablement la meilleure chose faire, je crois que nous nous égarons. » N’aime toujours pas le conflit. Le Danois scrute encore une seconde son ami d’un œil plein de reproches silencieux avant de s’adoucir dès qu’il se tourne vers Eli. « Je te raccompagne ? » Il voudrait, bien sûr, pouvoir lui adresser un mot plus personnel en privé mais ne s’imposera pas.
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Eli Amdahl
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Sujet: Re: Go bug somebody else, so I can sleep at night Mar 29 Oct - 10:46
Eli ne le croit pas une seule seconde. Il se vante toujours de tout savoir, tout connaître, il doit forcément être au courant de la vente de la maison, Eli l’avait tout de même publiée dans le Redwood Echo. Ne devrait-il pas surveiller un peu mieux ce journal d’ailleurs ? DeWitt ne répond pas et choisit plutôt de répondre à la question de son ami, à savoir les projets de l’homme d’affaire sur ce nouveau bien. Ses yeux naturellement bleus auraient très bien devenir noirs face à ses propos. Elle ne savait pas si elle devait le croire ou non mais il l’achève, la piétine sans se retenir une seule seconde. Il évoque ce bureau, son regard suit son doigt, elle sait très bien de quoi il parle puisqu’elle l’avait mentionné la dernière fois. En revanche, elle n’avait jamais sous-entendu que c’était elle sur ce bureau, elle sait simplement que les frères Amdahl aimaient particulièrement ce bureau pour y emmener leurs conquêtes. Eli n’en a jamais fait partie. De toute manière, a-t-elle envie de se justifier là ? Non, même pas, elle est bien trop humiliée, piétinée pour réagir. Sous cette colère, elle aurait très bien aussi l’insulter une nouvelle fois, mais la présence de l’avocat l’en empêche et change totalement ce qu’elle ressent, comme si elle devenait soudainement trop vulnérable, trop blessée pour réagir. Comment réagit un animal blessé ? Il prend la fuite. Son cœur bat si fort dans sa poitrine que ses oreilles se bouchent un instant, l’envie de vomir aussi la prend, son ventre est bien trop remué. L’idée ou même une pensée concernant un hôtel des plaisirs dans la maison de sa grand-mère lui donne la nausée. Ce type est fou, peut-être même incontrôlable sous ses airs de je suis un grand homme d’affaire respecté et respectable. A cet instant, il ne l’est plus. Eli se retient de dire quoi que ce soit quand elle sent son regard sur elle, là encore, elle pourrait en vomir. Qui est le plus classe des deux ? Certainement pas DeWitt. Il ne s’arrête plus et la tête d’Eli commence sérieusement à exploser, sans parler de son cœur. Comment peut-il battre si fort ? Respire, respire, respire. Non, elle étouffe et ne trouve plus le moyen de s’échapper. Même sa gorge s’est complètement nouée, il ne reste que son regard toujours aussi noir braqué sur lui.
Eli sait très bien ce qu’elle compte faire de cette colère… Ses pensées finissent par s’arrêter en entendant Søren reprendre la parole. Elle comprend facilement qu’il tente d’arrêter tout ça, de s’interposer aussi entre eux. Désolée Milord, ton ami est fou. Eli n’a plus la force de répliquer, elle est faible, vulnérable, elle sait qu’elle doit partir. Søren lui propose de la raccompagner. « Non. Pas la peine. » Murmure Eli, sachant pertinemment qu’ils ne sont pas en état de se parler. Eli est… sentiment impossible à déterminer, et Søren semble trop usé par la situation. Quoi qu’il en soit, ses yeux se baissent, légèrement honteuse de se retrouver là, comme une conne à réclamer ce qu'elle a déjà perdu. Son regard ne revient jamais sur son amant, comme si le lien était soudainement… rompu. Qu’il reste avec son ami taré, elle, elle ne peut plus s’attarder ici. Eli reprend le dossier et ordonne silencieusement à ses jambes, toutes molles, de l’emmener ailleurs et vite. Elle ouvre la porte et finit par partir, le cœur en miette, les idées un peu noires contre DeWitt, une gorge sèche et un cœur qui bat toujours aussi fort dans sa poitrine. Elle a besoin d’air. Roman l’attend, elle ne doit plus tarder. Eli ne regarde personne en sortant, marchant rapidement comme si ses jambes allaient finir par lâcher d'une minute à l'autre. Sa maison… elle meurt d’envie de la cramer, avec DeWitt dedans.
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Not giving in
I tried to hide it through the silence while I played along I'm welling up behind my eyelids when I'm holding on to the rage, so badly, I hate it
Castiel DeWitt
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MÉTIER : Dirige l'empire hôtelier DeWitt. Propriétaire du Point. Propriétaire du Valhalla avec Søren
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Sujet: Re: Go bug somebody else, so I can sleep at night Sam 2 Nov - 13:24
Castiel observe Eli s’éloigner d’un pas rapide, sans la moindre once de remords dans le regard. Il se surprend à se demander, pour la énième fois, comment Søren peut supporter une telle femme. Ses colères, ses accusations sans fondement, son acharnement à le voir comme le coupable de toutes les injustices… Toute cette rage mal dirigée lui paraît si épuisante, si inutile. Søren doit sans doute avoir des qualités de patience infinie, ou alors une étrange propension à voir quelque chose de réparable là où lui ne voit qu’un désordre désolant. Castiel détourne les yeux, le cœur léger, résolu à ne plus perdre de temps avec ce genre de tempêtes inutiles. Il soupire, laisse planer un silence lourd, puis pose les yeux sur Søren. « Ah, Søren… » Un sourire amer, presque lassé, lui échappe. « Écoute, Larsen peut bien crier autant qu’elle veut, mais elle n’a jamais eu une seule preuve de quoi que ce soit. Cette femme me voit en démon à chaque coin de rue, et ça en devient… ridicule. Je n’ai rien contre elle. En fait, si elle ne s’était pas pointée ici en hurlant comme une furie, elle aurait pu entendre mon projet, pour une fois. »
Il passe une main fatiguée sur son visage avant de reprendre, adoucissant à peine son ton. « Mon but n’a jamais été de la blesser, bien au contraire. Ce que je veux faire avec cette propriété, c’est un centre pour aider ceux que la vie a brisés. Tu comprends ? Un endroit pour les personnes malmenées, maltraitées… un projet en collaboration avec ma mère, en plus. Mais voilà, Larsen n’entend que ce qu’elle veut et préfère m’accuser des pires maux sans la moindre nuance. »
Castiel regarde Søren avec un mélange d’agacement et de déception. « Je ne mérite pas ça, et je ne pense pas qu’elle soit la sainte qu’elle prétend être non plus. Elle n’est même pas capable d’écouter sans me condamner d’avance. Que veux-tu que je fasse face à ça ? » Castiel lève les mains en signe d’impuissance, l’air exaspéré. « Mais comment aurais-je pu deviner que c'était la maison de sa grand-mère ? Le nom était différent, et pour moi, c'était un bien comme un autre, sans lien personnel avec qui que ce soit. Je n’ai pas le luxe de passer des heures à éplucher chaque propriété de chaque transaction. Garensen non plus, d’ailleurs. » Il hausse les épaules, le ton teinté d’une pointe d’agacement. « On gère des dizaines de dossiers, des centaines de lignes administratives. La vérité, c’est qu'on suit le processus, on fait avancer les choses sans s'attarder sur des détails qui n’ont, en théorie, aucune importance. C’est une erreur, peut-être, mais certainement pas un complot ourdi contre elle. »
Maintenant qu'ils sont seuls, Castiel laisse son regard s’attarder un instant sur son ami, s’assombrissant légèrement. L’expression fatiguée du Danois ne lui échappe pas ; il paraît encore plus amaigri, les traits tirés par une lassitude que Castiel remarque de plus en plus souvent. « Søren, tu as vraiment une sale mine, » dit-il d’un ton plus doux, quoique inquiet. Il marque une pause, puis ajoute avec une détermination tranquille : « Écoute, il est temps de faire quelque chose. Laisse-moi t’emmener à New York, tu pourras consulter les meilleurs spécialistes là-bas. Avec tout ce que je distribue aux quatre coins du pays, j’ai bien le droit à quelques passe-droits, non ? » Un demi-sourire lui échappe, comme pour alléger son offre, mais son regard reste sérieux. « Tu n’as rien à perdre à essayer, et je m'occupe de tout. Le jet peut être prêt rapidement, et tu seras entre les meilleures mains dans peu de temps. Il suffit juste que tu dises ‘oui’, mon ami. Je m’inquiète vraiment pour toi. »
Il tait sa théorie de l’empoisonnement par Larsen. Après le spectacle qu’ils viennent de lui offrir, l’homme d’affaires préfère éviter de reparler de cette femme.
Castiel décide de remettre à plus tard la discussion sur les jeux clandestins qui se tenaient dans les sous-sols du cabaret lorsque les Amdahl en étaient les propriétaires, ainsi que sur ces deux individus plus que louches et leur service de voiturier. Il sait que ces questions demandent une attention minutieuse, mais le moment est mal choisi. Garensen doit d'abord effectuer des recherches approfondies pour comprendre l'ampleur du réseau et ses ramifications. De plus, il se rend compte qu'il est essentiel d'en parler à Ryan, qui pourrait avoir des informations précieuses sur le sujet, notamment sur les liens éventuels entre ces activités illicites et des personnalités influentes de la ville. Castiel note mentalement de faire avancer ce dossier dès que les choses se seront calmées, sachant que le temps pourrait jouer en leur faveur.
Pour l’instant, seule la santé de Søren l’inquiète.
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Sujet: Re: Go bug somebody else, so I can sleep at night