Spoiler:

L’échange entre les deux garçons ne pouvait que faire rire la jeune femme. Comme si elle pouvait croire que Judson avait été un enfant de chœur. En plus, Liam marquait un point en remarquant qu’une menace était peut être de trop s’il n’avait rien à se reprocher. Comme il le faisait si bien remarquer lorsqu’ils observaient de loin Juliet avec son cavalier, cela devait être un trait de famille. Elle se mit à rire de plus bel lorsqu’il lui dit que ce n’était pas son style les interrogatoires. « Quand Ben a piqué ta bière l’autre fois à la caserne j’ai cru qu’on était dans un épisode d’esprits criminels. » dit-elle après la surprise de Liam. Pas toujours évident le caractère du jeune homme mais au moins il mettait de l’animation avec ses réflexions. Comme à l’instant avec sa sœur. « Hé, tu crois pas qu’elle a l’âge de choisir si elle veut se faire ravaler la façade comme tu dis… bien que je crois pas que ça veuille dire ce que tu penses. » un nouveau rire sortit alors qu’elle se disait que dans son esprit on était plutôt sur de la chirurgie ou beaucoup de maquillage dans cette expression mais c’était drôle de voir les réactions que l’on pouvait avoir lorsque notre famille était impliquée. D’ailleurs, en parlant de famille… il lui sembla entendre une voix familière et elle regarda autour d’elle pour déceler un bout de visage familier. Non loin d’eux se trouvait une blonde qui ne lui était pas inconnue. « Attends, je crois qu’il y a ma cousine. » dit-elle à Judson lorsqu’il leur demanda s’ils voulaient bouger du bar. « Allez-y si vous voulez, je vous rejoins après lui avoir dit bonjour. » ajouta-t-elle dans un sourire sans savoir ce qu’ils allaient faire de leur côté. Armée de son verre, elle se dirigea vers elle pour la saluer et savoir comment elle allait. « Lis ? je savais pas que tu venais ce soir, t’es superbe. » elle lui sourit avant de la serrer légèrement contre elle. « Désolée, je vous ai peut être interrompus.. » demanda-t-elle par rapport à la conversation qu’elle avait avec son… cavalier ? Julia ne savait pas trop mais ce qui était sûr c’est qu’avec ce qui était arrivé à sa cousine, elle se montrait très protectrice envers elle donc elle ne pouvait s’empêcher de se poser des questions.

@Judson Howell @Liam Swire @Amaryllis Miles @Seth J. Wilander

Après s'être frayée un chemin parmi la foule, Selene se trouve près du bar. Elle porte un imposant masque lui recouvrant entièrement le visage. Une délicate rose noire est nouée à ses cheveux remontés. 

La foule s'anime autour d'elle, quelques visages et silhouettes connues ont déjà été repérées par elle. Derrière les masques, seuls des sourires sont perceptibles. Redwood Hills, ne faisant qu'un ? Un sourire se glisse sur les traits de la jeune femme. Malgré les généreux dons qui sont récoltés au stand dédié, ce n'est pas la « cause » qui attire. Ce sont bien davantage les moyens, sur lesquels les organisateurs ne sont pas aller de main morte, ainsi que le divertissement offert, qui engendrent cette préoccupation soudaine de la part des citoyens et des citoyennes de ce qu'ils ignorent le reste de l'année. L'exception pour confirmer la règle. L'effort qui donne bonne conscience et qui permet de fermer l’œil le soir venu. Car tous et toutes sont complices, cela ne date pas d'hier. Ce soir, Selene n'a besoin de compter sur personne d'autre qu'elle-même. En s'approchant du bar où butinent déjà de nombreux convives, son épaule se heurte à celle d'un autre corps. « Oh. » Le jeune homme porte une caméra, ce qui ne prête pas à douter quant au rôle qu'il occupe au cours de cette soirée. « Bonsoir. C'est vous qu'on a chargé d'immortaliser cette délicieuse soirée. » Une affirmation, beaucoup plus qu'une question. « Je peux ? » Prendre la pose pour l'objectif de la caméra et, ainsi, écrire un peu de l'histoire de ce gala. L'évènement se veut déjà mémorable et ce n'est encore que le début de la soirée.

@Oliver Hale

Spoiler:

TC Le bal masqué

Tu ne sais jamais à quel point tu es fort jusqu'au jour où être fort reste la seule option. Bob Marley

Je pouvais dire que je comprenais enfin l'expression "avoir la sensation de se sentir pousser des ailes", lorsque j'étais avec Lys, j'étais un tout nouvel homme, enfin j'étais l'ancien Seth, tout en étant ... Oh je ne serais comment l'expliquer, je n'avais plus envi de me cacher, j'étais si heureux de retrouver Lys, je voulais lui montrer que j'avais changé, que je n'étais plus un voyou, seulement j'avais toujours peur de la faire fuir, en faite, j'avais peur de moi-même. C'était plus fort que moi, je ne pouvais que regarder Lys avec admiration et amour, elle était magnifique rayonnante, solaire ! moi même je venais à m'étonner, à ma façon de la complimenter, voir d'en rajouter, en faite ... Non je n'en rajouté pas ... Elle était sublime, j'avais de la chance, j'avais une déesse près de moi, à côté, je ressemblait à un vieux loup qui sort tout droit de sa caverne. A mes mots, Amaryllis eu une réponse qui me fit sourire, moi la classe en tenue de soirée ? Mais qui aurait bien pus le croire, c'était même un miracle, et au lieu de répondre, je ne pouvais que l'admirer, avant de lui proposer un verre. J'arquais alors d'un sourcil, aux paroles de Lys, elle voulait me mettre la pression ? C'était gagné, je me sentais tout bête à présent ... Je fini par avoir un léger rire, me passant une main dans les cheveux "Très bien je relève le défi du poème et je t'apporte ce martini", dis-je avec un clin d'oeil, tout en allant au comptoir, pour chercher de quoi hydrater ma cavalière. Je ne fis pas vraiment attention aux autres personnes, je pris deux martini avant de rejoindre Lys, tout en cherchant aussi à éviter les regards. J'hochais la tête aux tristes paroles de Lys, je pouvais alors repenser à ma petite soeur, quel grand frère pitoyable j'avais été ... "Je me demande ce qu'elle serait devenu ... Sans ça ... Bref" , secouant la tête, je pris une gorgée de martini avant d'entendre quelqu'un appeler Lys, de suite, je ne pouvais que me renfermer sur moi-même. Déglutissant difficilement, je regardais à la fois la femme et Lys, ne sachant quoi dire, qu'étais-je censé faire dans ce genre de moment ?

CODE  ϟ VOCIVUS  -  IMAGE ϟ KANE..

Spoiler:

Embarrassée, pas vraiment. L’effervescence de la foule autour de nous jouait en notre faveur ce soir. De toute façon, je n’avais eu qu’un très bref aperçu de l’échange maladroit entre Julian et le vétérinaire, il n’y avait pas lieu de se faire des idées et le moment propice pour des explications se pointerait bien assez tôt… N’est-ce pas ? Je guidais donc le jeune homme au travers les convives sans être certaine de l’endroit où nous nous rendions ; un peu à l’écart, sans aucun doute. Aussi, le plus près de la scène serait le mieux, pour enfin être en mesure de saluer Ali. Le téléphone de Julian nous interrompait et je tournais la tête dans sa direction, le gratifiant d’un léger sourire qui voulait tout dire : Noah était toujours la priorité et je ne pouvais que comprendre cela. C’était la même chose avec Wednesday, même si la situation demeurait et serait toujours différente. « Tu sais toujours parler aux femmes. » Soupirais-je, faussement exaspérée, avant de céder à un rire léger. « N’importe lequel de ces cocktails, plus il est joli, le mieux c’est. » Je guettais la réaction de Julian. À titre d’amateur de bon alcool – du moins, en tant que fidèle client de la brasserie Cartwright –, je m’amusais à le tester pour rire. « On a tous le droit d’être un peu superficiel. On a une passion pour les cocktails colorés. » J’envoyais un regard vers la scène à nouveau, juste avant d’ajouter à l’égard de mon cavalier : « Ce sera sans alcool pour elle. » Je la connaissais assez pour savoir qu’elle ne s’enivrait pas, alors qu’elle était en train de travailler. « Rancunier ? » Je fronçais les sourcils, ne perdant pas pour autant cet air amusé, mais il était trop tard. Julian savait comment semer le mystère – et se faire désirer. Voilà que je restais avec moi-même, sourire au coin des lèvres, mais pas pour longtemps. Car je n’avais pas eu le temps de voir ma meilleure amie quitter la scène, qu’elle apparaissait déjà à mes côtés. « Oh, te voilà ! » Répondais-je avec le même enthousiasme. « Et toi, tu rayonnes. Dans cette tenue et sur scène aussi ! » Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu l’occasion de la voir en action. Même si nous n’en parlions pas beaucoup pour ce que cela impliquait d’amertume, New-York lui avait apporté beaucoup. Je me surprenais à penser qu’Ali était toujours, et irrémédiablement, faite pour cela et qu’elle ne trouverait pas satisfaction loin du chant. « Je suis venue avec Julian. Il est… » Le temps de tourner la tête, je réalisais que nous ne risquions pas de le retrouver de si tôt. « Parti prendre un appel, et chercher des verres pour nous trois. » Comme quoi, c’était bien elle que nous étions venus voir. « Je ne sais pas pourquoi, je suis anxieuse de te le présenter enfin. » À vrai dire, une part de moi savait très bien pourquoi : même si notre relation n’était pas un secret, il y avait encore cette petite note d’étrangeté – d’interdit.

Citation :

Katey est près du lac.

le bal masqué

C’est grâce à la délicatesse d’Eleonore que Katey réussit peu à peu à se calmer. La rougeur de ses joues s’apaise en conséquences. Elle a des gestes très doux et harmonieux qui s’accordent à merveille avec la beauté de la langue dont elle dessine les mots en l’air. Katey a toujours, depuis qu’elle en connaît l’existence en tous cas, trouvé la langue des signes à la fois mystérieuse et magnifique. Elle a entretenu pendant un temps l’illusion de la parler parfaitement, de quoi en mettre plein la vue à ses parents, mais ses hésitations et ses erreurs à chaque fois corrigées très gentiment par Eleonore l’ont confrontée à la réalité : c’est très loin d’être le cas. Elle ne connaît que quelques mots et sait à peu près épeler l’alphabet, ce qui est bien pratique lorsqu’un lexème lui manque. De manière philosophique, elle a fini par se dire que ses confusions avaient au moins le mérite de les faire bien rire quand elles sont expliquées, Eleonore et elle.
Sa meilleure amie lui propose de piocher dans son assiette et elle lui donne l’exemple, ce qui semble clore définitivement l’incident et le mettre derrière elles. Mais à peine a-t-elle avalé une bouchée qu’elle fait une grimace de dégoût et s’exclame, c’est quoi ce truc ? Tout de suite, Katey pense qu’il y a eu un problème avec le buffet, des aliments pas frais ou quelque chose de ce genre, et pour vérifier cette hypothèse elle prend un roulé jumeau de celui mangé par Eleonore sur l’assiette et le goûte. Mais non, elle ne voit pas le problème, pense-t-elle en mâchonnant. « C’est du jambon, tu n’aimes pas ça ? Il est très bon… » Une autre idée lui vient avec une rapidité étonnante. « Qu’est-ce qu’il se passe, tu es malade ? » Ça pourrait expliquer le rejet violent de son amie.

 Bal masqué

 A bien y réfléchir, Joel est presque sur qu'en effet, Vanina a dû être touchée.  Déjà parce que c'est mignon, mais aussi parce que sinon il y aurait eu un million de points d’exclamation et de smileys furieux.  Ici, au final, il n'y avait que les lettres en majuscule pour donner l'impression qu'elle n'était pas contente.  Enfin, c'est comme ça qu'il voyait les choses.  Heureusement, à la maison, Matt est de retour, ce qui donne une nouvelle dynamique.  En effet, sa présence apaise un peu la situation et ça fait beaucoup de bien à Joel.  Et sans doute à Vanina également, dont il est le parrain.  Il ne pense pas que Matt et Vicky se soient déjà rencontrés, et la jeune femme n'en a pas le souvenir non plus.  Jo hoche négativement la tête.  « Non, j'ai pas l'impression qu'il ait beaucoup envie de faire la fête pour l'instant, ça ne doit pas être facile de revenir de mission et de se réacclimater je suppose. »  Il sourit, avant de lui expliquer qu'il avait bien besoin de boire un petit quelque chose et l'idée que lui suggère ensuite l'infirmière le fait rigoler.  « Je suis pour !  Y a pas de raison que tu t'en sortes mieux que moi ! »  Plaisanta-t-il, certain que Faith serait heureuse de la dédicace car elle avait passé depuis un petit temps quand même l'adolescence.  

Une fois sa bière entre les mains – ici c'est une soirée chic, pas moyen de la boire à la bouteille, elle était servie dans un verre - Joel suivit Victoria jusqu'à sa bonne amie qu'elle félicite et complimente.  Joel a un large sourire à l'adresse de Faith lorsque les présentations sont faites et apprend avec stupéfaction que la jeune femme avait été également journaliste.  Il n'a pas vraiment le temps d'intervenir que Victoria pose une nouvelle question sur les proches de Faith dont il apprend qu'ils sont partis prendre l'air.  Il ne comprit pas tout à fait la remarque suivante, mais elle ne lui était de toute manière sans doute pas directement adressée.  Il apprit également qu'elle devrait faire un discours.  Jo aime plutôt ça faire des discours mais quand il peut déconner.  Il doute que ce soir les paroles prononcées soient aussi amusantes que celles qu'on pourrait dire à un mariage ou un enterrement de vie de garçon, par exemple.  « Moi de même, bravo pour la réussite de cette soirée. »  La félicita-t-il cordialement.  « C'est ça... »  Il fut surpris d'apprendre qu'ils s'étaient déjà croisés.  « Oh je suis désolé, je n'avais pas fait le rapprochement ! »  C'est vrai que son visage lui disait quelque chose, mais vu qu'il s'agit d'une femme tout de même un minimum connue de la population de Redwood Hills, il n'avait pas fait le lien.  Il faut dire qu'entre les différents séjours de son épouse à l'hôpital, sur les derniers mois de sa vie, il n'avait pas toujours les yeux en face des trous et s'absentait parfois des semaines entières du boulot, son patron était, pour le coup, un minimum conciliant tant que Joel faisait son travail ou prenait un congé.   « Ca fait quoi de passer de l'autre côté ?  J'veux dire de ne plus écrire sur des évènements mais de créer les évènements desquels d'autres parlent ? »  Demanda-t-il, un grand sourire sur le visage, ravi comme toujours de faire la connaissance de quelqu'un.

Dezbaa pour Redwood Hills

@Victoria Atterton @Faith Buchanan :

Spoiler:

Bal masqué

Topic commun

Mieux vaut être seul que mal accompagné, lui aussi était tout à fait de cet avis. Bien vite, Eilin remarque le poste qu'il occupe ce soir et ils en viennent à discuter brièvement de sa vie professionnelle. Nino peinait à croire qu'il pourrait être à l'origine de photographies figurant dans des manuels scolaires, lui qui n'avait jamais calqué à l'image de l'élève modèle. Néanmoins, il lâche un petit rire à la voir s'enthousiasmer de la sorte avant de répondre. « Formidable je n'sais pas mais promouvoir le Vermont à travers le journal local, ça m'va bien. ». La notoriété n'était pas réellement ce qui l'importait. C'était déjà tellement nouveau pour lui de se retrouver avec un emploi sérieux et de percevoir un salaire fixe chaque mois, il n'allait pas non plus demander la lune. Pour autant, si son travail venait à être plus reconnu, Nino ne s'en plaindrait surement pas, parce qu'il se plaisait réellement dans ce domaine. « Qui sait, peut être qu'un jour un de mes clichés sera sur l'une de vos brochures. ». Regard complice et sourire malicieux, il faisait référence à celles qu'elle avait pour habitude de présenter aux nouveaux arrivants de l'auberge.

Le brun s'exécute et la trouve amusante lorsqu'elle se montre très à l'aise devant l'objectif. Ce n'était pas toujours le cas lorsqu'il se retrouvait à devoir photographier des personnes. Curieux, il la questionne à son tour sur son attrait pour les soirées costumées et apprend qu'elle n'aurait manqué cet évènement sous aucun prétexte, comme la plupart des gens présents ce soir. « C'est vrai, il faut croire que vous n'êtes pas la seule à avoir un penchant pour les bals masqués ! », répondit-il, amusé. Naturellement, Eilin lui propose de s'aventurer en direction du lac, un peu plus à l'écart des animations. Nino accepte, étant arrivé peu de temps avant leur rencontre, il pourrait ainsi poursuivre sa mission photos. Rapidement, ils atteignent l'endroit et constatent que la vue était en effet imprenable. La tombée de la nuit et le reflet des lumières sur l'eau donnaient une ambiance magique. Le photographe s'accroupit pour venir capturer ces belles images sous le meilleur angle avant de chuchoter à sa complice. « Je dois reconnaître que vous êtes plutôt douée pour dénicher les endroits secrets... ». Cet espace plus au calme leur offrait une vue sur tout l'ensemble des festivités.

Dezbaa pour Redwood Hills

Spoiler:

Elle ne comprenait pas… Il fallait que je fasse un dessin ? Non parce qu’avec ce décolleté il était assez simple de mettre les choses en image. Bon, heureusement, après ce qui me sembla être une éternité, elle comprit, rougie - ce qui n’arrangeait pas mon problème - puis sembla lire dans mes pensées pour dire exactement la même chose, enfin à quelques nuances près. Elle voulait ma veste pour que j’arrête de me mettre mal à l’aise, mais je n’étais pas certain que ça aide, « Non... », soufflais-je donc face à cette proposition qui était aussi déplacée que mes pensées. Pourquoi devrait-elle se cacher, j’étais celui qui avait un problème et ce n’était pas tant elle, mais le fait que je me sois laissé aller à coucher avec ma subordonnée. J’étais le problème, et je devais juste accuser le coup de ma connerie.

« J’aime le sexe, mais j’aurais jamais du… Pas au travail, pas avec une collègue. », soufflais-je alors à son attention. Le problème était là. « C’est inutile de vous donner ma veste, car vous n’avez pas à vous cacher, encore moins d’un connard comme moi. », l’estime que j’avais de moi était bas, mais c’était certainement pas quelque chose dont j’étais fier. « Ca va se tasser quand j’aurais plus les images en tête Brennan. », assurais-je confiant face à l’alcool qui finirait par attaquer mon esprit et ces souvenirs. « J’ai cru voir Monsieur Hale au loin, si vous voulez, vous pouvez prendre une pause pour aller le voir, je ne dirais rien. Il faut bien que ce soit agréable pour tout le monde. » ajoutais-je en voulant reprendre le dessus.